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vendredi 9 janvier 2015

Stéphane Khémis, Conseiller du tandem Pflimlin/Olivennes ?!?!



Stéphane Khémis, Conseiller du tandem Pflimlin/Olivennes ?!?!

Dans quelques semaines maintenant, le nom du remplaçant de Pflimlin sera connu. (au plus tôt fin mars2015, sinon courant avril)

Les 8 membres du CSA au grand complet auront celui ou celle qui va devoir redresser l’entreprise de télé publique en situation de faillite…le blog CGC Média, chiffres à l’appui, ne cesse de l’écrire et de le répéter.

Pflimlin placé sous statut de témoin assisté par le juge Renaud Van Ruymbeke pour le volet France Télévisions de l’affaire Bygmalion, se dit le plus invraisemblablement qui soit « intéressé » pour le poste !!!!

Il faut quand même ne pas manquer d’air ! Cela dit, c’est sûrement la meilleure façon pour que personne ne mette le nez dans l’opaque gestion de France Télévisions que dénonce depuis belle lurette le blog CGC des Média.

Depuis quelques temps, en plus de Bertrand Mosca qui a été nommé Conseiller du Président après son bref passage à la tête de France 2, le nom de Stéphane Khémis est sur toutes les lèvres et le nombre de réunions auxquels il participe ne cesse de croître.

Le blog CGC Média a donc cherché à en savoir plus. Quel rôle l’ex directeur du magazine « L'Histoire », condamné, jeudi 12 octobre 2000, par le tribunal correctionnel de Paris (17ème chambre) pour avoir publié sous forme réduite un texte envoyé par Robert Faurisson en réponse à un article paru en décembre 1999 intitulé « Le cas Faurisson, itinéraire d'un négationniste »….(source « Le Monde ») jouait à France Télévisions !

A en croire l’organigramme de France Télé (ci-après), Stéphane Khémis apparaît comme le Conseiller de Fédéric Olivennes (le monsieur Communication, image et marketing de Pflimlin) et transversalement, de Sandrine Soloveicik pour la Fondation FTV.

S’agissant à présent de l’organigramme du « Cercle de la Lycra », il y est présenté comme « Conseiller du président de France Télévisions »


Stéphane Kémis, aurait donc une double casquette « Conseiller du tandem Pflimlin/Olivennes »…

Autrement dit, si Stéphane Kémis, est bien  « Conseiller  du  président de France Télé Pflimlin » quel est donc le rôle de Mosca   « Conseiller  du  président de France Télé Pflimlin » ?????

S’il est juste le Conseiller de Olivennes comme cela figure sur « l’organigramme » interne France Télé quel est alors son rôle de Conseil auprès de celui que Pflimlin nommait responsable Com et Image de l’entreprise pourtant payé normalement pour une telle activité ?

Si maintenant le dircom a besoin d’un conseiller, alors là… !!!!! 

Qui ose encore parler d’opacité à France Télévisions ?


Certains n’imaginent tout de même pas qu’une telle nomination « bicéphale » puisse par réseaux ou lobbying interposés,  avoir une quelconque influence sur les membres du CSA au regard du bilan catastrophique que laisse Pflimlin avec un niveau de pertes cumulées abyssales atteignant la moitié du capital de l’entreprise voire la dépassant !?

jeudi 8 janvier 2015

Les mesure de sécurité renforcées annoncées par Pflimlin ne rassurent personne.

Les mesure de sécurité renforcées annoncées par Pflimlin ne rassurent personne.

Hier dans un communiqué interne adressé à l'ensemble des personnels (ci-après) Pflimlin écrivait : "Les mesures de sécurité ont immédiatement été renforcées au siège de France Télévisions...."

Qu'ont donc effectivement vu les salariés de France Télé et autres visiteurs, ce matin ? Deux ou trois agents de l'entreprise Sécuritas qui les accueillent d'habitude, vêtus de gilets pare-balle.


Cela n'a évidement rassuré personne, à commencer par les agents qui les portent...Ils ont plus peur qu'avant tout simplement parce qu'il n'ont aucune formation en la matière au cas où surviendrait une attaque du type de celle survenue à Charlie Hebdo et de toute façon ne sauraient  pas quoi faire!!!

Quant aux deux entrées au siège de France Télé, si deux policiers étaient bien ce matin, côté hôpital Georges Pompidou, côté tramway où le plus gros des arrivées a lieu, un seul des agents de Sécuritas est resté longtemps seul devant le sas, sans assistance particulière.


 

Le SNJ France Télé dénonce l'impensable hierarchie de l'info et demande au directeur de l'information d'établir les responsabilités qui ont conduit à un telle faillite.

Dans un tract intitulé "12/13: L'IMPENSABLE "HIÉRARCHIE" DE L'INFO" (en bas de post) le SNJ dénonce le fait que "Oui, le 12/13 national a choisi de passer à côté l'horreur qui venait de frapper dans les locaux de Charlie Hebdo"

Le SNJ appelle le directeur de l'info à " en tirer toutes les conséquences éditoriales et structurelles pour ne pas laisser ces erreurs se répéter indéfiniment, sans remise en question d'une certaine "grille de lecture" de l'actualité qui fait perdre toute dignité à ces éditions."
  

Le blog CGC Média vous propose de découvrir le texte du SNJ.

L'horreur venait de frapper dans les locaux de Charlie Hebdo. Dans l'ensemble des rédactions, les dépêches et les flashes annoncent déjà un attentat sans précédent et le Parquet de Paris fait état d'au moins 10 morts.

Ces informations sont connues (et diffusées dès midi sur l’antenne de France 3 Ile-de-France) quand s'ouvre le journal national de la mi-journée sur France 3. Et quoi ? Des titres déroulés comme si de rien n'était : on commence par "Soldes d'hiver, prix doux" pour terminer par les "Baignades d'hiver" et la météo...

Au bout de l'improbable, enfin, sous la classique formule "on l'a appris juste avant ce journal", voilà enfin qu'on parle de l'horreur du jour. Une consœur en direct au téléphone nous raconte brièvement les faits...et on s'arrête là, on passe vite à autre chose. Le journal reprend son cours, comme annoncé par les titres.

Inexorablement, l'impensable se déroule sous nos yeux et ceux de nos téléspectateurs. Il faudra plus d'un quart d'heure pour que l'information soit à nouveau abordée dans le journal, avec images, témoignages et interventions en direct de l'envoyée spéciale de la rédaction.

Oui, le 12/13 national a choisi de passer à côté de cet événement tragique.

Le mois dernier, déjà, la même édition avait traité l'attaque d'une école au Pakistan et son bilan terrible (141 morts) avec une "brève", un simple "off". Un choix incompréhensible qui avait fait sortir de sa réserve le directeur de l'information, lors du Comité Central d'Entreprise qui s'était tenu le jour même. Quel regard portent aujourd'hui nos concitoyens sur ces éditions du Service Public où la hiérarchie de l'information n'a plus aucun sens ?

Alors devant l'indignation collective suscitée par ce journal du 7 janvier, indignation ressentie dans l'ensemble des rédactions de France 3, le SNJ demande au directeur de l'information d'établir les responsabilités qui ont conduit à cette faillite. 

Nous devons en tirer toutes les conséquences éditoriales et structurelles pour ne pas laisser ces erreurs se répéter indéfiniment, sans remise en question d'une certaine "grille de lecture" de l'actualité qui fait perdre toute dignité à ces éditions. Il en va aussi de la crédibilité d'une rédaction qui souffre déjà d'un manque de débat éditorial depuis des années. Notre rôle d'organisation syndicale de journalistes est de rappeler ce que sont les fondamentaux de notre profession, trop souvent oubliés à la rédaction nationale de France 3.

Nous le faisons ici, une fois de plus, dans un moment grave pour notre pays et pour la liberté de la presse.

Le délai de décence nous a amené à ne pas réagir plus tôt, mais le temps est venu pour la direction des rédactions nationales de prendre la mesure de ces égarements.

Paris, le 08 janvier 2015"

Nous sommes tous Charlie


Le blog CGC Média qui, à maintes reprises a repris et publié dans de nombreux posts, les articles de "Charlie Hebdo" (encore récemment, voir fin de post) tient à rendre hommage aux victimes de l'ignoble  attentat qui a visé le magasine et tué douze personnes.





 

Le CSA devrait donc être au complet avec la nomination par Gérard Larcher de Nicolas CURIEN.

Après la nomination la semaine dernière par le  Président de l’Assemblée Nationale Claude Bartolone de Nathalie Sonnac, professeur en sciences de l’information et de la communication à Assas (Paris II) et dirigeante de l’Institut Français de Presse également membre du Conseil national du numérique (CNN).
La dirigeante de l’Institut Français de Presse va être nommée par Claude Bartolone, le président de l’Assemblée Nationale, c'est au tour de Gérard Larcher de nommer le huitième membre de l'Instance qui sera donc au complet dans les jours qui viennent.


"Le Président du Sénat, M. Gérard Larcher, envisage de nommer M. Nicolas Curien comme membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Ingénieur des télécommunications, ancien élève de l’École Polytechnique, M. Nicolas Curien est professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers. Il a été membre du collège de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) de 2005 à 2011.
La commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat est saisie pour qu’elle se prononce sur cette nomination conformément à l’article 4 de la loi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication." dit le communiqué du Sénat

http://www.senat.fr/presse/cp20150107c.html

Nicolas Curien est le fils de Hubert Curien, qui a été, entre autre ministre d ministre de la Recherche et de la Technologiede 1984 à 1986 sous le Gouvernement Laurent Fabius, puis de nouveau de 1988 à mars 1993 (sous les gouvernements Rocard, Cresson et Bérégovoy).

mercredi 7 janvier 2015

Orange, 1ere entreprise du CAC 40 mise en examen pour harcèlement moral...ça devrait faire faire réfléchir!

Orange, 1ère entreprise du CAC 40 mise en examen pour harcèlement moral...

Une dépêche AFP (ci-après) mentionne aujourd'hui  que l'enquête sur les suicides à France Télécom entre 2008 et 2009 est close après la mise en examen de l'entreprise du CAC 40 et de plusieurs de ses dirigeants pour harcèlement moral ...Une première !! 

Cette enquête aura duré plusieurs années et s’est achevée le 30 décembre dernier. Les juges viennent de clore l’enquête sur les suicides à France Télécom entre 2008 et 2009.

A l’arrivée, Orange est mis en examen pour harcèlement moral. C’est la première fois qu’une entreprise du CAC 40 est mise en examen pour ce motif. A fortiori, cette affaire et la mise en examen de l’opérateur pourrait ouvrir la voix à la reconnaissance du harcèlement moral institutionnalisé. 

Didier Lombard, ex PDG de France Telecom, devenu Orange, Louis-Pierre Wenes, ancien DRH et Olivier Barberot ont également été mis en examen pour harcèlement moral. Enfin quatre autres cadres ont été mis en examen pour complicité. 

Le Parquet doit désormais prendre ses réquisitions avant un éventuel renvoi de l’affaire en correctionnelle pour la totalité ou une partie des mises en examen.

Pour l’avocat du syndicat SUD et des plaignants, Me Jean-Paul Teissonnière, "il s’agit d’un harcèlement organisé au plus haut niveau de la direction, un harcèlement structurel, une stratégie. C’est un système, ceux qui ont mis en place ce système doivent en répondre devant un tribunal correctionnel." 

L’arrivée de Stéphane Richard, à la succession de Didier Lombard, avait permis de pacifier la situation des salariés de l’opérateur Orange. 

Source: AFP 

Lire France Télévisions l'article du blog CGC Média en date du 14 mai 2014 qui reprenait un des divers articles de presse sur un même sujet signé Laurent Léger de Charlie Hebdo "Pflimlin achève de tuer France Télévisions: "Graves problèmes de santé, des AVC et des tentatives de suicide sont déjà régulièrement recensés chez les salariés"....

PDV France Télévisions..rebaptisé Petit Départ Vénal.

Le 10 décembre dernier, le blog CGC Média publiait un article intitulé "Mauvais Plan à France Télé...les “petits” et les récalcitrants devraient payer les pots cassés" relayant les infos donnés par "Le Canard enchaîné" du  même jour au sujet dudit PDV qui va non seulement coûter une blinde - loin des 43M€ que Pflimlin et ses troupes ont annoncés (cf la lettre des Commissaires aux comptes que rendait publique le blog CGC Média dans son article du novembre dernier “Les commissaires aux comptes à France Télé mettent par courriers leurs doutes par rapport au PDV”, voir fin de post) mais surtout qui va profiter à nombre de dirigeants de la télé publique.

Aujourd'hui c'est la CFDT enfonce le clou concernant le pôle Nord-Est avec un  tract "PDV: Petit Départ Vénal" .
Ce tract vient évidemment en écho, aux différentes publications du blog CGC Média et plus récemment donc à l’article du "Canard enchaîné" précité. (Texte et image ci-après)

Voici ce qu’écrivait “Le Canard”: “Le fameux plan de 340 départs volontaires de France Télés, censé alléger les charges du groupe public, va commencer par plomber un peu plus ses comptes. Dans la liste des candidats partants ou déjà parti, on trouve pas mal de gros salaires dont certains à deux doigts de la retraite qui profitent de l'occasion pour partir avec un pactole pour atteindre jusqu'à 30 mois de salaire. Des directeurs régionaux de France 3, des patrons de chaînes outre-mer, des huiles de France Télévisions à Paris, etc.



Les commissaires aux comptes qui, fin 2013, redoutaient le dépassement de l'enveloppe prévue pour ce plan de départs (43 millions) vont être ravis de ce lâcher le parachutes dorés!”
(cf la lettre des Commissaires aux comptes)


Rappel de ce qu'écrivait le blog CGC Média dans son dernier article suite aux quelques bénéficiaires qu’évoquait “le palmipède”:

Ceux “qui profitent de l'occasion pour partir avec un pactole pour atteindre jusqu'à 30 mois de salaire. Des directeurs régionaux de France 3, des patrons de chaînes outre-mer, des huiles de France Télévisions à Paris, etc...”, le blog CGC Média a déjà en sa possession les patronymes et la qualité professionnelle de toute une liste d’heureux bénéficaires en partance ou déjà partis.

Il va sans dire que nombres de salariés “modestes” dont le poste est supprimé n’ont toujours, eux, aucune nouvelle de leur sort....qu’ils soient éligibles à la retraite ou qu’ils aient opté pour la création d’entreprise.

Exemples...ce collaborateur dont le projet de création d’entreprise a été accepté en août par ladite “commission de suivi” qui a bien évidemment exécuté les démarches nécessaires à sa future activité, notamment bancaires et de clientèle à venir, qui écrit “Toujours aucune nouvelle de France  TV. Impossible de joindre personne au service du personnel, ni à la DRH carrément aux abonnés absents  (*) depuis des mois.
La situation à trop duré j'ai décidé de passer au stade supérieur, Inspection du travail et avocat...”

(*) Un précision s’impose. Si certains de ceux à la DRH qui sont concernés par le traitement des salariés “intéressés” au plan, ne répondent pas....c’est tout simplement parce qu’ils n’ont réellement aucune consigne de la direction pour agir !

Cet autre collaborateur dont le dossier, là encore a fait l’objet, d’une acceptation dès l’été 2014 qui vient malheureusement de tomber malade (assez gravement) et qui n’a reçu comme seule communication sur son dossier depuis tout ce temps, qu’une lettre avec les coordonnées téléphoniques du médecin du travail et des assistantes sociales!!!!!

Ce type de totale désinvolture n’est pas rare, au contraire et résonne en échos à la fameuse phrase de Jean de La Fontaine dans les animaux malades de la peste Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir”.

En revanche, pas de délai pour ce directeur territorial ultramarin qui part dans le cadre du plan avec une somme astronomique à faire rougir ceux qui cochent leur grille pour la chance tous les vendredis...ou bien encore ce directeur régional plus proche du continent qui, parti au début des années 90 avec une énorme prime de départ et revenu ensuite, repasse au portillon cette fois-ci dans le cadre du plan !!!!  

Que dire de ces directeurs de pôle, de cette Secrétaire générale aux programmes, de cette directrice qui a remplacé Ajdari à la tête du CE qui partent dans des conditions identiques et sans problèmes....Que dire également de cet ex directeur au Siège à Paris muté intempestivement dans un DOM (ce n’était pas son choix) et porté opportunément dans les chiffres du Plan comme ayant bénéficié d’une soi-disant demande de “mobilité”....

Et le nombre d’intéressés “dir”, “directeurs”, “directeurs adjoints”, “hors grille” etc... comptabilisés dans le PLAN  de Pflimlin,  le blog CGC Média en a des pages entières.

 

mardi 6 janvier 2015

Les téléspectateurs des chaînes de France Télé vont OFFICIELLEMENT pouvoir débarasser la table!


En 2012 déjà, alors que la loi et  le cahier de missions et des charges de France Télévisons prévoyait à l’alinéa 1 de l'article 19

III. - Les nouveaux engagements sur la programmation 

"Les horaires de programmation
Les programmes de soirée débutent vers 20 h 35 sur toutes les chaînes de France Télévisions afin que tous les Français puissent avoir accès à une véritable deuxième partie de soirée, entre 22 heures et 22 h 30. Ces horaires sont adaptés en outre-mer." 

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel constatait déjà les manquements à ces dispositions légales par  Pflimlin qui  nommé depuis 2 ans, à l'été 2010 par l'ex Président de la République, avait décidé de ne pas y souscrire.  

En effet, le CSA n'avait pu que constater que les programmes de début de soirée, par exemple sur France 2, démarraient en moyenne en janvier 2012 autour de 20h45 ( encore plus tard qu'en 2011 où il commençaient volontiers aux alentours de 20h40!) soit 10 minutes plus tard que la prévoyait l'article 19 du cahier des charges de France Télévisions.  

L'instance de régulation avait eu beau rappeler à l'ordre le réfractaire Pflimlin en demandant   France Télévisions les mesures que la société entendait prendre afin de fournir aux téléspectateurs une information fiable sur les horaires des programmes de soirée", afin de répondre, notamment répondre aux saisines récurrentes de téléspectateurs, celui qui va laisser dans quelques semaines le fauteuil que lui a donné Sarkozy en 2010, se contentait de revendiquer cet état de fait en indiquant tout bonnement que les premières parties de soirée sur France Télévisons démarraient effectivement vers 20h45 et non pas 20h35 comme prévu !!!!!

Et de s'en prendre à la concurrence «C'est très handicapant pour les chaînes publiques. Certains téléspectateurs ne regardent pas nos programmes parce qu'ils ont commencé trop tôt». 

C'est donc chose faite aujourd'hui, l'article 19 du cahier des charges a été supprimé le 26 décembre dernier comme le confirme le J.O. ci-dessous (*)

Chouette, les téléspectateurs des chaînes de France Télé qui prenaient déjà depuis plusieurs année "quelques libertés", à savoir débarrasser la table ou se rendre au petit coin, vont pouvoir le faire maintenant OFFICIELLEMENT !!!! 
(*) 


lundi 5 janvier 2015

Claude Bartolone, le président de l’Assemblée Nationale nomme Nathalie Sonnac au CSA.


La dirigeante de l’Institut Français de Presse va être nommée par Claude Bartolone, le président de l’Assemblée Nationale.

Il semble bien que Claude Bartolone, le président de l’Assemblée Nationale qui comme Gérard Larcher pour le Sénat nomme chacun un de deux nouveaux membres du CSA (Le collège du CSA comportera 8 membres jusqu’en 2017 au départ de Françoise Laborde, Christine Kelly et Emmanuel Gabla, avant de passer à 7 membres) a fait son choix en la personne de Nathalie Sonnac, professeur en sciences de l’information et de la communication à Assas (Paris II) et dirigeante de l’Institut Français de Presse. Elle est également membre du Conseil national du numérique (CNN).




dimanche 4 janvier 2015

L’année 2015 sera judiciaire…La plainte du SNPCA-CGC instruite par Renaud Van Ruymbeke devrait connaitre de nouveaux développements.

L’année 2015 sera judiciaire…La plainte du SNPCA-CGC instruite par Renaud Van Ruymbeke devrait  connaitre de nouveaux développements.
 
Tout d’abord, le blog CGC Média qui souhaite le meilleur à ses lecteurs assidus espère que l’année 2015 sera l’année où aboutiront tous les combats menés avec opiniâtreté et persévérance par ceux qui croient à la Justice.
 
L’AFP (repris par Libé), le 2 janvier, qui « ouvrait le bal » avec un article intitulé « L’affaire Bettencourt ouvre l’année judiciaire » dressait un listing, au mois le mois, des diverses procédures à venir pour l’année 2015.
 
Les premières lignes de la dépêche sont ainsi rédigées « Bettencourt, Bettencourt, Bettencourt... Ce sont pas moins de trois procès liés à l’héritière du groupe L’Oréal qui se tiennent à Bordeaux lors du premier semestre 2015 et ouvriront l’année judiciaire… »
 
Les deux média se bornent à énumérer les procès programmés sans évoquer les affaires toujours en instruction.
 
C’est bien entendu le cas de l’instruction judiciaire menée par le juge Renaud Van Ruymbeke suite à la plainte déposée par le SNPCA-CGC qui vise tout un tas de contrats passés par France Télévisons tant sous Carolis que sous Pflimlin et qui a déjà vu pour 2014, ne serait-ce que pour le volet Bygmalion de l’affaire,  4 mises en examen dont Carolis et le placement sous statut de témoin assisté de 3 dirigeants du groupe de télévisons publique dont Pflimlin.
 
La plainte d’une vingtaine de pages n’étant pas axée uniquement sur les contrats passés par Carolis et Pflimlin avec Millot qui salarié à l’époque de FTV créait,  en congés sabbatique puis sans solde,  sa société et ses filiales, il est assez clair que le plus gros qui porte sur des dizaines et des dizaines de milliers d’euros, reste à venir.
 
Les 4 mises en examen et les 3 témoins assistés que le juge Van Ruymbeke a déjà prononcés vont donc, à l’évidence en 2015, évoluer et s’étoffer.