Comme le
communiqué du SNPCA-CGC (*ci-après) qui
poursuivait Delphine Ernotte pour favoritisme et recel de prise illégale
d'intérêts en lien avec la Fondation des Femmes, ainsi que Anne-Cécile
Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes, Stéphane Sitbon-Gomez,
directeur de cabinet de la présidente de France Télévisions et le producteur
Maxime Ruszniewski, administrateur de la Fondation des Femmes, où le syndicat
aurait été « débouté » par la 11ème chambre du tribunal correctionnel
de Paris, ne suffisait visiblement pas à certains pour comprendre la volonté du
syndicat, n'était visiblement pas assez clair, quelques précisions sont semble-t-il
nécessaires.
Le
SNPCA-CFE-CGC après que le Tribunal ait décidé de prononcer la nullité de la saisine
pour des questions de forme et non le débouté de notre action sur le fond, le
SNPCA-CFE-CGC a expressément mandaté ses avocats « au
regard des nouveaux éléments qui ont été découverts depuis la délivrance de sa
citation en justice » pour qu’ils saisissent le Parquet
National Financier qui n’était au moment du précédent dépôt pas encore totalement constitué.
La plainte devrait
être déposée avant la fin de l’année.
(*) « Le SNPCA-CFE-CGC a pu prendre
connaissance de la décision qui a été rendue dans l’affaire concernant le
financement de l’association de préfiguration de la Fondation des femmes par
France télévisions.
Au regard des déclarations intempestives faites par
l’un des prévenus sur Twitter et dans la presse, il nous paraît utile de
préciser que le Tribunal Correctionnel de Paris s’est seulement prononcé sur
les questions de procédure qui se posaient.
Le bien-fondé de notre action n’est pas jugé, à ce
stade.
Loin d’être terminée, cette affaire est donc destinée
à prospérer dans les semaines qui viennent, d’autant plus au regard des
nouveaux éléments qui ont été découverts depuis la délivrance de notre citation
en justice. »
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