Avec l'argent des Français, on peut tout faire, particulièrement s'en servir pour faire croire à un soi-disant combat politique qui n'est en réalité qu'une posture...mais également :
Faire fabriquer et produire un nouveau numéro de "Complément d'enquête" visant CNews comme le révélait l'article de La Lettre du 24 novembre signé Catherine Boullay "CNews – France TV : enquêtes croisées et agendas mystères" qui confirme ce que le titre de presse avait déjà révélé il y a quelques semaines, en exclusivité.
- Déposer une plainte contre CNews et Bolloré, en embarquant au passage la pédégère de Radio France pour faire croire à une pseudo cabale, est minable. Ernotte mettant une fois encore à contribution les cabinets d'avocats de France Télés avec des dizaines de milliers d'euros dans une plainte de 80 pages contre CNews, Europe 1 et le JDD devant le tribunal des affaires économiques de Paris, sans que le Conseil d'Administration l'ait validé apparemment.
La plainte de Radio France ne comporte, elle, que 60 pages. France Télévisions et Radio France réclament respectivement 1 million et 500 000 euros en dommages et intérêts pour une supposée «campagne de dénigrement virulente à leur égard». Première audience prévue le 29 janvier 2026.
Plus de 30 millions d'euros par an, c'est le montant estimé de l'enveloppe que France Télévisons provisionne chaque année pour les divers procès qu'elle essuie ou qu'elle engage comme celui qui vise CNews et les média du groupe Bolloré.
- Tenter de discréditer la commission d'enquête pourtant validée par l'Assemblée nationale donc la Représentation populaire;
- Financer avec les deniers publics des émissions extérieures à la gloire de l'ex-Orange (Laurence Bloch and co, récemment dans l'émission de Salamé "Quelle époque!" )
Chronologie des faits:
- En septembre dernier, Ernotte décidait avec une interview dans Le Monde accordé à sa pote Aude Dassonville, de dénigrer non seulement CNews mais aussi les média du groupe Bolloré. "Il faut admettre que CNews est un média d’opinion. Qu’ils assument d’être une chaîne d’extrême droite !" assénait-elle dans les colonnes du quotidien.
C’était la première phase de la dissuasion nucléaire orchestrée à France Télévisions, destinée à CNews et au groupe Boloré afin d'éviter des articles de presse peu aimables ou encore la diffusion d’une soirée autour d'un doc qui était dans les tuyaux, à venir sur la chaîne d'info visant Ernotte et ses pratiques
- Apprenant que cette émission était bien dans les tuyaux et bien que n'en connaissant pas encore la teneur malgré des espions envoyés devant les locaux de la chaîne pour essayer de tirer les vers du nez de quelques-uns sur le déroulement de cette soirée spéciale, c'est cette fois-ci un missile qui allait être lancé vers Vincent Bolloré et son groupe sur l'air de "Vous ne semblez pas bien comprendre ce qui va vous arriver! "
C'était la seconde phase de la dissuasion, la première n'ayant pas été suffisante !
Extrait de l'article de La Lettre du 24/11 :
"À France 2 et à CNews, deux enquêtes sont en cours de finalisation en attendant leur date de programmation et leur diffusion au grand public. À CNews, Guillaume Genton, l'ex-chroniqueur de Touche pas à mon poste !
(TPMP), qui produit l'enquête sur France télévisions, s'est appuyé sur le rapport de la Cour des comptes publié le 23 septembre.
Le premier volet donne le ton en se penchant sur "la gabegie à France télévisions", avant de dénoncer une série de dysfonctionnements du groupe audiovisuel public. Cette enquête, plusieurs fois reportée, doit être diffusée à l'occasion d'une soirée spéciale en prime time inspirée des Dossiers de l'écran, émission culte de la deuxième chaîne dans les années 1970, suivie d'un débat...."
Il n'y a pas grand chose à attendre du doc monté en épingle par France Télés....Ce que peut d'ores et déjà vous préciser le blog CGC Média, c'est que les morceaux choisis des interviewés qu'il s'agisse de :
- Karl Olive, député du groupe Ensemble pour la République Yvelines (12e circonscription) et producteur de télévision, entrepreneur et homme politique français.
- André Vallini, ancien homme politique français, ex-député et ancien membre du Parti socialiste ou encore de
Maître Gilles-William Goldnadel avocat pénaliste,
ne sont pas de nature à casser 3 pattes à un canard et encore moins d'aller dans le sens du dénigrement auquel voudraient faire croire Ernotte qui n'a que ça pour tenter de censurer ses détracteurs dans un "monde tel qu'elle veut qu'il soit et non tel qu'il est" !
La liberté d’expression, étant encore un principe dans notre Pays, il ne peut y avoir un tribunal quel qu’il soit - de Commerce ou pas - qui déciderait de la censurer au motif qu’elle ne fait pas plaisir à celle qui en est à son 3eme parachutage et qu'à n'en pas douter, la commission d’enquête de l'Assemblée nationale aura tôt fait d'en démonter les pitoyables rouages





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