Qu’a donc fait Audrey Azoulay à la
Culture pour qu’elle soit imposée par l’Élysée à l’UNESCO ?
A un peu plus de 30 jours du premier tour de la
présidentielle, comment François
Hollande peut-il croire qu’il est encore mesure d’imposer qui ou quoi que ce soit ?
Le Figaro de ce 16 mars 2017 dans un
article intitulé « L'Élysée
pousse Audrey Azoulay à être candidate à la direction de l'Unesco », nous apprend que «C'est une candidature de dernière minute qui a été
imposée par l'Élysée (confidence au Figaro
d’un diplomate d'un pays européen à Paris)
qui suscite aujourd’hui les plus grandes
réserves de nombreux diplomates arabes à Paris ».
« Quelques instants après cette
révélation, l'Unesco a confirmé l'information en publiant la liste des neuf candidats en lice pour succéder à
la Bulgare Irina Bokova
dont le mandat expire en octobre (Hollande aura quitté son poste depuis quasiment
6 mois, ndlr). Outre Mme Azoulay, figurent quatre
candidats issus du monde arabe: l'Égyptienne Moushira Khattab, le Qatarien
Hamad Bin Abdullah al-Kuwari, l'Irakien Saleh al-Hasnawi et la Libanaise Vera
el-Khoury Lacoeuilhe.» écrit le titre de Presse.
C’est du reste assez révoltant de constater
que finalement rien n’a changé et que certains pensent qu’ils peuvent, en cette
période, toujours « imposer »…«Et ce, alors même que beaucoup de
mises en garde ont été faites contre une telle candidature qui va soulever des
passions à l'Unesco», ajoute encore le quotidien.
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