Le colleur fou et anonyme à FMM perd ses nerfs …Le blog CGC Média le renvoie à ses vomissures !
Après l’hallucinant communiqué de la CFDT adressé le 27
octobre dernier aux salariés de FMM qui s’interrogeait, il
y a peu : « La
CFDT est le syndicat des patrons » : VRAI ou FAUX ?! » (¤), voilà venu le temps du colleur fou et anonyme qui perd ses
nerfs à FMM et s’en prend à la représentant de la CGC sur place, en placardant
sur le tableau d’affichage du syndicat une publication derrière laquelle se
réfugie son auteur en signant courageusement : « salarié(e)s FMM » (*) sans que la direction ait pour l’instant réagi !
Il faut dire qu’après l’épisode de l’enregistreur (9h d’autonomie, semble-t-il) placé sur l’armoire d’un collaborateur de FMM comme le révélait Le Canard enchaîné (ci-après) : « A France Média Monde, on rejoue ’’Les barbouzes’’ » par un haut cadre du groupe qui est toujours à son poste malgré ses aveux !
Voici ce qu’écrivait alors le palmipède qui n’a évidemment
pas été poursuivi pour diffamation dans sa rubrique « Micro,
boulot, bobo » :
« Une lumière
clignote, en haut d’une armoire, visiblement un Nagra SD, plus précisément un
mouchard de poche numérique, dernier cri, prisé par les journalistes pour ses
qualités d’enregistrement et ses capacités d’autonomie, [y a été placé]…Bref, il y a un micro dans le bureau !
Gag, il s’agit du chef du service « prêt
de matériel » qui se met à bafouiller. L’info remonte une seconde fois
aux ressources humaines de France Médias Monde qui n’a pas souhaité s’étendre
sur l’incident auprès du Canard, Tiens, pourquoi ?
Le champion de
l’espionnage de bureau, lui, est descendu de sa chaise pour se mettre à table. Il explique au palmipède qu’il a agi seul et qu’il visait sa
subordonnée. Tout juste rentré de congé maladie : "Je voulais savoir dans quel état d’esprit
elle revenait, si c’était pour me pourrir, la vie ou pour repartir du bon pied.
Je me plains de cette salariée depuis des années et personne ne fait rien"… »
Ça, c’est dit sans que qui que
ce soit ait porté plainte en diffamation…procédure que met en avant l’abject
cafard qui se réfugie derrière les « salarié(e)s
de FMM » pour déverser illégalement toute son fiel.
Il écrit appelant : « La diffamation est une allégation qui porte
atteinte à l’honneur et la considération d’une personne. Il y a diffamation
même si l’allégation est faite sous forme dubitative ou si elle est insinuée.
Les propos tenus sur un réseau social peuvent être considéré comme une
diffamation publique »…et d’admonester apparemment à la
direction de FMM « Quiconque pouvaient empêcher par son action
immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, un délit contre l’intégrité
de la personne ou s’abstient, volontairement de le faire, est puni de cinq ans
d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende. » (*)
Au lieu de donner des leçons à la boite sur la soi-disant passivité,
l’intéressé ferait mieux de s’interroger sur les caméras disposées dans l’entreprise
qui l’ont vu lorsqu’il a scotché ses vomissures sur le panneau syndical de la
CGC (*)
(*)
Le cancrelat évite soigneusement de mentionner
« L’exception de vérité et la bonne
foi ».
Que dit la loi ? « Le fait justificatif, c’est une cause
d’irresponsabilité pénale. Il existe deux types de justificatif en matière de
diffamation : La bonne foi et l’exception de vérité. L’exception de
vérité est prévue par l’article 35 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté
de la presse. Elle consiste pour une personne poursuivie pour diffamation,
d’apporter la preuve du fait présenté comme diffamatoire. La recevabilité
de la preuve du fait diffamatoires dépend du respect des conditions relatives à
la preuve et au fait imputer est au respect de la procédure ».
Cet ignominieux épistolier ferait mieux de relire les articles du blog CGC Média avant d’écrire ses âneries…Il y verrait qu’à chacune des révélations de « Mr T » dont il est peut-être très proche – qui sait ?! – différentes « offres de preuve » ont été publiés sur le site pour étayer ses articles…la grande partie des documents visés dans une saisine de la Cour des comptes, est sur une clé USB remise au Conseil du syndicat chargé des procédures en cours.
Clé USB dont peut-être, l’intéressé détient lui-même une bonne partie ?!
Est-il faux d’écrire
que « Thierry FANCHON
directeur technique et des systèmes d’informations à FMM »
et
qu’à ce titre, « il passe
et vise les commandes avec les des nombreux prestataires qui travaillent dans l’entreprise » ?
Est-il incongru de s’interroger
sur « la présence dans
les murs, la semaine dernière, de patron de 5COM qui c’est vrai, est un peu
comme chez lui au siège de France Médias Monde » et
se demander « sur quel
chantier il venait échanger avec ses interlocuteurs » ?
Est-il inexact d’indiquer
que sa signature figure obligatoirement parmi une dizaine d’autres, sur un
bon de commande passé auprès d’une filiale d’«Aski-Da
Taldéa » de énièmes serveurs alors
que le matériel était livré et installé avant même que le bon de commande n'ai
été établi mais surtout que l’appel d’offre - s’il y en avait un !
- n’ait été lancé » ?
Est-il
aberrant de citer à nouveau Le Canard enchaîné qui écrivait dans une demi-page à la mi-septembre « David Ducoudray, l’ex responsable de la
téléphonie à France Média Monde, limogé en 2015 pour son implication dans un
trafic de téléphone. Mais chut ! à l’époque mais FMM n’avait pas tenu
à porter plainte. La direction avait signé un accord confidentiel avec
le virer au terme duquel ce dernier s’engager à rembourser 14.500 cents euros alors
que plusieurs de ses collègues estiment le préjudice réel a près de 100 000€.
Mieux : le
limogé [défendu alors par le
délégué de la CFDT Marc Thiébeault [
l’associé dans « My Saphir » de
Frédéric Domont (Société
Médian) « Avec qui il y a(aurait !) une
exclusivité » selon un
dirigeant de FMM pour des connections avec le Proche ou le Moyen Orient, ndlr], s’est payé le luxe de
conserver, à la Martinique, la succursale une boîte de télécom 5COM qui fournit
des centaines de milliers d’euros de prestations à France Médias Monde » ?
« Il faut régler ça et vite » exhortait, la semaine dernière, un des pontes de l’entreprise – accusant quasiment le représentant de la CGC sur place – sinon…
Sinon quoi ? Il faudra le virer pour faire taire le blog ? Allons donc !
Des procédures sont en cours et si certains se sentent le derrière sale, c’est au prochain président de FMM qu’ils devront rendre des comptes et à la Justice le cas échéant.
Ce torchon placardé sur le tableau d’affichage de la CGC par ce cloporte, n’y changera pas grand-chose…au contraire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire