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jeudi 16 février 2023

La démission attendue d’Ernotte n’empêchera pas les poursuites pénales à venir.

La démission attendue d’Ernotte n’empêchera pas les poursuites pénales à venir.

Quel président de la République expliquerait aux Français, qu’il a perdu un peu plus de 85 millions d’euros d’argent public à la roulette...et que finalement ce n'est pas grave ?

Ces plus de 85 000 000 d’euros partis en fumée, c’est un peu comme si l’État avait décidé de les jouer à la roulette en misant tout sur le NOIR…alors que c'est le ROUGE qui est sorti !  

Le communiqué mensonger publié hier sur la liquidation de Salto qui prétend que la plateforme « rassemble à ce jour [15/02/23, ndlr] environ un million d’abonnés » (*) aura de lourdes conséquences sur les actions judiciaires qui vont être menées car le Chef de l'État ne peut certes pas être poursuivi pour les bobards que France Télévisions aura accumulés en quelques mois mais la fallacieuse présentation des comptes de l'entreprise étatique, toutes celles et ceux qui ont initié, permis, approuvé de telles pratiques illégales plus particulièrement dans le Service Public devenant dès lors, soit auteurs, soit complices, le seront.

Ainsi sont concernés au premier chef, l'ex-Orange à l'origine du projet qui devrait annoncer son départ de l'entreprise publique pour avoir englouti en pures pertes ces plus de 85M€ de l'argent des contribuables français mais aussi celles et ceux qui au sein des Tutelles, de l'Autorité de régulation, du Conseil d'Administration voire au sein de l'Exécutif et à tout autre niveau du reste, auront engagé, permis et facilité la plus grosse catastrophe financière et industrielle que la télé publique aura connue !

Dans le secteur privé, les autorités boursières obligent les émetteurs comme les investisseurs, à rendre publique leurs données afin de garantir la parfaite information des investisseurs,  de sorte à ce que chacun d'entre eux ait accès en même temps aux mêmes informations

Porter par exemple à "1 million environ, le nombre d'abonnées" (¤) avec les répercussions financières que cela implique ou encore faire croire que "l'abandon de la fusion entre TF1 et M6 qui auraient permis une reprise de la plateforme" serait la cause de ladite liquidation alors qu’elle n’était ni imaginée, ni même une option en « octobre 2020 date du lancement de Salto », contreviennent dans les faits à cette obligation de diffusion d'informations honnêtes et sincères, devant favoriser ainsi la transparence sur les marchés financiers et éviter l'asymétrie d'information entre les agents économiques. 

Quels que soient les manquements à ces obligations, ils sont par nature extrêmement graves et seront autant d'éléments pour la Justice qu'Anticor ou tout autre association, collectif mais aussi syndicat comme la CGC dans l’Audiovisuel, aura saisie.

(*) 







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