Une plainte déposée par l’Arcom pour "atteinte à son système de traitement automatisé de données", fin avril-début mai, ne télescopera pas celle de la CGC Audiovisuel contre l’Agence.
La plainte déposée par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique pour "atteinte à son système de traitement automatisé de données" pour deux actes de "piratage" en interne, s’agissant semble-t-il d’une fuite d’information liée aux candidatures à la présidence de France Télévisions, n’a aucune chance de faire diversion sur les faits que dénonce la CGC Audiovisuel dans la sienne.
Les faits qui auraient conduit à la mise à pied de tel ou telle au sein de l’Arcom comme un message malveillant, abritant apparemment une pièce jointe potentiellement dangereuse reçue par des employés depuis une adresse usurpant l'identité d’un d’entre eux, viendront alourdir la barque déjà bien chargée mais pas la détourner de son objectif.
La procédure engagée par la CGC Audiovisuel montrera aux yeux de tous, si besoin était, que les chefs d’accusation visant les faits commis par leur auteur légalement reconnu mais aussi
ceux de complicités et de recel, n’ont
qu’une seul issue : la condamnation des délinquants
que la Justice aura déterminé et l’annulation de « ce coup monté » voire ce scandale d'État que certains parlementaires serait prêts à ignorer...le tout sur fond de conflit d'intérêts majeur.
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