Nicolas de Tavernost président du directoire du groupe M6 auquel appartient RTL, était l’invité sur la radio de Thomas Sotto.
Il était amené à s’exprimer dans le cadre de l’épidémie qui touche tout le monde et plus particulièrement sur les répercussions économiques qui s’en suivront.
Avant toute chose, il vanté les mérites du télétravail au regard du contexte de confinement déclarant que « c’est aujourd’hui une forme tout à fait normale de travail ».
Il a ensuite répondu sur la place de la télé dans notre quotidien.
« Ce retour du collectif est une bonne chose pour les médias traditionnels que nous sommes » s’est-il félicité, ajoutant « la télé s’est redopée et n’est pas morte, loin s’en faut : 90% du temps passé c'est devant l’écran télé, 10% seulement devant les plateformes ».
Concernant les pertes de recettes publicitaires qu’il qualifie de « choc énorme », il indique : « Je pense que sur le trimestre, ça va être de l’ordre de 50%...davantage au mois d’avril, donc c’est considérable ».
« Il serait normal que le secteur public abandonne la pub pendant une certaine période - la grande majorité de son financement (90%) provient de la redevance télévisuelle – et que les dépenses de communication soient déductibles dans une certaine mesure » poursuit le patron du groupe.
Tout un tas de mesures qui serait selon lui utiles et devraient plaire à celle ou celui qui prendra la tête de France Télévisions le 24 août prochain donc pas Christopher Baldelli qu’il virait l’an dernier comme le souligne le confidentiel de Challenges, ce jour.
Il était amené à s’exprimer dans le cadre de l’épidémie qui touche tout le monde et plus particulièrement sur les répercussions économiques qui s’en suivront.
Avant toute chose, il vanté les mérites du télétravail au regard du contexte de confinement déclarant que « c’est aujourd’hui une forme tout à fait normale de travail ».
Il a ensuite répondu sur la place de la télé dans notre quotidien.
« Ce retour du collectif est une bonne chose pour les médias traditionnels que nous sommes » s’est-il félicité, ajoutant « la télé s’est redopée et n’est pas morte, loin s’en faut : 90% du temps passé c'est devant l’écran télé, 10% seulement devant les plateformes ».
Concernant les pertes de recettes publicitaires qu’il qualifie de « choc énorme », il indique : « Je pense que sur le trimestre, ça va être de l’ordre de 50%...davantage au mois d’avril, donc c’est considérable ».
« Il serait normal que le secteur public abandonne la pub pendant une certaine période - la grande majorité de son financement (90%) provient de la redevance télévisuelle – et que les dépenses de communication soient déductibles dans une certaine mesure » poursuit le patron du groupe.
Tout un tas de mesures qui serait selon lui utiles et devraient plaire à celle ou celui qui prendra la tête de France Télévisions le 24 août prochain donc pas Christopher Baldelli qu’il virait l’an dernier comme le souligne le confidentiel de Challenges, ce jour.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire