Les services
de Bercy viennent de valider le « poste-mission » de Michel
Field !
« Capital » dans son enquête sur France
Télévisions publiée il y a quelques semaines sous le titre « REMBOURSEZ »
(*fin de post) dénonçant, entre autres,
les dérapages d’Ernotte, ne pouvait pas rêver meilleur développement
concernant l’ex monsieur info de cette dernière !
Extrait :
« En
2015, la nomination surprise de cette centralienne par le CSA [parachutage qui fait l’objet d’une
instruction judiciaire en cours, ndlr] laissait
croire à une possible révolution; ex d'Orange elle semblait armée pour adapter
la télé nationale a l'air de Netflix et du replay. Seulement Ernotte a beaucoup
perdu beaucoup de temps en maladresses et polémiques inutiles...
En
mai dernier, le sort réservé à Michel
Field a fini d’exaspérer la base. Très décrié, le directeur de
l'information a dû démissionner mais il reste dans les murs, désormais chargé
d'un projet de plate-forme culturelle numérique. »
Alors que le
CCE de France Télévisions est amené à se prononcer sur trois dossiers:
- un projet de complément de la Charte
éthique ;
- un projet de Code de Conduite
anti-corruption à France Télévisions, annexé au règlement intérieur de France
Télévisions ;
- un projet sur la procédure Lanceurs
d’Alerte ;
ces deux derniers points
s’inscrivant dans le cadre des obligations imposées à l’entreprise par la loi
du 9 décembre 2016 relative à la
transparence, la lutte contre la corruption et la modernisation de la vie
économique dont les décrets ont été publiés en avril 2017…
et au moment même où "Le Canard enchaîné" révélait les 150.000 euros versés par Suez à Ernotte, les services de Bercy viennent selon
nos informations de valider le nouveau « poste-mission »
de Michel Field démissionné de son poste de directeur de l'information a TFV
juste avant qu’Ernotte n’essuie contre elle une motion de défiance de 84% des
votants.
La note qui définit les « contours » de son
« poste-mission » rédigée par
les services de la présidence a été transmise pour validation aux services
du ministère de finances.
Que chacun se rassure, l’intéressé devrait ainsi conserver son salaire de directeur de l’info qui fait partie
de ceux juste en-dessous de celui d’Ernotte d’environ 412.000 euros/ans
(hors Suez).
Niveau « Charte éthique »,
ça pose !
(*)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire