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mercredi 28 octobre 2020

Pierre-Antoine Capton se fait tirer le portrait par Libé qu’il « rêverait de racheter » !

Pierre-Antoine Capton se fait tirer le portrait par Libé qu’il « rêverait de racheter » !

« Ce nouvel acteur s’est développé à toute vitesse, à force d’acquisitions : il agrège dorénavant une trentaine d’entreprises européennes dans la production, la distribution, la diffusion de contenus audiovisuels. Chiffre d’affaires : 338 millions d’euros en 2019. L’objectif ? » écrit Jérôme Lefilliâtre dans le portrait qu’il fait de Pierre-Antoine Capon dans Libé.

Avec un titre à double voir triple sens « C à lui Pierre-Antoine Capton » [comme par exemple Tout ça…C bien à lui PAC] l’article explique comment ce faux modeste – « il est originaire de de Trouville (pas de Deauville, chez « les bourgeois » (sic) – qui campe  « ce sentiment d’illégitimité un peu surjoué » (sic) est devenu celui qui « a passé deux mois à New York car ne parlant pas anglais pour suivre des cours dispensés par un type de la Deutsche Bank mais aussi et surtout en tournée à Wall Street pour vendre Mediawan aux investisseurs anglo-saxons » (sic)

« Il s’apprête en effet à revendre sa boîte, Troisième Œil, au groupe Mediawan, à l’honneur dans la dernière saison de Dix pour cent, qu’il préside et a cofondé il y a cinq ans avec le milliardaire des télécoms Xavier Niel et le banquier d’affaires Matthieu Pigasse » (sic).

« Grâce à cette opération, ‘’demain, je vais être riche’’, constate sans orgueil «PAC», qui dit vouloir réinvestir une partie de l’argent dans la nouvelle structure détenant Mediawan (la société vient de sortir de la Bourse via une OPA conduite par ses trois créateurs Niel, Pigasse et donc Capton ). » (sic)

« L’objectif ? »  s’interroge Libé :

- A moyen terme, racheter des titres de presse… « un gage de respectabilité » (sic) voire un autre club de foot que "Le Stade Malherbe de Caen, le club de foot que Capton vient de racheter avec un fonds d’investissement américain." (sic)

« PAC concède quand même un désir de presse. Il y a quelques mois, il a failli reprendre Paris Normandie. Il rêve davantage de l’Equipe ou de Libé. Un autre gage de respectabilité » écrit encore Libé.

- A court terme, continuer à se faire toujours plus d’argent.  «Amener Mediawan à un niveau mondial, répondre à la demande des plateformes» (dixit Capton)…et pour cela il faut des pépettes, beaucoup de pépettes et du faste. « Les bureaux de patrons méritent toujours qu’on s’y attarde, tant ils en disent long sur leurs occupants. Celui de Pierre-Antoine Capton couronne, au septième étage, un superbe immeuble Art Déco de l’avenue de Breteuil, dans le 7ème arrondissement de Paris (14000 euros le mètre carré d’habitation dans le quartier). L’espace y est immense ; la terrasse parsemée de fauteuils qui le longe est à vous faire mourir d’envie ; la vue sur le dôme doré des Invalides, tout proche, semble avoir été pensée pour les besoins d’une série Netflix sur la vie glamour d’une Américaine à Paris. » (sic)

Il faut leur en mettre plein la vue à ces petits GAFAM ! « Le siège du groupe brille aussi pour impressionner les dirigeants de Netflix, Amazon et Disney, lorsqu’ils passent en France pour traquer les bonnes idées de séries, documentaires et animations. » (sic)

Dire que Tout ça, c’est en très grande partie grâce à France Télévisions la télévision de Service publique payée par le contribuable !

« Le producteur remporte la timbale (*) l’appel d’offres de France 5 sur lequel l’a aiguillé son ami Jacques Chancel, avec le concept de C à vous, l’émission quotidienne sur France Télévisions » (sic)

(*) Définition : Remporter ou gagner la timbale, décrocher ou gagner  le jackpot , gagner le cocotier ou encore décrocher le coquetier : obtenir une chose disputée ; obtenir un résultat important…

Et se les faire or (les coquetiers évidement) !

Comme l’écrit si bien Libé mais aussi le blog CGC Média qui – hasard du calendrier – vient de publier deux derniers posts sur l’intéressé (liens en bas de page), « Ce nouvel acteur s’est développé à toute vitesse, à force d’acquisitions : il agrège dorénavant une trentaine d’entreprises européennes dans la production, la distribution, la diffusion de contenus audiovisuels » (sic)

Et combien de productions quotidiennes, hebdomadaires et autres compte-t-il aujourd’hui à France Télévisions ?

Une dizaine ? Une quinzaine ? Plus ?

Quel est le montant de l’enveloppe qu’Ernotte a signé avec les entreprises de PAC ou celles de son cercle proche ces trois dernières années ? Quelques dizaines de millions ?

Quelques centaines de millions ? Combien, au final ?

L’IGF qui devrait se pencher sur le montant des contrats passés après les révélations de Médiapart sur l’exorbitant contrat de 100 millions d’euros signés avec la société de Nagui détenue par Banijay, sera sûrement très intéressé par le papier de Libé.







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