L’ex-Orange développe à France Télévisions aujourd’hui
les mêmes méthodes qu’a France Télécom il y a dix ans !
« La situation était critique. L'entreprise était "en péril"…il fallait absolument redresser les comptes… Dans un environnement "de plus en plus concurrentiel", il était indispensable de transformer l’entreprise alors qu’éclatait le numérique et l’internet "… les évolution technologiques, réglementaires et conjoncturelles l’imposaient…» martèlent régulièrement depuis plusieurs jours Didier Lombard et ses coprévenus depuis le début du procès au Pénal qui les vise.
Les juges d'instruction soulignaient pourtant dans leur ordonnance de renvoi devant le tribunal qu’évoquait l'AFP dans une de ses dépêches que "la stratégie industrielle mise en œuvre à travers le plan [de transformation (Next), ndlr] faisait fi de la composante humaine de l'entreprise".
« La situation était critique. L'entreprise était "en péril"…il fallait absolument redresser les comptes… Dans un environnement "de plus en plus concurrentiel", il était indispensable de transformer l’entreprise alors qu’éclatait le numérique et l’internet "… les évolution technologiques, réglementaires et conjoncturelles l’imposaient…» ressasse aujourd’hui l’ex Orange qui voilà dix ans siégeait au CODIR avec les dirigeants jugés intuitu personae en Correctionnel.
Très proche des anciens numéros deux et DRH Louis-Pierre Wenes, ex-patron de la filiale France de France Télécom et Olivier Barberot, l'ancien DRH tous deux mis comme les autres en examen au terme de l’instruction pour harcèlement moral suite aux suicides intervenus à l’époque, l’ex Orange ne s’était en effet jamais désolidarisée du CODIR et avait validé l’ensemble des décisions prises.
Elle n’a évidemment jamais donné sa démission !!!!
« L’Histoire est un éternel recommencement » dit l’adage…Les salariés de France Télévisions malgré les efforts de certains syndicats soutiens de la direction tentant vainement de prétendre que la politique menée pour l’entreprise serait porteuse, bonne et nécessaire, vivent au quotidien une décennie plus tard les mêmes angoisses, le même stress, les mêmes humiliations, les mêmes pressions, les mêmes méthodes consistant à les pousser vers la sortie (les seniors de préférence !)…etc.
Dernière trouvaille machiavélique de l’ex-Orange et ses lieutenants pour ce faire, arrêter les émissions emblématiques du service public les unes derrière les autres faisant preuve d’un jeunisme aussi débile que déplacé et se réfugiant derrière de soi-disant nouvelles habitudes de consommation télévisuel qui les feraient agir ! Du pipeau tout ça…
Entre la fin Patrick Sébastien et la fin des émissions les Années Bonheur et le Plus Grand Cabaret du Monde, la suppression de Motus, Dimanche en France, Thé ou Café, de C’est au Programme après plus de 20 ans de bons et loyaux services, etc…dont les collaborateurs sont jetés comme de vulgaires Kleenex, les autres dont nombre de précaires qui totalisent 10, 15, 20 voire 30 ans de contrats pour quelques-uns, sont priés de signer un nouveau contrat – pour se retrouver le plus souvent dans la filiale – avec comme premières conséquences la perte de leur couverture conventionnelle mais aussi et surtout la non reprise de leur ancienneté !
Enfin puisqu’on leur répète constamment à France Télés « Ce sont les évolution technologiques, réglementaires et conjoncturelles l’imposent…»…qui pourrait bien faire autrement ?
Le Chef de l’État après les européennes par exemple !!!!!
« La situation était critique. L'entreprise était "en péril"…il fallait absolument redresser les comptes… Dans un environnement "de plus en plus concurrentiel", il était indispensable de transformer l’entreprise alors qu’éclatait le numérique et l’internet "… les évolution technologiques, réglementaires et conjoncturelles l’imposaient…» martèlent régulièrement depuis plusieurs jours Didier Lombard et ses coprévenus depuis le début du procès au Pénal qui les vise.
Les juges d'instruction soulignaient pourtant dans leur ordonnance de renvoi devant le tribunal qu’évoquait l'AFP dans une de ses dépêches que "la stratégie industrielle mise en œuvre à travers le plan [de transformation (Next), ndlr] faisait fi de la composante humaine de l'entreprise".
« La situation était critique. L'entreprise était "en péril"…il fallait absolument redresser les comptes… Dans un environnement "de plus en plus concurrentiel", il était indispensable de transformer l’entreprise alors qu’éclatait le numérique et l’internet "… les évolution technologiques, réglementaires et conjoncturelles l’imposaient…» ressasse aujourd’hui l’ex Orange qui voilà dix ans siégeait au CODIR avec les dirigeants jugés intuitu personae en Correctionnel.
Très proche des anciens numéros deux et DRH Louis-Pierre Wenes, ex-patron de la filiale France de France Télécom et Olivier Barberot, l'ancien DRH tous deux mis comme les autres en examen au terme de l’instruction pour harcèlement moral suite aux suicides intervenus à l’époque, l’ex Orange ne s’était en effet jamais désolidarisée du CODIR et avait validé l’ensemble des décisions prises.
Elle n’a évidemment jamais donné sa démission !!!!
« L’Histoire est un éternel recommencement » dit l’adage…Les salariés de France Télévisions malgré les efforts de certains syndicats soutiens de la direction tentant vainement de prétendre que la politique menée pour l’entreprise serait porteuse, bonne et nécessaire, vivent au quotidien une décennie plus tard les mêmes angoisses, le même stress, les mêmes humiliations, les mêmes pressions, les mêmes méthodes consistant à les pousser vers la sortie (les seniors de préférence !)…etc.
Dernière trouvaille machiavélique de l’ex-Orange et ses lieutenants pour ce faire, arrêter les émissions emblématiques du service public les unes derrière les autres faisant preuve d’un jeunisme aussi débile que déplacé et se réfugiant derrière de soi-disant nouvelles habitudes de consommation télévisuel qui les feraient agir ! Du pipeau tout ça…
Entre la fin Patrick Sébastien et la fin des émissions les Années Bonheur et le Plus Grand Cabaret du Monde, la suppression de Motus, Dimanche en France, Thé ou Café, de C’est au Programme après plus de 20 ans de bons et loyaux services, etc…dont les collaborateurs sont jetés comme de vulgaires Kleenex, les autres dont nombre de précaires qui totalisent 10, 15, 20 voire 30 ans de contrats pour quelques-uns, sont priés de signer un nouveau contrat – pour se retrouver le plus souvent dans la filiale – avec comme premières conséquences la perte de leur couverture conventionnelle mais aussi et surtout la non reprise de leur ancienneté !
Enfin puisqu’on leur répète constamment à France Télés « Ce sont les évolution technologiques, réglementaires et conjoncturelles l’imposent…»…qui pourrait bien faire autrement ?
Le Chef de l’État après les européennes par exemple !!!!!
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