La ridicule bouffonnerie qui s’est déroulée au sein de la télé d’État syldave fera évidemment de nombreuses victimes collatérales.
Depuis la publication mi-août du premier épisode
de cette saga Syldavo-Bordure que le blog CGC Média a choisi de publier « Le
"gros boum" de la télé publique n’aura pas lieu ! »,
le feuilleton devrait continuer à s’étoffer avec de nombreux rebondissements à couper
le souffle.
Le troisième volet intitulé « La
saga Syldavo-Bordure (ter) ou la consécration de l’homme par qui le scandale
arrive ! » avait déjà tenu toutes ses promesses mais le
quatrième opus qui met encore plus en lumière les basses manœuvres du chef du Conseil
Audiovisuel Syldave (le CAS), devrait encore tenir ses fans en haleine.
Sans trop déflorer l’intrigue qui risque
fort de tourner vinaigre pour les esprits tordus qui ont cru pouvoir la mettre
en œuvre impunément, les révélations ne devraient pas manquer dans les prochains épisodes.
On apprendra par exemple comment, le plus immoralement qui soit, le chef du CAS (Conseil Audiovisuel Syldave) a sondé son collège pour savoir comment il se comporterait et pour agir en conséquence au cas où il ne serait pas suivi !
Rappel sommaire des épisodes précédents sur ces problèmes en
matière de télé d’État auxquels « nos voisins
syldaves sont confrontés ».
Le 18 août dernier, le blog CGC Média dans
son post « Le
"gros boum" de la télé publique n’aura pas lieu ! »
vous contait l’histoire de cette de ce petit État d’Europe orientale, qui avait annoncé réformer
sa télévision publique pour cause « d’indignité républicaine » et voulait provoquer
une telle déflagration dont le peuple
syldave n’allait pas revenir !
« La Syldavie voisine de la Bordurie, ne sort pas grandie de cette pitoyable mascarade dont chacun pouvait croire qu’elle était d’un autre temps mais qui au bout du compte ridiculise la parole présidentielle comme elle plombe pour longtemps la télé publique syldave qui avait Impérativement besoin d’évoluer avec son temps » écrivions-nous.
Le 22 septembre, suite de la saga
syldavo-bordure avec un nouveau post « Ça barde
en Syldavie...le scandale de la télé publique pourrait bien éclabousser
jusqu'au chef de l'État ! ». Le titre à lui seul n’avait guère besoin d’être explicité.
Aujourd’hui, deux camps
s’affrontent. Il y a ceux qui pensent que le Chef de l’État syldave ne voulait
pas s’en mêler, au mieux a tourné la tête pour ne pas voir vraiment ce que
certains de ses proches tramaient en son nom et ceux qui disent que c’est impossible,
que jamais un Président en Syldavie, ne serait resté en dehors du coup bien
au contraire !
Sinon expliquent-ils
très logiquement, notre homme à la tête du CAS ne se serait pas vanté d’avoir écrit au Premier
ministre syldave pour discuter de sa nomination à la présidence de l’ECRAN - comprenez
l'Établissement de Contrôle Républicain de l’Audiovisuel National - la nouvelle instance que
le gouvernement avait imaginé créer fusionnant le CAS Conseil
Audiovisuel Syldave et l’AGONI Autorité de
Gestion des Œuvres Numériques et Intellectuelles ! (lire « La
saga Syldavo-Bordure (ter) ou la consécration de l’homme par qui le scandale
arrive ! »)
Il faut dire qu'il y a eu déjà de quoi pimenter notre action ! Des lièvres en guise de pseudo participants avec un ordre de passage bidon, un ou deux coups de
téléphone discrets avant un déjeuner collégial, « l’idée deux jours avant le dénouement de l’invraisemblable
mascarade, d’un diner à l’initiative d’une représentante du peuple
présidente de commission de la Haute Chambre syldave avec une demi-douzaine de convives dont entre autres le
président du CAS, une productrice ex-membre de l’instance, un producteur en
activité dont beaucoup croyait qu’il roulait pour un autre candidat…Bref
des pros du secteur amenés à échanger sur ce que sera la télé pour
les années à venir avec la même présidence ! » et tout le monde n’y verrait que du feu !
C’est mal connaitre les sujets syldaves qui n’aiment pas qu’on les prenne pour des andouilles!
«Le 2 octobre fut l’occasion d’un « troisième épisode de ce feuilleton qui a tenu nos lecteurs en haleine cet été et qui, loin d'être terminé, devrait continuer quelques semaines encore à passionner jusqu’à la déflagration finale » indiquions-nous encore, ajoutant « Le Président de ce petit État d’Europe orientale, bien mal aujourd’hui, pourrait payer très cher et très vite cette pathétique farce médiatique … ».
« ll ne bougera pas » commentent plusieurs de nos lecteurs quand d’autres imaginent qu’« il ne va pas d’autre choix de faire stopper au plus vite cette farce » avant qu’elle ne le lui colle définitivement aux basques et compromette radicalement les chances de réélection qu’il ambitionne.
Loin de nous l’idée
de divulgâcher la série, comme on dit dans le Larousse depuis
2019 mais un indice pourrait toutefois mettre nos lecteurs sur la voie : L’affaire est loin d’être classée
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire