Louis Aliot ne sera pas le "
Premier homme" (vs la Première Dame) de France… OUF !
Louis Aliot le vice-président du FN resté plutôt
en retrait de la campagne présidentielle (c’était encore trop) avait laissé entendre qu’il pensait « ne pas jouer de rôle national en cas
de victoire de sa compagne ».
"Non, je ne serai pas sa première dame" avait-il essayé d’ironiser sur Europe 1 le jeudi 4 mai, avant d’ajouter "Les Français élisent un homme ou une femme, pas un couple. Ça exclut ma participation, non seulement au gouvernement mais à toute responsabilité au sein de l'État. Je me rapatrierais à ma ville de Perpignan et à mon département".
"Non, je ne serai pas sa première dame" avait-il essayé d’ironiser sur Europe 1 le jeudi 4 mai, avant d’ajouter "Les Français élisent un homme ou une femme, pas un couple. Ça exclut ma participation, non seulement au gouvernement mais à toute responsabilité au sein de l'État. Je me rapatrierais à ma ville de Perpignan et à mon département".
Il peut
souffler celui
qui lorgne sur la mairie de la capitale des Pyrénées-Orientales comme une large majorité de français d’ailleurs qui
ont écarté de la Présidence de la République celle qui
prônait comme "Le Menhir"
haine et
division (c’est apparemment une histoire de famille et de toute façon incompatible avec la fonction visée !)
"La vraie question c'était de
dire aux Français que j’ai entendu et qui ont exprimé leur désaccord avec les
liens familiaux pouvant exister en politique, que par conséquent pas plus que mon compagnon Louis Aliot ne sera ministre dans mon gouvernement, Marion (la nièce) ne pourrait
l'être non plus" expliquait
ainsi, fin mars, la candidate frontiste.
Largement battue avec 33,9% des suffrages contre les 66,1% qui font d'Emmanuel Macron le nouveau Président de la République, elle n'aura donc pas à se poser la question, celle qui s’est vue appliquer en plein, ce 7 mars 2017, le « dégagisme » qu’elle avait appelé haut et fort de ses voeux.
Elle aura par conséquent tout le temps nécessaire pour enfin se rendre aux diverses convocations des Juges, notamment dans les affaires liées au Parlement européen.
Largement battue avec 33,9% des suffrages contre les 66,1% qui font d'Emmanuel Macron le nouveau Président de la République, elle n'aura donc pas à se poser la question, celle qui s’est vue appliquer en plein, ce 7 mars 2017, le « dégagisme » qu’elle avait appelé haut et fort de ses voeux.
Elle aura par conséquent tout le temps nécessaire pour enfin se rendre aux diverses convocations des Juges, notamment dans les affaires liées au Parlement européen.
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