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jeudi 3 juillet 2025

La squaw "Jescalpetousceuxquisyopposent" se prend baffes sur baffes...et c'est tant mieux!

La squaw "Jescalpetousceuxquisopposent" se prend baffes sur baffes...et c'est tant mieux ! 

Après le rejet par l'Assemblée que Patrick Cohen le nouveau pote  de Rachida présente à deux reprises dans une des ses chroniques comme une soi-disant "Duplomb"  (*) - il faudrait tout de même qu'il potasse un peu plus ses fiches ! - celle qui dont les rêves de trophhée capillaire n'ont visiblement pas plus à grand monde à commencer par le chef de l'État comme le révèle Le Canard enchaîné, ne sera sûrement plus là lorsque le projet de loi Ernotte/Dati reviendra à l'Assemblée nationale au moment des débats sur le budget du Pays pour 2026 qui risquent forts d'être agités.

L'excellent dossier d'OFF Investigation "Fusion de l’audiovisuel public :Une bonne baffe pour Dati" parle bien d'un camouflet et non d'une victoire comme le journaliste d'Inter et de à vous.  Extraits, ci après



(¤) "« C’est un véritable camouflet pour Rachida Dati, réagissait le 30 juin auprès de Mediapart Soraya Morvan Smith, journaliste à France 24. Nous l’avons vue lugubre devant un hémicycle vidé de la majorité, qui visiblement ne soutient ni la ministre ni ce projet mal ficelé, budgétairement aberrant, inquiétant pour l’information et la culture, et menaçant pour les salariés. »

Cette nouvelle claque pour l’exécutif sanctionne l’arrogance légendaire d’Emmanuel Macron. Début 2024, le président de la République avait cru bon de confier sa volonté de fusionner l’audiovisuel public à cette ancienne ministre sarkozyste à la réputation belliqueuse, dont les démêlés judiciaires avaient été documentés depuis des années, notamment par Cash Investigation...

Comble de la cruauté pour la ministre de la Culture : les députés Rassemblement National (RN), qui avaient laissé entendre qu’ils voteraient la fusion de l’audiovisuel public moyennant quelques concessions détaillées le 29 juin par Le Monde, ont finalement mêlé leurs voix à celles des écologistes et de la France insoumise (LFI) pour rejeter la réforme..."

Si, sans surprise, le Sénat a approuvé, ce jeudi en commission, la réforme de l’audiovisuel public défendu par la (toujours) ministre de la Culture Rachid Dati, le texte dénoncé par la gauche et les salariés concernés, il est loin d'avoir terminé son parcours.

Adopté en première lecture par le Sénat en juin 2023, il sera  examiné cette fois-ci en deuxième lecture après le rejet surprise du texte par l’Assemblée nationale, lundi avant même l’ouverture des débats.

"C’est un texte qui nous revient dans sa version que nous avons voté en 2023 dont nous avons déjà largement débattu et que nous le soutenons" à confirmé le sénateur UDI Laurent Lafon à l'AFP, indiquant que la commission avait simplement ajusté différents articles pour actualiser le texte et obtenir sur certains points une convergence avant l’Assemblée nationale.

Pour autant, le texte ainsi remanié sera examiné dans l’hémicycle de la chambre haute, le jeudi 10 juillet et potentiellement demain également. 

Avant le rejet du texte, les députés avaient en effet procédé à plusieurs aménagements au stade de la commission, notamment sur la gouvernance de la future holding dont le PDG sera aussi le PDG des filiales. Le Sénat s'il a partiellement repris les apports des députés, a confirmé de nouveau son choix à ce stade d’intégrer France Média Monde  (RFI, France 24...) à la holding. Le gouvernement espérait de son côté, au contraire, l’exclure de la nouvelle architecture. 

La proposition de loi sénatoriale comporte en outre, un large volet relatif à "la souveraineté audiovisuelle" avec des dispositions concernant les droits sportifs ou le développement de la radio numérique terrestre. Les sénateurs ont souhaité maintenir, à ce stade, cette partie du texte, là où le gouvernement avait lui demandé une suppression lors des débats à l’assemblée pour réduire les délais d’examen. 

La gauche minoritaire au Sénat s’oppose de son côté à cette réforme et fustige depuis deux jours, l’accélération de l’examen du texte s’inscrit à l’ordre du jour du Sénat in extremis avant les vacances parlementaires...Gérard Larcher a-t-il eu peur pour son cuir chevelu même s'il l'a endurci ?  

C'est seulement cette version adopté en deuxième lecture au Sénat - ce qui ne fait guère de doute, vu qu'il en est issu ! - qui repartira à l'Assemblée nationale, probablement à l'automne prochain,  avant de voir le jour et ce alors que la putative maire de Paris aura probablement quitté le gouvernement Bayrou (s'il est toujours en place) pour sa campagne pour la ville de Paris...à moins qu'entre temps elle soit déclarée inéligible ?!

(*) Il aura par 3 fois annoncé une Duplomb dans un incroyable non sens ! 



https://youtube.com/shorts/LFr5moj_I3g?si=hj2HJggNUNYM0C83

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