Une plainte devrait viser la despotique cégétiste du CASCI-ORTF (ex-CI-ORTF) pour « harcèlement » et le cas échéant, « escroquerie à la sécurité sociale », le tout sur fond d’un suicide qu’il fallait taire ! Seulement voilà, tout se sait finalement !
Le blog CGC Média qui dans son dernier article « A France Télés, la tyrannie doit cesser et la loi être respectée » révélait la souffrance des salariés du Comité interentreprises pour les activités sociales et culturelle des entreprises de l'Audiovisuel public n’en peuvent plus des conditions de terreur que leur fait subir celle qui salariée de France Télévisions, a trouvé le moyen, de se déclarer en accident du travail début avril (le 4 selon nos sources), au motif qu’elle aurait subi un choc psychologique après un soi-disant désaccord survenu 3 semaines auparavant !
Celle qui, nous l’avons détaillé dans le post
précité, nonobstant une quinzaine de ruptures conventionnelles dont le blog CGC
Médias a eu vent et qui ont déjà bonbon aux salariés du secteur, elle a convoqué 4
des salariés de l’entité pour les virer après une supposée tentative de
suicide ! « Énorme
problème judiciaire, si ces convocations ont eu lieu alors que
l’intéressée était en arrêt maladie, elles sont illégales voire susceptibles de
procédures pénales » écrivions-nous le 24 mai dernier.
Les salariés viennent de publier un communiqué qui sera diffusé partout et
que relaie bien évidemment le blog CGC Médias (*) en forme d’alerte qui si personne n’y mettait un terme pourrait se
révéler dramatique.
(*)
Le blog CGC Média vient d’être en effet saisi d’un nouveau dossier
concernant la cégétiste despote où il n’est question là d’une tentative mais d’un suicide dont il
ne fallait surtout pas parler !
Il s’agirait
d’un saisonnier d’un des centres de vacances du CASCI-ORTF qui, selon nos informations,
se serait suicidé sur la plage de Fouesnant à 500 m du lieu.
Qu’il ait
travaillé ce jour-là ou ait été en repos n’y change rien. Les autres salariés
du centre de Beg Meil, se sont même vu proposer une aide psychologique…pourtant
quasiment personne n’a été au courant.
Totalement
hallucinant, vu la gravité des faits, que cela n’ait pas été abordé en séance
plénière !
L’ensemble des sociétés et syndicats de l’Audiovisuel
public étant désormais au courant de l’attitude de cette adhérente CGT qui licencie à tour de bras et sans
raisons, ne pas saisir la justice au titre de l’article 40 du code pénal (ci-après) serait la cautionner !
Article 40 (du Code de procédure pénale - version en vigueur depuis le 10 mars 2004) : Le procureur de la
République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur
donner conformément aux dispositions de l'article
40-1.
Toute autorité constituée dans
l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit
est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de
transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui
y sont relatifs.
La responsable de tout ceci et de tant d’autres choses, aurait déjà dû être immédiatement démandatée et mise hors d’état de nuire avant même le dépôt d’une plainte pénale pour « harcèlement » et le cas échéant « escroquerie à la sécurité sociale ».
TOUT CEUX QUI N'AURON RIEN FAIT POUR LA STOPPER, SERONT COMPLICES
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