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mercredi 19 septembre 2018

Après la chasse ernottienne aux hommes blancs de plus 50 ans, voilà Nyssen empêtrée dans une nouvelle affaire…Emmanuel Macron devrait la lâcher !


Après la chasse ernottienne aux hommes blancs de plus 50 ans, voilà Nyssen empêtrée dans une nouvelle affaire…Emmanuel Macron devrait la lâcher !   

Un article dans « Libération » : « Soupçonnée de dérives, l'école alternative fondée par Françoise Nyssen dans la tourmente »  et une enquête dans « La Provence » : « À Arles, l’école de Françoise Nyssen dans la tourmente » (fin de post) et c’est encore le toujours ministre de la Culture qui fait parler d’elle !

Combien de points ce nouveau dossier va-t-il couter de points dans les sondages à Emmanuel Macron ? Combien celle qui mouille à présent Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Éducation nationale va-t-elle coûter en crédibilité au Chef de l’État après l’ouverture par le Parquet d’une enquête préalable concernant les travaux qu’elle effectua sans autorisation préalable à Arles et à Paris ? 

Françoise Nyssen qui se dit en effet dans les colonnes de « La Provence » " fière d’avoir participé au « Domaine du possible »" et déclare " Je travaille en proximité avec le ministre de l’Éducation nationale sur l’importance des arts et de la culture à l’école"

Extrait de l’article de Libé qui cite « La Provence ».

La ministre de la Culture Françoise Nyssen prend ses distances avec le Domaine du Possible, école alternative qu'elle a fondée en 2015 à Arles avec son mari, Jean-Paul Capitani, raconte la Provence dans son édition du jour, un article repéré par la revue de presse d'Inter


L'école privée hors contrat, qui propose une pédagogie «alternative» à près de 150 élèves, est soupçonnée de dérives, selon le journal.
 

En cause, l'emprise de plus en plus importante d'un courant de pensée ésotérique, l'anthroposophie. Plusieurs professeurs ont démissionné, selon le quotidien local, et le directeur pédagogique, Henri Dahan, a été renvoyé en juillet dernier. 


Un renvoi qui aurait été provoqué par une enquête du Monde diplomatique parue cet été et consacrée à ce courant spirituel.
 

L'article décrivait notamment une cérémonie initiatique, la «spirale de l'Avent», dans laquelle les élèves, plongés dans l'obscurité, doivent remonter une spirale formée de branches de pin au milieu de laquelle brûle un cierge.
 

Interrogé par la Provence, Jean-Paul Capitani (le mari de Nyssen donc, ndlr) affirme que l'objectif n'a jamais été de «faire une école dédiée à la méthode Steiner» et que «l'anthroposophie, ce n'est pas [son] truc»

Ce que révèle concomitamment « La Provence » est à vous donner des frissons:

Enquête sur une crise


Bien que l’anthroposophie ne soit pas considérée comme une secte, elle fait l’objet d’une surveillance particulière.
 

"Au début des années 2000, nous avions inspecté les écoles Steiner en France, rappelle Serge Blisko, à la tête de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.
 

Le bilan était désastreux: les inspecteurs avaient constaté le très faible niveau des élèves." De fait, il le dit: "Si j’avais un enfant en difficulté, je chercherais une école Freinet, peut-être une école Montessori, mais jamais une école Steiner !". Il n’appartient pas à l’inspection académique de porter un tel jugement. 


Comme tous les établissements hors contrat, « le Domaine du Possible » a fait l’objet d’un contrôle, en 2016. 


"Et certains points ne correspondaient pas au socle commun de compétences et connaissances attendu par l’Éducation nationale", livre Dominique Beck, directeur académique à Marseille.
 

L’ésotérisme des cours d’eurythmie (une sorte de danse) ou cette cérémonie où les enfants, dans une pièce noire, s’engagent au cœur de la "spirale de l’Avent", ne seraient pas davantage "tolérés par l’État", en cas de contractualisation.

Or, depuis le début, c’est l’ambition de Nysen et Capitani: elle permettrait la prise en charge des salaires des profs.


Le couple pouvait-il ignorer la réalité de l’enseignement proposé dans son école ?
 

Alors que celle-ci traverse une "situation financière difficile", M. Capitani le soutient: "On a été confiants, on a laissé filer la ligne." Des signaux s’étaient pourtant allumés : en mai 2017, la sortie, certes approximative, de Jean-Luc Mélenchon, futur député LFI de Marseille, sur "une ministre de la Culture qui est plus ou moins liée aux sectes" avait fait pschitt.


C’est que le malaise s’est enkysté. Chaque année, des profs, des intervenants qui avaient rejoint le projet, enthousiastes, le quittent, amers. Tenus à une curieuse clause de confidentialité qui les tétanise, leur interdisant de "divulguer les moyens et méthodes pédagogiques propres à l’établissement", plusieurs nous ont néanmoins rapporté leurs "doutes" devant "les graves lacunes" des élèves, que ne "pouvait compenser le petit nombre d’heures d’enseignement". Ou l’absence de prise en charge qualifiée des enfants les plus fragiles. Mais aussi les "pressions" exercées par les anthroposophes: "On me demandait d’enseigner selon des principes anti-scientifiques!" s’offusque l’un d’eux…

Avec tout ça et dans de telles conditions, est-il bien vrai Monsieur Blanquer que vous travaillez  "En proximité avec la toujours ministre de la Culture Françoise Nyssen  sur l’importance des arts et de la culture à l’école" ?
 




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