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samedi 26 septembre 2009

Patrick de Carolis et Patrice Duhamel souhaitent réaffirmer leur "total et entier soutien à Arlette Chabot".

Patrick de Carolis et Patrice Duhamel souhaitent réaffirmer leur "total et entier soutien à Arlette Chabot".

Suite à l'incident qui s'est produit à New York, le duo Carolis/Duhamel a réaffirmé son soutien total à Arlette Chabot. Ils en ont profité pour préciser "qu'il n'y a jamais eu autant d'émissions politiques sur le service public"...souhaitant ainsi renvoyer dans les cordes quiconque prétendrait le contraire.

C'est donc un nouvel avertissement que lancent les deux hommes...."La télévision, c'est un métier qui est fait par des professionnels. (...) Il est bon qu'on laisse travailler les professionnels", avait déjà souligné P. de Carolis à l'été 2008 sur RTL à l'adresse du chef de l'Etat défendant son "indépendance" avant d'ajouter que "jamais" il ne soumettrait les grilles de programmes à un quelconque visa venu de l'extérieur".

C'est donc une piqûre de rappel que viennent d'inoculer sans ambages Patrick de Carolis et Patrice Duhamel. Que chacun se le tienne pour dit!!!

Et dire que Carolis avait fait le voyage à Nex York avec une trentaine de collaborateurs comme nous le révélions sur ce blog dans notre post intitulé: "France Télévisions est dans le rouge mais Carolis et une trentaine de collaborateurs sont à New York"pour essayer encore et encore de plaider la cause!

Le moins que l'on puisse dire c'est que c'est raté
...Peine perdue d'avoir chanté un peu partout que le mandat s'il devait aller jusqu'à son terme après les élections régionaLes, se passerait sans anicroche!!!

Mais aussi qu'avai-il besoin d'aller à New York Carolis avec toute cette smala? Est-ce que vous croyez que Nonce Paolini, le PDG de TF1, il y était lui avec tout un aéropage histoire en pleine crise de plomber un peu plus les comptes? Bien évidemment, non!

vendredi 25 septembre 2009

Dans une lettre ouverte, ci-après, adressée à P.de Carolis, le SNPCA-CGC exige que s'ouvre une discussion pour un nouveau texte par chapitre

Dans une lettre ouverte, ci-après, adressée à Patrick de Carolis, le SNPCA-CGC exige :
QUE S’OUVRE UNE DICUSSION POUR UN NOUVEAU TEXTE CONVENTIONNEL PAR « CHAPITRE »

AVEC L’ENGAGEMENT FORMEL DE LA DIRECTION D’APPLIQUER LE DÉLAI MAXIMUM DE 3 ANS
(À CONSIDÉRER MÊME QUE FRANCE TÉLÉVISIONS NE SOIT PLUS TENU PAR SON ADHÉSION À L’AESPA)

- Premier chapitre : LES MÉTIERS ET/OU FAMILLES DE MÉTIERS ET LEUR SYSTÈME DE RÉMUNÉRATION

- Deuxième chapitre : L’ORGANISATION DU TRAVAIL

- Troisième chapitre : TOUT CE QUI EST COUVERTURE SOCIALE ET AUTRES


Voyez la lettre:
LETTRE OUVERTE À PATRICK DE CAROLIS :
LE SNPCA-CGC EXIGE LE RESPECT DES DÉLAIS DE SURVIVANCE DES CONVENTIONS

Dans le numéro « hors série » d’avril 2009: « Repères » que France Télévisions adresse uniquement à ses «managers», la direction indiquait «le cycle de négociations entre partenaires sociaux et direction a débuté».

La direction prétend que "du fait de la fusion en entreprise commune (référence fallacieuse à l’article L.2261-14 du Code du travail) les accords et conventions collectives en vigueur au sein des sociétés absorbées ont été remis en cause "

Le SNPCA-CFE-CGC s’inscrit en faux contre cette soi-disant affirmation comme il le fait depuis la fin 2007 au moment où la direction tentait de faire approuver sa charte organisationnelle alors qu’aucun projet de loi n’était même à l’étude.

Pour le SNPCA-CFE-CGC comme pour ses avocats :
- La durée de survie de la Convention Collective de la Communication et de la Production Audiovisuelle article 2-3 est de 36 mois [3 ans] + 3. L’article 2-3 est très clair à ce sujet:"La Convention ne peut être dénoncée que pour l'intégralité de ses articles, annexes et avenants et que par la totalité des parties représentant, soit les employeurs, soit les salariés. La dénonciation doit être notifiée aux parties par lettre recommandée avec accusé de réception adressée au cours du sixième mois avant la date d'expiration de la Convention et accompagnée d'un nouveau projet de convention. La négociation de ce projet doit s'ouvrir dans un délai d'un mois suivant la notification de la dénonciation. A défaut d'accord sur un nouveau texte à la date d'expiration de la Convention, celle-ci continue à produire ses effets pendant une période de trois ans au-delà de sa période de validité." (*)

- De même, la durée de survie de l’Avenant Audiovisuel à la Convention Nationale de Travail des Journalistes article 2-2 est de 18 mois + 4 (à noter qu’après disparition complète de l’Avenant Audiovisuel, les Journalistes, eux, conservent leur Convention Nationale étendue). L’article 2-2 est, lui aussi, très clair à ce sujet:"Chaque partie signataire pourra toujours se dégager chaque année reconduite, par une notification faite quatre mois avant l'expiration de la période en cours. La partie qui dénonce cet accord doit accompagner la lettre de dénonciation d'un projet de nouvelle rédaction afin que les pourparlers commencent au plus tard trente jours après la date de réception de la lettre de dénonciation. L'accord dénoncé continue à produire ses effets, jusqu'à l'entrée en vigueur des dispositions nouvelles ou, à défaut, pendant une durée de dix huit mois." (*)

Il n’y a donc aucune urgence à aboutir dans les 6 ou 7 mois qui resteraient avant la fin des 15 mois (à savoir 3 mois de préavis après la promulgation de la loi, le 7 mars 2009 puis 12 mois derrière soit le 7 juin 2010) affirmation volontairement mensongère mise en avant par la direction comme par l’alliance CGT/FO…La seule urgence est celle de travailler, discuter, négocier en prenant son temps, notamment les « temps conventionnels » prévus pour cela.

La direction comme la CGT et FO, oublient volontairement de mentionner l’article auquel il est fait référence dans son intégralité: "Lorsque l'application d'une convention ou d'un accord est mise en cause dans une entreprise déterminée en raison notamment d'une fusion, d'une cession, d'une scission ou d'un changement d'activité, cette convention ou cet accord continue de produire effet jusqu'à l'entrée en vigueur de
la convention ou de l'accord qui lui est substitué ou, à défaut, pendant une durée d'un an à compter de l'expiration du délai de préavis prévu à l'article L.2261-9 sauf clause prévoyant une durée supérieure."
(*)

C’est donc bien le cas. Il y a bien dans les 2 conventions des clauses prévoyant une durée supérieures.

Donc n’en déplaise à France Télévisions comme à la CGT et FO, nous faisons et nous ferons bien entendu valoir ces articles devant tout Tribunal et toute juridiction compétents.

DE TOUTE FAÇON SANS ATTENDRE LES JUGEMENTS À VENIR, LE SNPCA-CFE-CGC EXIGE QUE LA DIRECTION METTE EN APPLICATION CES TEXTES ET DONC CES DÉLAIS :


LE SNPCA-CFE-CGC DEMANDE QUE S’OUVRE UNE DICUSSION PAR « CHAPITRE » AVEC L’ENGAGEMENT FORMEL D’APPLIQUER LE DÉLAI MAXIMUM DE 3 ANS

(À CONSIDÉRER MÊME QUE FRANCE TÉLÉVISIONS NE SOIT PLUS TENU PAR SON ADHÉSION À L’AESPA)

- Premier chapitre : LES MÉTIERS ET/OU FAMILLES DE MÉTIERS ET LEUR SYSTÈME DE RÉMUNÉRATION

- Deuxième chapitre : L’ORGANISATION DU TRAVAIL

- Troisième chapitre : TOUT CE QUI EST COUVERTURE SOCIALE ET AUTRES


Etant entendu que jusqu’à l’aboutissement total des négociations et ce jusqu’à la signature, SANS PRESSION DONC, France Télévisions continuera d’appliquer les dispositions conventionnelles.

Le SNPCA-CFE-CGC ne laissera donc pas la CGT dénoncer « la casse des conventions collectives » contre laquelle elle a entraîné les salariés dans des grèves tout au long de 2008 et prôner parallèlement la mise en place un accord a minima dans la plus grande précipitation !

Connaissant ces délais comme les connaît la CGC Médias, il est indécent d’expliquer pour la CGT et FO qu’ « il ne resterait que quelques mois pour aboutir alors que c’est la même CGT qui avait refusé en 1984 de signer la Convention Collective PTA négociée depuis 1982 par les syndicats qui l’avaient tous paraphée pour ne la signer finalement que 10 ans plus tard en 1994… »

mercredi 23 septembre 2009

France Télévisions devrait voir réduits les 450 millions d'euros que l’Etat doit lui verser.

France Télévisions devrait voir réduits les 450 millions d'euros que l’Etat doit lui verser.

Dans notre précédent post faisant état du voyage à New York de Patrick de Carolis pour le passage au 20h du chef de l’Etat, nous indiquions que le différentiel de 70 millions d'euros entre les 270 millions prévus de recettes publicitaires attendues avant 20h et les 330 annoncés, devrait à présent dépasser les 100 millions d’euros.
Le Premier ministre François Fillon a donc adressé un courrier mi septembre à Patrick de Carolis, pour lui indiquer qu’au lieu des 450 millions d'euros promis, France Télévisions ne percevrait plus que 415 millions en 2010 (la situation pour l'année en cours restant inchangée après le feu vert donné par la Commission de Bruxelles).

L’Etat a bien compris, au regard de la situation que traverse le Pays, quel effet désastreux la reprise totale des 70 devenus récemment 100 et quelques millions provoquerait et surtout quel image serait donnée au regard des salariés de la régie publicitaire de France Télévisions qui n’ont sûrement pas démérité.

Patrick de Carolis qui ne souhaitait pas que l'État récupère quoi que ce soit, imaginait bien combler le déficit du « groupe » vraisemblablement proche des 150 millions en 2010 pour afficher des comptes moins mauvais avant sa très prochaine sortie mais il aura fort à faire…Il ne pourra pas non plus mettre en avant de soi-disant « économies » dues à sa réforme qu’il prétend sur les rails (dans les rêves !), il n’en aura ni le temps, ni le loisir.

France Télévisions est dans le rouge mais Carolis et une trentaine de collaborateurs sont à New York.

France Télévisions est dans le rouge mais Carolis et une trentaine de collaborateurs sont à New York.

Elle devrait être salée la note…Ce mercredi 23 septembre 2009 alors que Nicolas Sarkozy s’exprimera ce soir face à Laurence Ferrari et David Pujadas en direct de New York sur TF1 et France 2, ils sont une trentaine de « La Deux » autour de Carolis à avoir fait le déplacement : Arlette Chabot, Alain Lardière derrière Carolis donc avec tout un aréopage de suivants.

Ils seront donc nombreux pour une addition particulièrement sévère
à entendre le Président de la République aborder bien sûr les problèmes qui vont être discutés au G20 ce jeudi à Pittsburgh : encadrement du système financier, rémunération des traders seront notamment des sujets importants car l’on sait que Barack Obama n’est pas favorable à une limitation des bonus des traders… mais surtout parler de « moralisation » du capitalisme qui sans ce dispositif ne serait pas possible.

« Moralisation » voila bien le mot. Pour autant, il est clair que Patrick de Carolis n’a pas la même définition du mot « moralisation » que celle du chef de l’État !

Quelle vaste pantalonnade. Alors que la trésorerie de la télé publique affiche un trou d’environ 150 millions d’euros…malgré le fait qu’en journée le « groupe » ait engrangé à présent près de 100 millions de plus que les 270 millions de recettes publicitaires escomptées (narguant un peu plus le pouvoir et continuant de réclamer en même temps le versement intégral, cette année, des 450 millions auquel Bruxelles ne s’oppose plus) et alors même que France Télévisions voudrait foutre dehors 900 seniors, à moindre coût (3 fois moins que celui d’un licenciement), dans le cadre d’un plan de départ massif des plus âgés, le Président de France Télévisions et sa suite au grand complet se gobergent à New York.

La CGC médias est écœurée comme le sont très majoritairement les salariés…Rien ne justifiait une telle dépense et surtout la présence à New York de tout ce petit monde…à moins que ce ne soit une fois encore pour tenter de voir en vitesse l’invité du JT de 20h et s’évertuer à lui faire croire, encore et encore, que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que cela devrait continuer au moins jusqu’après les régionales, à l’été prochain…Carlo Collodi doit se retourner dans sa tombe de voir que la marionnette célèbre qu’il a crée en 1883 a trouvé son maître.

lundi 21 septembre 2009

France 3 : Quand sous-traitance rime avec maltraitance.

France 3 : Quand sous-traitance rime avec maltraitance.

« On va la(le) virer celle-là(celui-là)...elle(il) commence à nous fatiguer » : voila le genre de phrase que de plus en plus répandu dans nombre d’entreprises qui considèrent leurs salariés comme de la crotte (pour rester poli).

Lorsque par-dessus le marché, la ou le salarié(e) n’est dans l’entreprise que via une boîte de prestation, alors tout le monde se fout magistralement de ce qui peut lui arriver…et quand il s’agit d’une sous-traitance de sous-traitance, pensez donc, le sort de telle ou tel, qu’elle(il) soit viré manu militari personne n’en à rien à faire.

France 3 - le donneur d’ordre - qui « peut voir sa responsabilité engagée car il se doit de s’assurer que dans son établissement, les lois et règlements en vigueur sont respectés » ne fait pas exception à la règle.
Voila la dernière histoire en date survenue, fin de semaine dernière, sur « La Trois » qui voit une salariée licenciée comme une moins que rien dans le cadre d’une procédure irrégulière de A à Z :

Depuis de très nombreuses années France 3 sous-traite le juteux marché du HELP DESK « gestion interventions via une hot line» de son parc informatique (contrairement, du reste à France 2 où cette « activité » est du ressort des super-utilisateurs et d’un service interne dévolu).

C’est la société OSIATIS qui a le « marché » depuis environ une demie douzaine d’années. C’est donc une activité pérenne que l’entreprise sous-traite…Soit dit en passant, la loi pourtant claire en matière d’utilisation de prestataires ainsi que les différents jugements et arrêts à ce sujet jusqu’à la Cour de Cassation : ce recours systématique aux prestataires pour des activités inhérentes à l’entreprise doit être proscrit.

Mais à France 3, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on s’assoit sur tout cela comme sur beaucoup d’autres choses d’ailleurs.

Revenons donc à l’affaire qui nous intéresse: c’est donc OSIATIS qui sous-traite le HELP DESK de France 3 depuis presque 7 ans. En cliquant sur le site d’OSIATIS voila ce que vous pouvez lire d’emblée : « Construites à partir de 1998, les valeurs d’OSIATIS et sa culture de management ont permis de maintenir un haut niveau de performance dans la durée. Cette culture est fondée sur des valeurs partagées et démontrées (Transparence, Engagement, Progrès, Confiance et surtout Respect des individus, de leurs opinions et de leurs différences comme il est écrit sur le site)…"
Voyons donc comment OSIATIS met en pratique ses engagements !

Cette salariée, Louisa puisqu’il convient de la nommer, est responsable depuis 6 ans pour France 3 du HELP DESK dans le cadre du contrat de prestations « d’info gérance » passé entre France 3 et Osiatis…mais en cascade via une autre société appelée TAGLIT INFO dont BRAIN LOGIC serait fondatrice et qui sous-traite avec Osiatis…Chacun suit ?

Le gérant de TAGLIT INFO Samuel BENAYOUN est aussi à l’initiative de plusieurs sociétés séparément (Thématis, Triatic,... Nexties, Taglit info) mais plus particulièrement BRAIN LOGIC.

Que ce soit sur le site de TAGLIT INFO SARL immatriculée en octobre 2005 dont le siège est sis 12 Rue Gabriel Peri 94240 L’HAY LES ROSES au capital de 5.000€ à l’effectif porté entre 10 et 19 salariés, au code APE 6202A pour une activité Conseil en systèmes et logiciels informatiques,
où sur le site de BRAIN LOGIC qui indique « les fondateurs ont souhaité au travers de BRAIN LOGIC unir leurs efforts au profit des clients et des collaborateurs en offrant une diversité de compétences et un choix plus large de missions… » mais surtout dans la rubrique : « nos valeurs » où il est écrit « Privilégier les rapports humains et le bien être de l’individu », chacun va pouvoir découvrir, là aussi le respect des valeurs doit être à l’évidence une notion totalement irréaliste et abstraite !

Louisa donc qui occupe le poste depuis plus de 6 ans reçoit une lettre recommandée de TAGLIT INFO datée du 8 septembre, où il est écrit « Comme suite à notre entretien préalable du 3 septembre 2009, nous vous informons que nous avons pris la décision de procéder à votre licenciement pour le motif suivant : fin de chantier et impossibilité de réemploi …votre solde de tout compte et votre certificat de travail vous seront envoyés par courrier recommandé séparé »…

Quel formidable exemple de « bien être de l’individu et des rapports humains »…Quant à la régularité de la procédure, la salariée peut « se brosser » :

- « Comme suite à notre entretien préalable du 3 septembre 2009 », il n’y a jamais eu la moindre convocation à un quelconque entretien préalable !!!!
- « nous avons pris la décision de procéder à votre licenciement pour le motif suivant : fin de chantier et impossibilité de réemploi », le chantier avec Osiatis va jusqu’à fin 2010 ; le motif du licenciement annoncé le plus illégalement qui soit est donc fallacieux et la procédure totalement irrégulière car pas d’entretien préalable et donc pas de possibilité pour la salariée d’être assistée….Du reste TAGLIT INFO comptant de 10 à 19 salariés (ce sont leurs chiffres) où sont les délégués du personnel ?

Et ce n’est pas fini, TAGLIT INFO qui se revendique de BRAIN LOGIC a décidé de ne pas lâcher la salariée parfaitement spoliée de ses droits, en imaginant la priver d’un préavis pour la faire dégager parce qu’elle a osé se défendre et prendre contact avec un syndicat et son Conseil – ce qui est naturellement son droit – le lundi 21 ou mardi 22.

Et France 3 - le donneur d’ordre – qui a été informé de tout le dossier, s’en laverait les mains ?! France 3 qui « peut voir sa responsabilité engagée car il se doit de s’assurer que dans son établissement, les lois et règlements en vigueur sont respectés » laisserait le prestataire remplacer la salariée par un(e) autre qui ne connait pas le job et qu’elle aurait dû former pendant son préavis ?!

Comme disent certains aujourd’hui qui prônent le statu quo jusqu’en 2010 au prétexte qu’il y a une réforme en cours à France télévisions et qu’il faudrait la laisser à son terme, à voir le peu de cas que l’entreprise fait de ses devoirs et obligations, il y a fort à penser que les mois qui viennent dégénèrent et que les salariés qui sont à bout (entreprise ou prestataires) finissent par craquer.