Mais quel panier de crabes...
Pingaud ce cher consultant, ses poulains Gallet et Ernotte, Schrameck et Pierre-Brossolette les facilitateurs, à nouveau dans le collimateur.
Pingaud ce cher consultant, ses poulains Gallet et Ernotte, Schrameck et Pierre-Brossolette les facilitateurs, à nouveau dans le collimateur.
A ce stade, seule une démission collective peut éteindre l'incendie qui est en train de ravager le secteur public audiovisuel sous la béate inertie d'une ministre qui dine en ville chez celui qu'elle vient de faire chevalier de l'ordre des Arts et lettres et qui vient de vendre "Numéro 23" une fréquence du domaine public pour près de 90 millions d'euros ! (les révélations que fait "Lyon Capital" du 29 avril dans son papier signé Didier Maïsto "Les goûts de luxe de Fleur Pellerin" )
Elle est belle franchement l'image que donne l'audiovisuel public depuis que François Hollande a nommé Olivier Schrameck à la tête du CSA!
Elle est belle franchement l'image que donne l'audiovisuel public depuis que François Hollande a nommé Olivier Schrameck à la tête du CSA!
Ce mercredi matin jour de parution du "Canard enchaîné", deux articles se partagent les colonnes d'à peu près l'ensemble de tous les média.
L'un concerne Mathieu Gallet, l'autre Delphine Ernotte, les deux poulains de Denis Pingaud "l'homme de l'ombre" que le duo Olivier Schrameck et Sylvie Pierre-Brossolette ont comme par hasard portés, respectivmement à Radio France et France Télévisions.
"Le très chanceux Denis Pingaud" proche de Mathieu Gallet et Delphine Ernotte, titre ironiquement "L'Obs" en tête de chapitre en reprenant comme toute la Presse les nouvelles révélations du "Canard enchaîné" de ce 6 mai 2015.
Denis Pingaud actuel conseiller en communication de Mathieu Gallet à Radio France [l'homme qui est derrière Ernotte, ndlr] qui préside aujourd'hui la société Balises et qui était vice-président d'OpinionWay lors de la signature des contrats pour un montant total de près de 250.000 euros, passés avec l'INA sans mise en concurrence, une procédure pourtant obligatoire, selon "le Canard enchaîné".
Et devinez quoi, c'est toujours de l'argent public et donc toujours le contribuable qui paie!
"Restaurer les valeurs de la République dans la Justice et la transparence" qu'ils disaient....elle est bien bonne !!!!!
Extraits
Selon "Le Canard enchaîné", un service de contrôle de Bercy a relevé des "irrégularités" dans des contrats de plusieurs centaines de milliers d'euros passés, sans mise en concurrence, avec des consultants par Mathieu Gallet, alors président l'INA.
L'hebdomadaire cite les conclusions d'une note du 10 avril du Contrôle général économique et financier (CGEFI), dont le journal a obtenu copie et dont il reproduit un extrait.
Selon "Le Canard enchaîné", le CGEFI relève des "dysfonctionnements et irrégularités" dans plusieurs marchés passés avec des cabinets de conseil lors de la présidence de Mathieu Gallet à l'Institut national de l'audiovisuel (INA), entre 2010 et 2014.
Parmi ces marchés figurent des contrats avec les sociétés OpinionWay puis Balises, pour un montant total de près de 250.000 euros, passés sans mise en concurrence, une procédure pourtant obligatoire, selon "le Canard enchaîné".
Or, souligne l'hebdomadaire, Denis Pingaud, actuel conseiller en communication de Mathieu Gallet à Radio France, préside la société Balises. Et il était vice-président d'OpinionWay lors de la signature des contrats avec l'INA.
Aucune "trace d'une mise en concurrence"
Pour un autre contrat de 119.000 euros passé en 2011 avec le cabinet Bernard Spitz Conseil, "il n'a pas été trouvé trace d'une mise en concurrence par courrier ou mail", indique aussi la note du contrôleur d'Etat, citée par l'hebdomadaire.
Fin mars, "Le Canard enchaîné" avait déjà affirmé que Mathieu Gallet avait engagé six cabinets de consultants lorsqu'il présidait l'INA. En tout, près de 800.000 euros sans mise en concurrence, écrivait l'hebdomadaire.
L'actuel PDG de Radio France avait alors annoncé qu'il porterait plainte contre "Le Canard enchaîné", dénonçant des "allégations diffamatoires" et niant que ces contrats avaient été passés sans mise en concurrence.
Sollicité mardi par l'AFP, Mathieu Gallet n'a pas souhaité réagir. Bercy n'a pas fait non plus de commentaire.
Fin avril, l'Inspection générale des finances (IGF), un autre service de Bercy, a elle blanchi Mathieu Gallet, pour ses dépenses cette fois à la présidence de Radio France, concernant notamment la rénovation de son bureau."
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