La honte de la République attisée par la télé publique avec l’affaire Chalus/Pincemail/Gengoul/Ernotte.
Une interpellation au chef de l'État
A
force de ressasser à l’envi à l’oreille d’Emmanuel Macron que « la
télé publique n’intéresse personne et que tout est en place pour son implosion »,
certains conseilleurs constatent ces derniers jours, les dégâts que
la médiatisation de l’affaire Chalus/Pincemail/Gengoul/Ernotte provoque.
« A cause de certains pourris,
les gens ne nous serrent même plus la main…ils nous insultent plutôt » dénonce ce journaliste de Guadeloupe La 1ère
qui découvre jour après jour, ce que la télé publique a été capable d’engendrer !
Ce
dernier comme nombreux de ses collègues ne comprennent toujours pas pourquoi et
comment Emmanuel Macron qui en 2017 qualifiait la gouvernance de France Télés
de « Honte de la République », n’est pas encore
intervenu ?!
Notre homme n’y va pas par quatre chemins. « Votre démission et celle de votre préposée à l’Outremer sur mon bureau dans l’heure. Voilà ce que doit demander Emmanuel Macron au tandem Gengoul/Ernotte » suggère ce collaborateur en colère, ajoutant « Ce n'est pas plus compliqué que cela...C'est la seule chose à faire vu cet incroyable scandale digne d’une République bananière ».
Il venait de prendre connaissance du dernier article de l’ADAP qui posait ce matin la question de savoir « Qui allait gagner la bataille sur la probité » que l’ex-Orange a chantée sur tous les toits à France Télévisions, entre « Les règles de fonctionnement en interne ou une obscure loge de Guadeloupe qui dans l'affaire politico-financière qui secoue la Guadeloupe et France Télévisions Guadeloupe la 1ère ? »
Il revient sur ce que dénonce le site média « L’attitude de Sylvie Gengoul qui a dirigé la station de Guadeloupe de 2015 à 2019 et qui ne pouvait ignorer que son journaliste à Guadeloupe la 1ère (chef d'entreprise, conseiller politique, organisateur d'événementiels, restaurateur/traiteur, un vrai couteau suisse qui avait en charge les dossiers et émissions politiques à l'antenne), avait été condamné en 2018 par la justice », avant de parler de « déshonneur pour les rédactions d'outre-mer ».
Il évoque enfin « la perquisition qui a eu lieu au domicile du journaliste et de ce que les agents ont découvert » et de conclure « Comment l’intéressé pouvait-il encore se pavaner, ce lundi matin dans les couloirs de la station de Baie Mahault ? Le même qui précisait à qui voulait l’entendre qu’aucune action n'étant entreprise à son encontre que la direction lui avait demandé de prendre des congés – payés par le contribuable - le temps que la pression retombe ».
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