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mercredi 29 mai 2024

L’ex-Orange peut bien lui faire la bise, voilà qui ne devrait pas arranger ses rachidiennes espérances !

L’ex-Orange peut bien lui faire la bise, voilà qui ne devrait pas arranger ses rachidiennes espérances !

Du bulbe à la colonne et c’est peu dire, elle la sent cette holding fusionnée « la dame du Majestic » (*) dont selon bien des sources, la présidence lui serait confiée !

Elle l'aurait comme l’écrit l’ADAP dans son dernier post « La stratégie du poisson », en résonance aux pince-fesses politico-médiatiques se multiplient  : «  La dame se dit de Gôôche ! D’ailleurs ces temps-ci, elle fréquente avec assiduité les rassemblements mondains plutôt socialistes. Elle veut se faire voir et se faire…appuyer !! Elle veut diriger la Grande Lessiveuse, INA, Radio France, France Télévisions, réunis dans le même tonneau des Danaïdes budgétaire. Je l’ai même vu embrasser le président Hollande à un anniversaire. » (celui d’un ex-secrétaire général de l’Élysée sous le bon François, selon nos sources.)

Les récent propos de l’ex-président de la République issu du PS, qu’elle lui fasse la bise ou pas, prouvent visiblement que ces danses du ventre ne fonctionnent pas :  ni du côté duquel elle est supposée pencher, ni du côté de la macronie avec le nouveau directeur des docs de FTV Le Studio et ex-président de LCP-AN réputé proche du locataire de l’Élysée surtout par la plume, ni des responsables de la Droite dans les deux chambres !

Ce que vient de déclarer François Hollande, à juste titre, a dû bien la rafraichir au sujet du projet de loi Lafon largement dévoyé pour être rebaptisé Dati.  

"Pourquoi quand ça marche aussi bien vouloir brusquer, brutaliser, je ne vois pas l'intérêt", commente François Hollande, interrogé sur Mouv' ce mercredi sur le projet du gouvernement de fusion de l'audiovisuel public.

"Qu'il y ait des rapprochements, qu'il y ait des convergences, qu'il y ait des gens qui travaillent ensemble, moi ça m'a toujours paru nécessaire. Mais pourquoi faire une loi ? Pourquoi revenir à l'ORTF au moment où on a besoin au contraire de diversité ?", s'interroge l'ancien président de la République. 

"Si je n'ai pas fait de loi sur l'audiovisuel pendant que j'étais président de la République, c'est qu'il y avait des raisons", assure-t-il. "Il ne faudrait pas que ce soit regardé comme l'intérêt des personnels contre ce qui serait une présentation de l'intérêt général. (...) Je fais partie des auditeurs, ça peut s'améliorer, mais pourquoi changer ? Je ne suis même pas sûr que les concurrents du service public en soient ravis. Donc quand personne n'est content, pourquoi bouleverser les choses ?", analyse l'ancien président. 

(*) 





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