Quand Emmanuel Macron rencontrait Thierry Breton, en juillet, à Bruxelles.
Cela faisait un petit moment qu’Emmanuel Macron n’avait pas physiquement croisé
le commissaire européen français Thierry Breton. Certes, l’ex-pédégé de France Télécom
qui confiait à Ernotte, en 2004, une direction
régionale (Centre Val de Loire) pouvait parler au
Chef de l’État par téléphone mais ce n’était pas vraiment la même chose.
C’est donc au cours des transactions qui ont eu lieu les 17 et 18 juillet
dernier à Bruxelles où Emmanuel Macron retrouvait Angela Merkel pour tenter de
rassembler leurs homologues derrière leur plan de relance économique que
les deux hommes se sont vus et parlés.
Il aura fallu deux semaines
environ faire valider un peu plus tard le plan le réintégré dans le projet formalisé par la
Commission sous l’égide d’Ursula von der Leyen mais quelques
minutes seulement pour faire passer quelques messages. Il y était question entre
autres de loyauté et de confiance !
S’agissait-il là d’Angela
Merkel qui a su convaincre les 27 concernant l’emprunt
géant commun de 750 milliards d’euros levé pour aider l’Europe à sortir
de la crise (dont 500 en subventions aux États membres qui en ont le plus
besoin et 250 de prêts à taux très favorables)…ou de tout autre chose ?!
Nous étions alors à quelques jours du dénouement de la mascarade qui s’est jouée pour la présidence de France Télés sous le CSA de Roch-Olivier Maitre qui devrait prochainement faire l’objet d’une plainte visant à faire annuler la procédure pour de nouvelles irrégularités et ce alors que la plainte pénale concernant le parachutage précèdent donc la loi de 2013 qu’Olivier Schrameck adaptait à sa sauce, est toujours pénalement pendante !
Citons encore Jacques Chirac en conclusion: "Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent"
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