Sans commentaire..."Ernotte n'a pas attendu une minute pour critiquer la stratégie de France Télé" à l'instant même où elle y était parachutée, fin aout 2015, dans les conditions que chacun connait quasiment
aujourd'hui et de surcroît sans connaissance du secteur !
Celle qui a
bredouillé ce matin devant les parlementaires qui l'entendait sur la "réalisation
du COM 2015" - le COM 2016/2020 ayant été, à juste titre, retoqué
par le Sénat - et qui a déclaré avec la plus invraisemblable indécence,
ne pas avoir "anticipé le décès de Rémy
Pflimlin" (ce sont ses mots: "Son décès n'avait pas été anticipé"...),
ne doit pas se souvenir de ses premières attaques.
A croire
qu'il existerait une malédiction sur celles et ceux qui atterrissent à France
Télé qui ne se souviennent plus quelques temps après...regardez Carolis ou encore Millot son
"dircom/développement/stratégie" qui en 10 jours de procès n'ont pas
retrouvé la mémoire concernant, entre
autres, le premier contrat d'octobre 2008 signé entre France Télé et Bygmalion !
Il y a des
sujets comme celui du 24 août 2015 posté par BFM TV et assorti qui plus est d'une
vidéo, que certain(e)s voudrai(en)t oublier.
En tout cas
dont l'ex Orange qui s'était invitée, le 3 décembre dernier sur le plateau du JT de 20h de
France 2 à grand renfort de com principalement sur les réseaux sociaux -
son homme de l'ombre le "sulfureux"
Emery Doligé « Avec ma réputation sulfureuse dans les
réseaux sociaux, ils se sont tous posés des questions sur le choix stratégique
de ma nomination…. » (dixit l'intéressé) - qui a n'a
pas hésité à tweeter (*) - préfère ne
pas se souvenir.
Les mots sont on ne peut plus clairs et peu aimable - c'est un euphémisme - à l'encontre de celui qui quittait le groupe et de
l'intervention de l'ex Orange devant ses cadres critiquant ouvertement le
bilan et la stratégie du sortant.
Voici stricto sensu la retranscription de l'article de BFM :
Voici stricto sensu la retranscription de l'article de BFM :
"Delphine
Ernotte n'a pas attendu une minute pour critiquer la stratégie numérique de
France Télévisions [Rémy Pflimlin donc jusqu'au 23 aout 2015, ndlr].
Jusque-là l'antenne et le Web ont été construits à côté. Il faut désormais les englober, a-t-elle dit hier devant les cadres de l'entreprise. Elle plaide donc pour une refonte de l'offre sur Internet qui s'inspirera sans complexe des chaînes privées et même du géant Netflix. Pour elle, la priorité c'est la monétisassions des programmes de France Télévisions sur Internet.
Jusque-là l'antenne et le Web ont été construits à côté. Il faut désormais les englober, a-t-elle dit hier devant les cadres de l'entreprise. Elle plaide donc pour une refonte de l'offre sur Internet qui s'inspirera sans complexe des chaînes privées et même du géant Netflix. Pour elle, la priorité c'est la monétisassions des programmes de France Télévisions sur Internet.
Il faut dire que le bilan de son prédécesseur en la matière n'est
pas flatteur. Pendant son mandat, le budget accordé au
numérique a explosé passant de 20 à plus de 80 millions d'euros. Les
effectifs ont doublé; les audiences ont certes progressé mais les recettes,
elles, n'ont pas suivi avec au final une perte sèche, l'an dernier [2014, ndlr] de près de 50
millions d'euros"
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