Dans son numéro 876 du 31 janvier au 6 février 2014, le magazine Marianne en page 18 publie un article intitulé ""Le Magot et Millot" où l'intéressé charge la dierction de France Télévisions à laquelle il a pourtant appartenu pendant des années.
"Les procédures d'appels d'offres ne sont pas du ressort des prestataires. La direction est seule responsable de leur respect" .
Faux et archi faux...Sinon pourquoi les délits de "complicité et de recel" passibles des mêmes sanctions que le délits eux-mêmes existeraient-ils????
Quand bien même cela serait, avec une telle déclaration HALLUCINANTE que le SNPCA-CGC partie civile dans la plainte transmets immédiatement au juge Van Ruymbeke, Millot se tire une balle dans le pied.
Pourquoi ? Parce que au moment où Bygmalion la société de Millot signe des contrats avec France Télévisions, Millot est bien membre de cette direction (*) qu'il accuse aujourd'hui "d'être seule responsable de ne pas avoir respecté les appels d'offres".
(*) Bastien Millot a quand même un certain culot de faire porter la faute à la dierction de France Télévisons pour les contrats signés avec sa société dès 2008 alors qu'il est membre de cette direction depuis 2005 et ce jusqu'à fin septembre 2010.
Première période : Du 18 avril 2008 au 30 septembre 2009
Deuxième période : Du 1er octobre 2009 au 30 septembre 2010
Donc le 21 décembre 2009, lorsque Bygmalion la propre société de Bastien Millot qui est toujours sous contrat avec France Télévisions reconduit différents contrats de prestations entre lui et son employeur FTV, il le fait en toute connaissance de cause et en violant, notamment, les dispositions de l’accord France Télévisions S.A. du 26 juin 2003 qui a force de loi et fixe clairement les règles aux articles 17 « Exclusivité de collaboration » et 18 « Intérêts croisés » :
(*) Bastien Millot a quand même un certain culot de faire porter la faute à la dierction de France Télévisons pour les contrats signés avec sa société dès 2008 alors qu'il est membre de cette direction depuis 2005 et ce jusqu'à fin septembre 2010.
Millot enchaînera deux périodes de congé sabbatique (donc toujours sous contrat à FTV)
Première période : Du 18 avril 2008 au 30 septembre 2009
Deuxième période : Du 1er octobre 2009 au 30 septembre 2010
Donc le 21 décembre 2009, lorsque Bygmalion la propre société de Bastien Millot qui est toujours sous contrat avec France Télévisions reconduit différents contrats de prestations entre lui et son employeur FTV, il le fait en toute connaissance de cause et en violant, notamment, les dispositions de l’accord France Télévisions S.A. du 26 juin 2003 qui a force de loi et fixe clairement les règles aux articles 17 « Exclusivité de collaboration » et 18 « Intérêts croisés » :
Bastien Millot est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 19951.
De 1995 à 1997, il est assistant parlementaire de Jean-François Copé, alors député RPR de Seine-et-Marne2,3. Il devient ensuite son directeur de cabinet à la mairie de Meaux[précision nécessaire]4.
En 2002, Bastien Millot est nommé directeur de cabinet au secrétariat
d'État aux relations avec le Parlement. À cette époque, il est le seul
non-fonctionnaire à occuper un poste de directeur de cabinet et, à 29 ans, il est le benjamin des « dircabs »5.
En 2004, il est nommé chef de cabinet et conseiller auprès du ministre délégué à l'Intérieur4. Il est également directeur de campagne de Jean-François Copé aux élections régionales de 2004 en Île-de-France6. En décembre 2004, il est nommé directeur-adjoint de cabinet au ministère délégué du budget et de la réforme de l'État7.
Bastien Millot a été parallèlement[précision nécessaire] adjoint UMP de la maire de Beauvais, Caroline Cayeux.
En 2004, il est condamné à une amende de 8 000 euros pour avoir signé
des heures supplémentaires indues à un chauffeur de la ville8,9,10.
En 2005, son nom est cité dans les médias dans le cadre de l'affaire Gaymard
car il occupe l'appartement privé de Jean-François Copé. Ce dernier
jugeait cet appartement « totalement inhabitable » et disposait d'un
logement de fonction, loué par l'État11.
Bastien Millot devient, durant l'été 2005, directeur délégué du groupe audiovisuel public France Télévisions, chargé de la communication, de l'innovation et de la stratégie auprès du président du groupe, Patrick de Carolis12. Il exerce également les fonctions de vice-président et secrétaire général de la fondation d'entreprise France Télévisions13 et de président-directeur général de France Télévisions Services14, groupement d'intérêt économique qui assure la gestion des services généraux du groupe France Télévisions.
En , il fonde le Club France Télévisions15 qui totalisera deux ans plus tard deux millions de téléspectateurs membres16.
En , tout en conservant ses précédentes fonctions, Bastien Millot prend la direction générale de Multimédia France Productions (MFP)17, une filiale du groupe France Télévisions, spécialisée dans la production de programmes télévisuels, ainsi que le sous-titrage18.
Il est par ailleurs, de l'été 200519 à l'été 200820, actionnaire, administrateur et représentant permanent de TV5MONDE.
À l'automne 2008, Bastien Millot quitte France Télévisions pour créer
« une agence spécialisée dans le conseil et la communication »21 et devenir d'octobre 2008 à mars 2010 conseiller régional UMP de Picardie en remplacement d'Antoine Lefèvre (fraîchement élu sénateur)22. [il est en congé sabbatique les deux ans qui suivent donc toujours sous CDI, donc toujours contractuellement, membre de la direction de FTV... ndlr]
Le juge Renaud Van Ruymbeke appréciera surement.
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