Le torchon
brûle entre Candilis et Ernotte…démissionner ou être démissionné, telle
est la question ?
Depuis les révélations du Canard enchaîné mercredi dernier sur la publicité clandestine faite au site commercial de son épouse à l’antenne, le départ du Numérobis discret démissionnaire du poste de pédégé qu’il occupait dans Le Studio la filiale de production de France Télévisons (ex MFP) est sur toutes les lèvres.
Depuis les révélations du Canard enchaîné mercredi dernier sur la publicité clandestine faite au site commercial de son épouse à l’antenne, le départ du Numérobis discret démissionnaire du poste de pédégé qu’il occupait dans Le Studio la filiale de production de France Télévisons (ex MFP) est sur toutes les lèvres.
Le torchon brûle
entre Candilis et Ernotte...il est presque quasiment consumé à en croire
certaines langues déliées du 8ème étage du Siège de France Télés.
En fin de semaine, certains membres du COMEX avaient
même entendu l’intéressé manifester son ras-le-bol et grommeler avoir pris sa décision.
Démissionner ou être démissionné (autrement dit, être contraint à plier bagage) telle est la question et ce alors que la revue du personnel que l’ex-Orange voulait imposer à l’ensemble des collaborateurs sur les conflits d’intérêts torpillée par les révélations sur le couple Candilis, fait un véritable flop mais suscite également les plus vives réactions.
Autre volet de ce dossier, ce jeudi, l’Association de Défense de l’Audiovisuel Public (ADAP) dans son article « Takis Candilis (suite) des questions en suspens » (*) s’interrogeait sur les questions que vont inévitablement se poser Bercy, la HATVP, etc…après la soudaine défection du France tv studio du programmateur en chef ernottien que révélait, il y a une semaine, le blog CGC Média.
Démissionner ou être démissionné (autrement dit, être contraint à plier bagage) telle est la question et ce alors que la revue du personnel que l’ex-Orange voulait imposer à l’ensemble des collaborateurs sur les conflits d’intérêts torpillée par les révélations sur le couple Candilis, fait un véritable flop mais suscite également les plus vives réactions.
Autre volet de ce dossier, ce jeudi, l’Association de Défense de l’Audiovisuel Public (ADAP) dans son article « Takis Candilis (suite) des questions en suspens » (*) s’interrogeait sur les questions que vont inévitablement se poser Bercy, la HATVP, etc…après la soudaine défection du France tv studio du programmateur en chef ernottien que révélait, il y a une semaine, le blog CGC Média.
(*) Extraits :
« On apprenait, la semaine dernière,
que Numérobis, Takis Candilis, directeur Général délégué à l’antenne et aux programmes de
France Télévisions avait démissionné de son poste de Pdg de la société Studio
sans en donner le motif…
Personne n’avait noté que la direction de FTV Studio était assurée par Candilis et pour cause, aucune note n’avait été diffusée ; ce qui n’est certes pas une obligation mais qui éclaire parfois ceux qui sont amenés à collaborer avec la société…
Pour le coup on ne peut pas dire que ce soit particulièrement transparent. En effet depuis mai 2017, c’est officiellement Julien Verley qui en assurait la direction jusqu’en juin de cette année. Depuis cette date aucun document n'a été communiqué concernant son remplaçant...
On peut donc se demander ce qui a prévalu à cette démission et surtout à quel moment cette nomination était intervenue ?
D’après des informations rapportées à l’ADAP, la démission du DG aurait pour origine l’obligation de fournir des éléments de son patrimoine à la HATVP qui veille à la déontologie des responsables publics.
Pour l’instant aucune réponse à ces questions. La seule réalité tangible, c’est la nomination du dirCab et directeur de la Transformation à ce poste de Pdg du Studio, une casquette supplémentaire pour ce jeune homme qui a les honneurs de Marianne (dont il se serait surement bien passé) cette semaine… »
De l’enquête de Marianne sur la probable dissolution de la FACE suite à un rapport au vitriol de la Cour des comptes, nous allons très vite reparler dans le cadre d’une plainte pénale toujours qu’avait déposée la CGC de l’Audiovisuel.
Toutes ces accumulations à quelques semaines de la procédure au CSA pour dire qui aura en charge la prochaine présidence de France Télés, ça en dit long de la panique qui règne dans les étages supérieurs du Paquebot en perdition
Personne n’avait noté que la direction de FTV Studio était assurée par Candilis et pour cause, aucune note n’avait été diffusée ; ce qui n’est certes pas une obligation mais qui éclaire parfois ceux qui sont amenés à collaborer avec la société…
Pour le coup on ne peut pas dire que ce soit particulièrement transparent. En effet depuis mai 2017, c’est officiellement Julien Verley qui en assurait la direction jusqu’en juin de cette année. Depuis cette date aucun document n'a été communiqué concernant son remplaçant...
On peut donc se demander ce qui a prévalu à cette démission et surtout à quel moment cette nomination était intervenue ?
D’après des informations rapportées à l’ADAP, la démission du DG aurait pour origine l’obligation de fournir des éléments de son patrimoine à la HATVP qui veille à la déontologie des responsables publics.
Pour l’instant aucune réponse à ces questions. La seule réalité tangible, c’est la nomination du dirCab et directeur de la Transformation à ce poste de Pdg du Studio, une casquette supplémentaire pour ce jeune homme qui a les honneurs de Marianne (dont il se serait surement bien passé) cette semaine… »
De l’enquête de Marianne sur la probable dissolution de la FACE suite à un rapport au vitriol de la Cour des comptes, nous allons très vite reparler dans le cadre d’une plainte pénale toujours qu’avait déposée la CGC de l’Audiovisuel.
Toutes ces accumulations à quelques semaines de la procédure au CSA pour dire qui aura en charge la prochaine présidence de France Télés, ça en dit long de la panique qui règne dans les étages supérieurs du Paquebot en perdition
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