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samedi 18 février 2023

Les déclarations hallucinantes de l'ex-commissaire de police à France Télés qui moque les élus en classant "confidentiel défense" la sécurité qu'elle remet clairement en cause !

Les déclarations hallucinantes de l'ex-commissaire de police à France Télés qui moque les élus en classant "confidentiel défense" la Sécurité qu'elle remet clairement en cause ! 

Hallucinant. Les élus au CSE de France Télés n'en sont toujours pas revenus devant tant d'énormités débitées en séance de l'instance par l'ex-commissaire de police chargée de la sécurité qui, selon nos informations, a fini d'agacer au plus haut point.

Certaines voix disent d'ailleurs que cette dernière serait sur le point de réintégrer son corps de détachement tant la gestion chaotique de la direction de la Sureté et de la Sécurité pose problème au 8ème étage...

"A l'heure où la liquidation de Salto risque fort de déboucher sur une ou plusieurs procédures en Correctionnelle, on n'a pas besoin de nouveaux emmerd's au Pénal" s'agace un lieutenant de l'équipe ernottienne excédé des dérapages de la dame ! 

Ces élucubrations font d'ailleurs écho au système d'obstruction s'agissant des demandes d'informations qu'un auditeur extérieur qui n'a probablement jamais vu ça, n'obtiendra pas. Il n'a jamais eu les documents à savoir, entre autres, le classement et le résultat de l'appel d'offres qui ont conduit au choix du prestataire Sécurité à France Télés: "Confidentiel défense". 

Il n'aura pas non plus les docs liés à l'entreprise 3SQE chargée d'Audit et de Conseils y compris financiers  mis en place depuis 2019 par la policière qui était en relation avec l'un de ses dirigeants.   

A la la question de savoir si l'auditeur aurait géré les entretiens de salariés souvent poussés à bout réalisés semble-t-il, année après année par des psychologues externes, la réponse est non. Ce dernier aura beau réclamer lesdits rapports qui ont pourtant été rendus , tant sur le plan financier que sur un plan psychologique d'ailleurs, il ne les aura  pas... Die kommissar s'étant bornée à indiquer qu'ils n'étaient pas  consultables et étaient "confidentiel défense" !

Pour qui se prend celle qui envoie promener les élus comme les représentants du personnel sans oublier certains hauts cadres de l'entreprise avec ce genre de formule: "Je suis commissaire, vous n'avez pas à me poser de questions" !  

Non madame vous n'êtes pas commissaire de police à France Télés, vous êtes  salariée de l'entreprise et à ce titre, contrainte de respecter les règles et les textes en vigueur ! Vous devez répondre dans les diverses réunions qu'elles soient de service ou obligatoires, aux interrogations formulées au lieu de décréter systématiquement  "ce n'est pas de ma faute...ce sont la DRH ou le dialogue social qui ne me fournissent pas les moyens! "

Quant à raconter qu'à France Télés certains documents seraient "confidentiel défense", il semble utile de rappeler qu'"En France, le secret de la Défense nationale est une protection légale comptant plusieurs niveaux qui permet de restreindre l’accès à certaines informations intéressant celle-ci aux seuls personnels qualifiés pour les connaître. En 2018, 400 000 personnes étaient habilitées dans l’appareil d’État, 4 000 officiers de sécurité dans les entreprises et les administrations pour 5 millions de documents classifiés"...

Muriel Sobry n'était pas dans cette liste. Quand bien même l'aurait-elle été, elle n'a évidemment aucune compétence à classifier quoi que ce soit et sûrement pas des rapports de psychologues. Elle ne peut donc pas cacher de tels rapports élaborés après les entretiens réalisés en vertu d'un  contrat cadre qui prévoyait entre autres que les salariés puissent, via un numéro vert, faire état de leur souffrance au travail. Ils sont en effet pléthore à avoir démissionné,  s'être retrouvé en burn-out ou en arrêt maladie et à être toujours victimes comme ces cinq survivants, à qui elle a décidé de mener la vie dure et pour qui elle n'a finalement aucune considération.

Le constat a été particulièrement édifiant, sur ce point au dernier C.SE. L'intéressée à même oser déclarer en séance devant une direction stupéfaite mais aussi des représentants de syndicats et de salariés, concernant ces quelques collaborateurs restant à la DSS - attention accrochez-vous, ça va secouer - qu'" Ils ne sont pas chargés de la Sécurité mais de l'accueil et de l'accompagnement ". Formule qu'elle dit à présent ne pas voir utilisée,  taxant ainsi les participants à la séance du CSE de surdité ou de ne pas l'avoir comprise.

Surréaliste...Quelqu'un pourrait-il expliquer que quelque soit son rang dans la police, celle qui aboie plus qu'elle ne parle, a vis-à-vis d'eux une obligation de santé morale et physiologique comme elle l'a plus largement, avec celles et ceux qu'elle traite souvent avec suffisance et mépris ? Peut-être les petites mains du service avec qui elle a été vue, déjeunant à la cantine pour la première fois cette fin de semaine, le pourraient ...qui sait ?!

Tenir de tels propos publiquement devant témoins - propos qui figurent au compte-rendu - est la preuve de ce mépris et de ce harcèlement, n'ayons pas peur des mots...Ces divagations qui transforment la DSS (Direction Sûreté et Sécurité) en DAA (Direction Accueil et Accompagnement) sont indignes d'une entreprise publique et tombent évidement sous le coup de la loi.

Enfin, changer l'organisation du travail et en faire baver à ceux qui restent avec modification unilatérael de leur contrat de travail - ce qui est hors la loi et, rappelons-le, totalement illicite pour les salariés protégés -  ou encore passage imposé à 39 heures pour les récalcitrants, sans qu'ils aient eu le moindre RDV avec leur IRH...le but étant de faire craquer ces derniers résistants, est une honte.

Tout ceci, ne peut aboutir en réalité qu'à une seule chose: au départ de celle qui  n'a pas envoyé le 10 février dernier, la moindre équipe pour assurer comme chaque année la sécurité aux Victoires de la Musique et n'a donc plus rien à faire dans une entreprise de service public comme, du reste, le 8ème étage l'a compris



 

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