"Chacun sa merde" répond
à 51'34" Michel Field dans
"Le Supplément", ce dimanche
10 avril sur Canal + à Ali Badou qui l'interroge sur l'émission
avec Hollande et la participation de Léa Salamé à l'émission en restant chez
Ruquier.
"Chacun sa merde" donc! Au fait, quelle est cette "merde"
dont parle celui qu'Ernotte supporterait de moins en moins
?
L'ex Orange qui ne sait plus vers qui se tourner, Denis Pingaud,
Stéphane Sitbon-Gomez, Emery Doligé...pour éviter l'embrasement !
Renaud
Revel dans
son récent article "France
Télévisions: Delphine Ernotte sur le Field du rasoir" prédit,
tellement la colère gronde, un scénario identique à celui qui s'est déroulé sur
Radio France l'année dernière.
Extrait : " Murée dans un silence qui devient pour le moins assourdissant, (au même titre que celui du CSA qui l’a nommé et où l’on fait l’autruche), Delphine Ernotte se retrouve confrontée à la première véritable crise de son jeune mandat. Or celle qui espérait profiter de la création d’une chaine d’information flambante neuve, maladroitement baptisée « France Info », pour asseoir sa légitimité, se retrouve prise au piège. Pire, c’est tout l’édifice de son projet caché qui prend doucement l’eau: celui de la création d’un audiovisuel publique, (radios et télés) rassemblé sous la seule bannière de France Télévisions et dont « France Info » devait être la préfiguration.
D’une fidélité canine jusqu’ici, l’entourage proche de la PDG commence à douter d’une stratégie pour le moins osée. Il n’est de voir l’incendie que déclencha le PDG de Radio-France, Mathieu Gallet, qui faillit sauter comme un bouchon de champagne en imaginant pouvoir délocaliser d’un claquement de doigt les deux orchestres de sa maison, avant que les syndicats ne le contraignent à reculer! C’est le vent du boulet qui ramena notre homme à la raison.
Qu’en sera-t-il pour Delphine Ernotte si elle persistait à vouloir tenir bride courte une population de journalistes sur le qui-vive guerrier? Michel Field saura-t-il apaiser des rédactions chauffées à blanc et au bord de l’implosion? Il y a fort à craindre qu’un Rubicond ait été franchi. Et que la crise ne s’installe."
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