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vendredi 10 octobre 2025

Ils savaient tous mais ont menti pendant plus d'un an pour attendre le 3ème parachutage d'Ernotte.

Ils savaient tous mais ont menti pendant plus d'un an pour attendre le 3ème parachutage d'Ernotte.

C'est un nouveau scandale d'État que la commission d'enquête mise en place à l'Assemblée nationale sous la houlette du député Charles Alloncle, aura tôt fait de faire exploser;

Ainsi, l’argument bidon d'Ernotte qui fait aujourd'hui l'objet comme 8 des 9 membres de l'Arcom dont son Président Martin Ajdari, d'une plainte pénale déposée par la CGC de l'Audiovisuel  demandant l'annulation de son  3éme parachutage à France Télés, qui prétend justifiersa dénonciation de l'accord d'entreprise « Je me conforme à ce que me demande la Cour des comptes » est totalement bidon.

Tout le monde savait depuis mars 2024 date de la parution du rapport de l'IGF mais chacun, attendait le parachutage de Delphine Ernotte, pour finir la casse sociale qu’elle avait prévu s’exécuter. 

Il suffit la le constater à la page 4 dudit rapport : "Définir un calendrier et une méthode pour faire évoluer globalement l’accord collectif de 2013, pour plus de polyvalence, l’automatisation de certaines tâches, et la révision de la rémunération et du temps de travail des nouveaux employés."

Accord d'entreprise qu'Ernotte dit avoir soumis au Conseil d'Administration qui l'a validé, selon elle, avant son annonce du  le 10 juillet 2025.

Accord dont la supposée première réunion sur sa renégociation n'a pas eu lieu.

Il parait de plus en plus clair que les attaques lancées par contre le groupe Bolloré en particulier CNews dès le 19 septembre par Ernotte dernier avec son interview à Aude Dassonville dans le Monde : "Il faut admettre que CNews est un média d’opinion. Qu’ils assument d’être une chaîne d’extrême droite !", ne sont à l'évidence qu'un trompe-l'œil.

La complicité de l'Arcom qui ose écrire pour tenter de justifier l'injustifiable que "C'est en raison des incertitudes qu'Ernotte est reconduite mais aussi en raison d'un dialogue social actif visant à associer l'ensemble des salariés de l'entreprise à l'évolution de son accord collectif..." est, dès lors, flagrante.

Avoir dénoncé l'accord d'entreprise dès la publication du rapport de l'IGF au début du printemps 2024 - qu'elle a présenté comme une simple révision mensongère dans ses 30 pages de "Réconciliation des France" adressées à l'Agence  acquise bien en amont, aurait provoqué le chaos à France Télés et une crise sociale qu'il convenait d'éviter à tous prix. 

Pour être le plus complet possible, lorsque l’IGF demandait  justement de trouver une méthode (intelligente) et un calendrier afin de  « faire évoluer vers », cela ne signifiait absolument pas « Dénoncer ». Dès lors, le fallacieux argument de l’Arcom pour maintenir Ernotte d’un dialogue social de tous les instants qu’elle revendiquait soi-disant comme celui de « faire vivre le dialogue social » malgré « l’activation d’un droit d’alerte économique » avant son troisième parachutage, est une fumisterie sans nom que la Justice n’aura pas de mal à constater. L’Agence est donc gravement responsable… 

D'où le délai d'attente indispensable de plus d'un an, l'inversion du calendrier de la Cour des comptes qui publie son rapport sur Radio France (sans réel enjeu) avant celui de France Télés afin de "ne pas télescoper la procédure de désignation ou encore de ne pas avoir comme en 2016, la mort sur la conscience, du pédégé du groupe "  !!


Si cette dénonciation avait eu lieu alors ou que le rapport de la rue Cambon retardé soit sorti à la même époque, l'ex-Orange n'aurait pas pu se présenter et mascarade du 14 mai dernier honteusement orchestrée par l'Agence, n'aurait pas eu lieu. 
France Télés serait probablement déjà dans "Une dynamique d'Avenir", les titre des 30 pages de l'incroyable projet stratégique que présentait la candidate Frédérique Dumas, le seul à pouvoir remettre le groupe publique de télévisons, sur les rails et dans les clous.

L'AFP a eu beau contacté la Cour des comptes qui a déclaré que la publication du rapport n'avait "rien à voir" avec ce processus de nomination, dont les magistrats de la rue Cambon "ne se mêlent pas".

Taratata...Les documents, enregistrements et enchainements des faits prouvent le contraire comme ce qu'écrivait par exemple La Correspondance de la Presse au moment de la parution du rapport au vitriol de l'IGF (ci-après - Dernier paragraphe plus précisément)

















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