Rima Abdul Malak plombe la cérémonie des Molières avec son autopromotion en direct !
Avant de filer les centaines de millions que réclame l’ex-Orange pour recapitaliser l’entreprise (*), celle qui a passé la soirée pour assister à la cérémonie des Molières avec à sa gauche Michel Field (le positionnement coulant de source !) ce proche d’Ernotte, ex-monsieur info de France Télés défié à deux reprises avant sa promo, a cru devoir faire sa propre pub plombant de facto la remise des statuettes.
Après l’intervention de deux artistes cégétistes sur scène
concernant la réforme des retraites, a demandé un micro pour répondre tapotant même
dessus pour voir s’il fonctionnait.
« Pardon, je sais que vous avez pas l’temps mais là ça va. D'habitude,
le rôle du ministre, c'est de rester assis à ne rien dire. Mais, là, c'est pas
possible » (sic) a-t-elle lancé, ajoutant « Cette phrase de Gérard
Philipe, elle date de 1957. Il n'y avait même pas de ministère de la Culture à
l'époque [créé deux ans plus tard, ndlr] »
« Aujourd'hui, il y a un ministère de la Culture qui défend haut et fort
l'exception culturelle française, qui défend le régime de l'intermittence qui
est une fierté pour notre pays. Vous avez un ministère qui a apporté des aides
massives pendant la crise (sanitaire) pour vous soutenir tous » a déclaré Rima Abdul Malak qui
s’est ensuite vantée « Vous avez une ministre à la tête de ce
ministère qui a débloqué un budget historique le plus haut avec une hausse de +
7% par rapport à l’année dernière. Inflation, factures d’énergie, j'ai débloqué
des aides exceptionnelles pour venir en aide aux structures les plus fragiles.
Menaces contre des expos, contre des spectacles à chaque fois j’ai levé la voix
pour défendre la liberté de création…»
Michel Field regardant ses pompes et tentant de fuir la caméra, l’a ensuite entendu comme
l’ensemble de l’auditoire accuser les syndicats d'avoir décidé d'annuler
eux-mêmes deux réunions avec elle, dont une prévue le 27 avril. « Il est
encore temps de changer d'avis, ma porte est ouverte », a-t-elle conclu
avant de se rassoir.
Du jamais vu…Pas sûr que la sortie de la voisine du dirlo
ernottien sur la télé publique avec ses « J’ai, j’ai, j’ai… »
à la file indienne, a été de nature à réjouir la Profession mais
surtout, efficace pour que l’infirmière TV qui n’a cessé de claironner
depuis une demie douzaine d’années le soi-disant équilibre des finances de l’entreprise
mais qui aujourd’hui chante que l’État n’aura d’autre choix que de recapitaliser
lorsque les contribuables apprennent en
dehors de toutes règles « Les
capitaux propres de France Télévisions qui étaient déjà inférieurs de
la moitié du capital social – ce qui entraîne
normalement à minima, un redressement judiciaire ! - vont encore chuter avec la liquidation
de Salto, ce qui obligeant l'entreprise et son actionnaire à rétablir la situation".
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