« franceinfo : » souligne le virage à 180° de Jean-Luc Mélenchon…voila qui ne va
pas plaire à la CGT (*) !
Le 25
février dernier, « franceinfo : » publiait un article
dénonçant « Les ambiguïtés des candidats à la présidentielle face à
la Russie de Vladimir Poutine », notamment Jean-Luc Mélenchon et de deux extrémistes « accusés [tous les trois] d'être pro-Poutine et
qui ont opéré un virage à 180 degrés depuis l'annonce de l'invasion de
l'Ukraine par la Russie ». (sic)
« La rhétorique a changé » écrit le
site média de France Télés qui ajoute « Après l'invasion russe en Ukraine, les candidats à la
présidentielle Jean-Luc Mélenchon et les deux extrémistes sont critiqués pour
leurs positions jugées prorusses et qui risquent d'être plus difficiles à
assumer par temps de guerre. Ces trois prétendants à l'Elysée ont
d'ailleurs récemment condamné la décision de Vladimir Poutine d'envahir son
voisin ukrainien, prenant ainsi leurs distances avec le maître de Kremlin. Franceinfo
revient sur les discours tenus jusque-là par les leaders du RN, de Reconquête !
et de La France insoumise, avant et après le début de cette guerre
déclenchée jeudi 24 février » (sic)
Voilà qui a le mérite d’être
clair.
Dans un chapitre intitulé
sans ambiguïté « La volte-face de
Jean-Luc Mélenchon », le site public d’infos écrit «Le candidat de La France insoumise a défendu, dans le passé, des positions
sur la Russie qui divergent de celles de la majorité des candidats à
l'élection présidentielle. En
témoigne cette déclaration dans
l'émission "On n'est pas couché" sur France 2 en 2016. Fin
2015, Vladimir Poutine avait décidé d'intervenir militairement en
Syrie pour soutenir Bachar Al-Assad, le président du pays, au nom de la
lutte contre le terrorisme. A la question posée par la journaliste Léa
Salamé, "êtes-vous favorable aux bombardements russes en
Syrie ?", Jean-Luc Mélenchon avait répondu par
l'affirmative, expliquant que c'était la solution pour Vladimir Poutine " de
régler le problème et d'éliminer Daech"… »
« franceinfo : » enfonce le clou « Depuis le
début de la campagne, le leader de La France insoumise a multiplié les sorties
ambiguës à propos de la politique expansionniste de Vladimir Poutine. Sur France Inter, le
3 janvier, le député des Bouches-du-Rhône considérait la Russie
comme "un partenaire". Avant d'ajouter : "Je ne
suis pas d'accord pour que l'on en fasse un ennemi, je ne suis pas d'accord
avec le fait que l'on ait trahi la parole que l'on avait donnée aux dirigeants
russes." »
Tout cela risque de déplaire fortement à la CGT syndicat soutien d’Ernotte depuis son parachutage qui vient de lancer son hashtag #JeSuisCGTetJe VoteMelenchon (*) comme à Fabien Roussel d’ailleurs qui est le candidat du PC à la présidentielle de 2022 !
(*)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire