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vendredi 3 juillet 2020

Vent de panique à la Rédac de France Télés, ça transpire à grosse gouttes à quelques jours du départ d’Ernotte !

Vent de panique à la Rédac de France Télés, ça transpire à grosse gouttes à quelques jours du départ d’Ernotte !

Ça dégouline de plus en plus au sein de la rédaction de France Télés après le départ aujourd’hui du Premier ministre Édouard Philippe et probablement par voie de conséquence de Benoît Ribadeau-Dumas son directeur de cabinet qui étaient certainement les derniers soutiens de l’ex-Orange dont le départ est inéluctablement programmé.


Yannick Letranchant qui avait pris la suite de Michel Field après ses 2 motions de défiance – la dernière qu’il partageait avec Ernotte, il faut s’en souvenir – et sa Cour, commencent à suer à grosses gouttes et se faire du mouron sur ce qu’ils pourraient devenir !  

L’article du Canard enchaîné de ce mercredi sur le chamboule-tout qui se prépare au sein de l’Info et des magazines, n’est évidemment pas de nature à calmer certains qui se demandent à quoi va bien pouvoir leur servir leur grosse cylindrée après et combien de pars ils pourront revendiquer dans leur parcours de golf habituel !

 

Pas plus que ne l’ont été les 13 pages publiées hier par Médiapart intitulées « France Télévisions: les derniers secrets de l’affaire Ernotte » qui laissent Aurore Bergé sans voix et lui interdisent de prendre fait et cause pour celle qui, parachutée en 2015 à France Télés, aura cassé la télé publique contrairement à la propagande permanente qu’elle s’est évertuée à diffuser jour après jour. 


Concernant ce long dossier que publie Médiapart, les propos que tient Olivier Schrameck président de section honoraire au Conseil d'Etat qui siège au Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) depuis le 17 janvier 2019 et que relate le titre de presse, ont de quoi laisser pantois après que certains membres du CSA aient été entendus sur commission rogatoire comme Mme Hintermann-Affejee qui indiquait que c’était son cas… « déclaration qui déclancha la colère du président Schrameck, qui s’est emporté, en indiquant que Mme Hintermann aurait dû prévenir le collège du CSA en amont de sa déposition, puisque cette démarche pose problème à au moins deux de ses membres, M. Schrameck et Mme Sylvie Pierre-Brossolette, qui sont présentés comme des futurs mis en cause dans la présente enquête, et non de simples témoins. M. Schrameck aurait enfin conclu ses propos en indiquant que de toute manière, il n’y aura[it]pas de procès. »

Il n’y a pas qu’à la Rédaction du coup que les gouttelettes de transpiration perlent sur   de nombreux fronts qui comprennent que beaucoup mais vraiment beaucoup de choses vont bouger.

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