Le Chef de l'Etat doit dispenser Patrick de Carolis d'effectuer son préavis en donnant maintenant le nom de son successeur.
Après avoir faussement garanti à l'Etat que sa réforme se passerait bien, qu'elle rencontrait l'adhésion des personnels et celle des syndicats, Carolis se retrouve aujourd'hui démasqué.
Sa "réorganisation" car il s'agit bien de sa réorgansiation et non de celle de l'Etat comme il tente de le faire croire partout en insistant sur "son opposition de notoriété publique" et qu'il entretient par communiqués de presse interposés, est rejetée massivement.
Son sectarisme, son cynisme, sa condescendance, le mépris des personnels et de leurs représentants, comme ces derniers fidèles et lui-même arborent font qu'il est avec ces derniers, entièrement responsable de cet échec total.
Il va le comprendre encore plus ces prochains jours, la semaine du 2ème tour des élections régionales...les salariés qui veulent en découdre, vont lui montrer encore plus radicalement comment ils entendent répondre à ses provocations, cette morgue et cette violence permanentes qu'il développe à leur encontre.
Il est donc plus que temps que le nom de son remplaçant soit connu et qu' une fois rendu l'avis du CSA et de la commission parlementaire ad hoc, il puisse enfin commencer à "organiser l'entreprise comme, lui, le souhaite pour les 5 ans cruciaux à venir.
Après avoir été "hors la loi" [ du 5 janvier au 7 mars 2009, entre autres, comme en a conclu le Conseil d'Etat récemment], PdC et totalement "hors jeu"...le seul geste qui puisse maintenant satisfaire les salariés: c'est sa démission, celle qu'il a menacé de donner tant de fois (sans jamais le faire) et qui est rendue de facto inéluctable.
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