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dimanche 26 avril 2020

Franck Riester, Aurore Bergé et Delphine Ernotte à l’affiche de « Je sais rien mais je dirai tout » !

Franck Riester, Aurore Bergé et Delphine Ernotte à l’affiche de « Je sais rien mais je dirai tout » !

Il y a ceux qui savent et n’en disent pas trop, puis il y a ceux qui savent rien mais qui disent tout et souvent son contraire ! Franck Riester, Aurore Bergé et Delphine Ernotte, entre autres, sont de ceux-là et la plupart du temps tapent à côté de la plaque particulièrement dans cette période de pandémie où par exemple Franck le toujours ministre, annonçait la tenue de festivals de moindre ampleur dès le 1 mai prochain ou encore Aurore sa rapporteure qui voulait un vote de SA loi avant l’été donc le21 juin ! 


A quoi bon finalement les interroger ? C’est pourtant ce que continue de faire le Sénat. 

C'est en effet jeudi prochain, le 30 avril, que les sénateurs entendront l’ex-Orange comme ils devraient le faire d'ici les semaines à venir pour les dirigeants de l'audiovisuel privé afin d'avoir une photographie du secteur dans cette période de crise sanitaire et financière qui impacte durement notre Pays.

Catherine Morin-Dessailly (LR), Jean-Pierre Leleux (LR), Hervé Gattolin (LREM), David Assouline (PS), Claude Malhuret (Indépendants) et Jean-Raymond Hugonet (LR), auront dans un premier temps déjà auditionné en visioconférence le président du Roch-Olivier Maistre ce mardi 28 avril à 15 heures. 

Il semble que Gérard Larcher le président du Sénat ait demandé à toutes les commissions de mesurer l'impact sur l’ensemble des secteurs d’activité de l’impact de l’épidémie de coronavirus. 

Il ne s’agira donc en aucun cas pour l’ex-Orange d’aller faire son inutile autopromotion à quelques semaines de son départ – cela n’aurait pas de sens – mais plutôt de faire un point sur la situation alors que la France entame sa sixième semaine de confinement. 

Il n’est donc pas question pour celle qui, en ce début d’année devant la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale, exigeait "tout un arsenal législatif face à la guerre culturelle de Netflix" donc de l’argent, passant au passage la brosse à reluire à Riester et son exécutante Aurore Bergé pour leur projet de loi sur l'audiovisuel (aujourd’hui mort-né) qui devra selon elle donner permettre de "jouer à armes égales" avec Netflix et faire face au futur "raz-de-marée" Disney+" de refaire devant les six sénateurs son numéro qui ne trompe plus personne et n'a que peu de rapport avec la télévision de toute façon.

La récente audition de Franck Riester - l’intéressé cherchant ses notes n’avait comme à son habitude quasiment rien dit entretenant l’intense flou sur la plupart des sujets - n’avait bien entendu pas permis de connaitre les orientations du gouvernement avant la crise…alors après, pensez donc !

Pas plus que les cris d’orfraie que poussait Aurore Bergé qui, en tant que rapporteure de la loi faisait voter en commissions le rejet de l’ensemble des amendements susceptible de maintenir France 4 – le sujet devrait également s'inviter dans la conversation – et s’indignait (tu parles !) après coup de cette décision Riestero-ernottienne incompréhensible vu l’utilité indéniable de la chaine Jeunesse.

Un seul objectif pour le Sénat:  faire des propositions de sortie de crise…un point c'est tout!

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