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lundi 24 juin 2024

Pas de bras, pas de chocolat…Pas de pépettes, pas de soirée spéciale Législatives franceinfo :

Pas de bras, pas de chocolat…Pas de pépettes, pas de soirée spéciale Législatives franceinfo :

À six jours du premier tour des élections législatives anticipées, un mail envoyé vendredi dernier en interne aux journalistes particulièrement ceux qui œuvrent sur le canal 27 de la TNT, actant "de ne pas diffuser sur son antenne ses propres soirées électorales".

C’est "celle organisée par France 2 (présentée par Anne-Sophie Lapix et Laurent Delahousse, ndlr) avec la contribution de six journalistes de notre rédaction".

"Ce choix (de la direction, motivé par) des décisions budgétaires, par souci d'économie, nous heurte" écrit la SDJ qui ajoute "À notre connaissance, une telle configuration ne s'est jamais produite sur l'antenne de Franceinfo, ni, plus généralement, d'aucune autre chaîne d'information en continu". Le dimanche 9 juin, jour du scrutin des Européennes 2024 par exemple, Franceinfo avait retransmis sa propre soirée électorale présentée par Matthieu Belliard".

Dans ce mail, les journalistes de la dernière des chaînes d’info en continu, précisent encore "dans un paysage médiatique morcelé, il est nécessaire d’affirmer le positionnement de Franceinfo par rapport à la concurrence".

"Nous refusons de nous effacer de l'antenne (...) Franceinfo se doit d'exister lors de ces deux soirées électorales. Son image est en jeu", enchérissent-ils.  

"Comment justifier auprès des téléspectateurs qu'ils ne retrouveront pas, notamment, nos présentateurs et éditorialistes politiques en se connectant au canal 27, ces deux soirées-là, pour le dénouement d'une campagne qu'ils ont suivie sur notre antenne ? Comment, dès lors, les convaincre de continuer à nous suivre si nous n'occupons pas l'antenne les soirs où tout se joue ?",
s'interroge enfin la rédaction de la chaîne.

Au lieu de demander à « la dame du Majestic » (*) qui voulait la fusion des 4 sociétés de l’Audiovisuel public, de revenir sur cette décision dont elle explique  qu'une soirée électorale, a un coût important", pourquoi ne pas exiger que son projet mort-né lui impose de partir ?

(*) Economies...c'est bien ça le mot ?!


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