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vendredi 19 avril 2019

#Ernottte#conseiller#MrY#Doligé#pornographie#LOL


#Ernottte#conseiller#MrY#Doligé#pornographie#LOL

Peu de titres de Presse évoque le cas Doligé – à croire que certains auraient été invités à ne pas trop en faire ! – qui comme le confirme Grazia dans son article « Toutsauf LOL » (*) a « assuré une mission de conseil d'un an et demi jusqu'à l'été 2018, à France Télévisions, au côté de Delphine Ernotte ».

Grazia n’est pas tendre avec Doligé qui tente de minimiser ses agissements, laisse entendre au magazine qu’il serait victime des réseaux "laisse faire le tribunal du buzz". Ben voyons…l’arroseur plus qu’arrosé !

Le magazine qui révèle « la main courante déposée à son encontre par une blogueuse mode, Delphine Desneiges, alias @DeedeeParis, après le déferlement d'attaques et d'insultes dont elle a fait l'objet sur le réseau social, de 2007 à 2009. » dénonce « La légèreté tragique de nombreux responsables de médias a permis à certains de se hisser au sommet de la chaîne. C'est le cas du communicant et influenceur web Emery Doligé, connu sous le pseudo de MrY, et grand amateur de pornographie. »




« Après avoir été chargé de la communication digitale du président de Lagardère Active (Europe 1, le JDD, Paris Match...) Denis Olivennes, il a assuré une mission de conseil d'un an et demi, jusqu'à l'été 2018, à France Télévisions, au côté de Delphine Ernotte » enchérit Grazia.

Et pendant ce temps-là sur le LinkedIn de France Télévisions on pouvait lire, "[FRANCE TÉLÉVISIONS S'ENGAGE] contre le harcèlement sexuel et sexiste dans les médias. Delphine Ernotte Cunci a signé ce mercredi 13/03 la charte "Pour les femmes dans les médias" au Ministère de la Culture , en présence de Franck Riester".


Quel pitoyable jeu de dupes qui n’a qu’un objectif « faire croire qu’on fait pour la cause…alors qu’on fait tout le contraire !



« Les révélations autour de la Ligue du LOL, un groupe de journalistes accusés de cyber-harcèlement, ébranlent le milieu de la presse. Lequel s'interroge sur le système qui a permis de tels actes.
La traînée de poudre de l'affaire "Ligue du LOL", révélée par Libération le 8 février, n'en finit pas de mettre le feu aux rédactions. Les ramifications de ce réseau d'une trentaine de journalistes et communicants parisiens qui, à partir de 2009 et durant plusieurs années, ont harcelé des consœurs, des blogueuses et parfois des hommes, sont encore loin d'être totalement mises au jour.

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Six journalistes ont d'ores et déjà été mis à pied par leurs directions et plusieurs collaborations ont été suspendues. Mais le grand ménage est loin d'être fini car c'est tout un système de cooptation qui a permis aux caïds du Net de prospérer. "Le harcèlement sous couvert d'humour, qu'on ne serait pas assez cool pour comprendre, ça commence avant même l'entrée dans les rédactions", alerte ainsi Marylène Iapichino, une ancienne étudiante de l'école de journalisme de Grenoble (EjdG), où sévissait ces dernières années un groupe Facebook appelé "Ul-team-hate". Victime de moqueries, d'attaques sur son physique, la jeune femme a vite quitté le groupe Facebook interpromo de l'EjdG.


Ils ont essaimés dans tous les médias dits "progressistes"


Son cas est loin d'être isolé. Sur les réseaux sociaux, d'autres incidents sont relatés par les jeunes femmes qui en auraient été victimes, des années après les faits. Ils se seraient déroulés notamment au sein de la prestigieuse école de Lille, l'ESJ. Ces dernières années, avec l'essor des rédactions web, une nouvelle génération de journalistes - et leur culture "boys club", sexiste, raciste et homophobe - a investi les médias. Trentenaires, Blancs, parisiens, pionniers de Twitter, ultra-connectés, ils fonctionnaient en supra-rédaction. Ils ont essaimé dans tous les médias dits "progressistes", se cooptant les uns les autres. Maîtrisant Internet mieux que personne à l'heure où la presse papier se meurt, ils ont trouvé, dans plusieurs rédactions, des appuis en haut lieu. Parmi eux, Johan Hufnagel, aujourd'hui à la tête de Loopsider.


Rédacteur en chef de Slate.fr en 2010, il a employé Christophe Carron et Vincent Glad, respectivement membre actif et fondateur de la Ligue du LOL. Nommé directeur des rédactions de Libé en septembre 2014, il fait venir Glad en qualité de pigiste, puis promeut au poste de chef adjoint du Web Alexandre Hervaud, autre membre de la Ligue du LOL, après l'avoir titularisé à l'été 2015. Johan Hufnagel - qui n'a pas répondu à nos sollicitations - avait été averti des faits dès 2010 par une lettre rédigée par des victimes de la Ligue du LOL. Il expliquait ces derniers jours sur Twitter : "Je savais qu'il y avait une bande de potes à aimer les clashs, mais j'ignorais tout de l'ampleur des harcèlements." 


Des faits sous-estimés


Il n'est pas le seul à "ne pas avoir pris la mesure" des faits. La légèreté tragique de nombreux responsables de médias a permis à certains de se hisser au sommet de la chaîne. C'est le cas du communicant et influenceur web Emery Doligé, connu sous le pseudo de MrY, et grand amateur de pornographie. Après avoir été chargé de la communication digitale du président de Lagardère Active (Europe 1, le JDD, Paris Match...) Denis Olivennes, il a assuré une mission de conseil d'un an et demi, jusqu'à l'été 2018, à France Télévisions, au côté de Delphine Ernotte


Or, une blogueuse mode, Delphine Desneiges, alias @DeedeeParis, vient de révéler la main courante qu'elle a déposée à son encontre après le déferlement d'attaques et d'insultes dont elle a fait l'objet sur le réseau social, de 2007 à 2009. 


Contacté, Emery Doligé, qui ne conteste pas les accusations, "laisse faire le tribunal du buzz". Il est, pour l'heure, très engorgé. »


Celuiqui a effacé très récemment plus de 4.000 tweets (bas de post) et conseillait donc Ernotte que le Pouvoir a largement pris en grippe, n’avait pas hésité à railler France Télés lors de l’éphémère émission de Sophia Aram qui avait fait un bide retentissant.
 
Le blog CGC Média qui malgré les effacements de MrY en a retrouvé quelques-uns, vous propose également une de ses envolées lyriques de l’intéressé sur la circoncision (c’est cadeau)












jeudi 18 avril 2019

Après France Ô, le tandem Letranchant /Ernotte bien parti pour flinguer France 3 !


Après France Ô, le tandem Letranchant /Ernotte bien parti pour flinguer France 3 !

Ce lundi 15 avril 2019, alors que brûlait Notre Dame de Paris et que des chaines prémium de la TNT bouleversaient leurs programmes  – TF1 leader incontestable de la soirée avec 23,2% d’audience soit 5.159.000 de téléspectateurs – quasiment pas un mot dans le 19/20 de France 3 sur l’évènement qui a suscité un émoi international.

Le Bureau de la Société des Journalistes de la Rédaction Nationale de France 3 qui exige un rendez-vous en urgence avec le monsieur Info d’Ernotte Yannick Letranchant (*) n’en est pas encore revenu

Comme les téléspectateurs du JT de 20 heures sur France 2 (beaucoup moins nombreux) qui le même soir ont pu assister à  l’exhumation en direct de RFO ( société qui n’existe plus depuis des années) lors des réactions des Français de l’Outre-mer. Le reportage du 15/04/19 est bien ciglé RFO  (ci-après)


Une nouvelle grosse claque pour le tandem Letranchant/Ernotte ayant planifié la disparition de France Ô,  semble bien parti pour flinguer à présent France 3 !

Dans une démocratie à l'anglo-saxonne le tandem sans chercher de bouc-émissaire auraient déjà été priés de faire leurs cartons! 

Les guignols de l’Info qu’avait déclaré vouloir récupérer l’ex Orange ne sont ne sont peut-être pas tout à fait morts !

Dire que certains s’en sont pris à Emmanuel Macron lorsqu’il avait évoqué « la honte de la République » ! 


(*) Notre Drame de l’Info !
 

Le terrible incendie de Notre-Dame de Paris n’a pas seulement causé des ravages dans la Cathédrale, il a aussi semé la désolation dans nos éditions du 19/20 et du 12/13. Retour sur une série de ratages.


C’est du jamais vu, la reine des cathédrales est ravagée par les flammes. Dans les rédactions l’annonce tombe à 18H50.  Le 19/20 envoie dès 19h un rédacteur sur une moto. Un JRI doit le suivre lui aussi à moto avec un Tvu pack. Quelques minutes plus tard, sous nos yeux : stupéfaction ! Notre-Dame  va peut-être disparaître et  le 19/20 du 15 avril 2019 n’est pas à la hauteur de l’événement.


Ecran de fumée


Alors que les médias du monde entier, et les réseaux sociaux relayent la catastrophe,  le 19/20 ne juge pas opportun de bousculer son conducteur ! Les titres zappent complètement la fumée de cendres au-dessus de Paris. Sidération devant Notre-Dame en flamme, qui n’a droit qu’à une minute en début du journal. Ensuite on déroule les reportages prévus du matin.  Celui sur les appartements rénovés de Marie-Antoinette à Versailles donne le sentiment d’un JT enregistré!


Alors que la flèche écarlate de Viollet-le-Duc commence à pencher, et que toutes les autres chaînes montrent le symbole sur le point de s’écrouler, l’emploi du conditionnel est de rigueur sur notre antenne. La présentatrice nous dit à 19h50 que « toute la charpente serait en train de brûler ». Un adjoint dira plus tard qu’il lui importait de vérifier l’info ! 


En fin d’édition on revient sur le drame pour un direct. Mais où est passé le JRI qui devait cadrer le rédacteur de France 3 ? Il se serait perdu dans la foule nous dit-on, mais heureux hasard il a mis son talent au service de la rédactrice… de France 2. Pendant ce temps, notre valeureux confrère envoyé sur place, qui doit se sentir bien seul, filme avec son portable, tente une liaison téléphonique en direct dans le JT sur un réseau 4G saturé !

Le rédacteur en chef du 19/20 le reconnaît, un dysfonctionnement technique, un noir antenne, une coupure intempestive des caméras sur le plateau à 19H45, l’a empêché de se concentrer sur l’info principale de la soirée.


Panique sans oreillette


Le lendemain on apprend que Notre-Dame est sauvée. Mais à France 3 on n’est pas au bout de nos peines. La direction de l’information ordonne aux équipes du 12/13 la délocalisation des JT avec des moyens propres pour le 12/13 et le 13H. 


Avant son direct, France 2 nage dans l’opulence: Car satellite bicam, plus une troisième caméra avec Tvu. Sur une terrasse de l’Institut du Monde Arabe, la présentatrice bien éclairée répète les titres. 


Non loin de là, posté à un autre étage, le présentateur de France 3 vit un cauchemar, en direct. 8 minutes de cafouillage, de grande solitude … une éternité.  Le présentateur travaille sans filet, sans oreillette, donc pas de retour son ni de retour image. Aucun contact avec l’équipe en régie, qui vit, elle aussi, le naufrage. France 3  n’a pas eu droit aux moyens de France 2. Pour le 12/13, une seule caméra avec Tvu, pas de Car satellite.


Solidaire avec l’équipe du 12/13, c’est toute une rédaction qui se sent bafouée et méprisée. La SDJ pose une question qui demeure jusqu’ici sans réponse : Qui a décidé de fabriquer un JT délocalisé avec un TVU pack ?


Depuis des années, la Direction ne cesse de répéter que la fusion des rédactions va profiter à tout le monde. Mais qui peut encore ignorer que l’équité des moyens est une supercherie ? L’antenne de France 3 est l’éternelle grande sacrifiée.


Une exception tout de même et qui fait chaud au cœur : Le professionnalisme et les bonnes audiences du Soir 3 du 15 avril. Sa petite équipe a rempli avec brio notre mission : informer, mettre en perspective, décrypter. 


La vieille cathédrale puissante et magnifique va se relever. Les pompiers ont sauvé Notre Dame. Mais qui intercèdera en faveur des équipes de la rédaction nationale de France 3, soumises au joug des directeurs de France 2 ?


Le bureau de la Société Des Journalistes demande au plus vite un rendez-vous au directeur de l’information, Yannick Letranchant. Nous voulons comprendre les raisons de ces manquements éditoriaux et techniques indignes de notre mission de service public.



Bureau de la Société des Journalistes

Rédaction Nationale de France 3