Sexisme et
harcèlement à France Télés (suite) : Ernotte n’a pas pris l’affaire en mains,
elle l’a prise en pleine figure !
Le journal L’Équipe qui avait révélé l’affaire dans son édition du 4 avril, met aujourd’hui en lumière la pathétique tentative de l’ex-Orange visant à se dédouaner « J'ignorais cette situation ».
Ernotte ignorait probablement aussi la situation lorsqu’elle a été mise au courant du cas Emery Doligé son conseiller de l’ombre ? Tu parles Charles…
Le blog CGC Média au travers de nombreux articles dont celui-ci « #Ernottte#conseiller#MrY#Doligé#pornographie#LOL » avait tiré la sonnette d’alarme comme suite à plusieurs articles dont celui du Grazia (extrait ci-après) Tout ça avait été mis sous le coude !
Le journal L’Équipe qui avait révélé l’affaire dans son édition du 4 avril, met aujourd’hui en lumière la pathétique tentative de l’ex-Orange visant à se dédouaner « J'ignorais cette situation ».
Ernotte ignorait probablement aussi la situation lorsqu’elle a été mise au courant du cas Emery Doligé son conseiller de l’ombre ? Tu parles Charles…
Le blog CGC Média au travers de nombreux articles dont celui-ci « #Ernottte#conseiller#MrY#Doligé#pornographie#LOL » avait tiré la sonnette d’alarme comme suite à plusieurs articles dont celui du Grazia (extrait ci-après) Tout ça avait été mis sous le coude !
Grazia dans son article « Toutsauf LOL » (*) a « assuré une mission de conseil d'un an et
demi jusqu'à l'été 2018, à France Télévisions, au côté de Delphine Ernotte »,
n’est pas tendre avec Doligé qui tente de minimiser ses agissements, laisse
entendre au magazine qu’il serait victime des réseaux "laisse faire le tribunal du buzz". Ben voyons…l’arroseur plus
qu’arrosé !
Le magazine qui révèle « la main courante déposée à son encontre par une blogueuse mode, Delphine Desneiges, alias @DeedeeParis, après le déferlement d'attaques et d'insultes dont elle a fait l'objet sur le réseau social, de 2007 à 2009. » dénonce « La légèreté tragique de nombreux responsables de médias a permis à certains de se hisser au sommet de la chaîne. C'est le cas du communicant et influenceur wb Emery Doligé, connu sous le pseudo de MrY, et grand amateur de pornographie. »
Ernotte n’était pas au courant non plus, en avril 2019, de l’affaire du Boy’s club à « Franceinfo : numérique », il y a un an quasiment jour pour jour ! Demandez donc combien de salarié(e)s elle a reçu(s) pour lui parler de la situation et de coups de téléphone l'ont informé du contexte comme elle dit !
Le magazine qui révèle « la main courante déposée à son encontre par une blogueuse mode, Delphine Desneiges, alias @DeedeeParis, après le déferlement d'attaques et d'insultes dont elle a fait l'objet sur le réseau social, de 2007 à 2009. » dénonce « La légèreté tragique de nombreux responsables de médias a permis à certains de se hisser au sommet de la chaîne. C'est le cas du communicant et influenceur wb Emery Doligé, connu sous le pseudo de MrY, et grand amateur de pornographie. »
Ernotte n’était pas au courant non plus, en avril 2019, de l’affaire du Boy’s club à « Franceinfo : numérique », il y a un an quasiment jour pour jour ! Demandez donc combien de salarié(e)s elle a reçu(s) pour lui parler de la situation et de coups de téléphone l'ont informé du contexte comme elle dit !
A l’époque voilà ce qu’écrivait alors le tandem Ernotte/Letranchant « France
Télévisions est engagée dans une politique d’exemplarité et de zéro
tolérance envers le harcèlement » qui indiquait
déjà « La Direction de l’Information
a été informée de rumeurs concernant des comportements inappropriés au
sein des équipes de la rédaction numérique de Franceinfo à France Télévisions.
Immédiatement, nous avons diligenté avec la DRH une
enquête interne et déclenché une procédure disciplinaire couverte par la
confidentialité. »
Pas au courant
non plus dans cette nouvelle affaire comme le précise L’Équipe « Ernotte nous a informé par écrit avoir pris
personnellement l'affaire en mains : « J'ai lu les propos de Clémentine
Sarlat. J'ignorais cette situation et j'ai engagé immédiatement
une enquête. Je l'ai appelée et j'ai échangé directement avec elle. Le
harcèlement est intolérable dans toutes les entreprises et particulièrement
dans le service public. L'égalité entre les femmes et les hommes est un combat
que je ne lâcherai pas »…
Minable
communication…toujours la même ignorance des faits !
Ernotte
a même osé dire à Clémentine Sarlat « Je vous crois, je ne remets
pas en doute votre parole mais je veux connaître le contexte. »
Indigne, abjecte…elle ne remet pas en cause sa parole mais il faut connaitre le contexte…mais journaliste qui a osé parler aurait « tout son soutien ».
Indigne, abjecte…elle ne remet pas en cause sa parole mais il faut connaitre le contexte…mais journaliste qui a osé parler aurait « tout son soutien ».
La cellule harcèlement de France Télés saisie à plusieurs reprises
en interne, les interventions de la chaine hiérarchique pour ne pas en
restituer les travaux …on en a fait quoi ?
C’est bien ce que soulève dans L’Équipe Antoine Chuzeville journaliste du service des sports de France Télés
et délégué syndical SNJ.
« "Je suis
admiratif de la prise de parole de Clémentine" souligne Antoine
Chuzeville journaliste du service des sports de France Télés et délégué
syndical SNJ. « Mais je ne suis absolument pas surpris. Elle n'est plus
dans la rédaction depuis un an et demi mais les comportements qu'elle décrit
sont toujours là.
L'été
dernier, trois jeunes femmes du service
des sports vulnérables, c'est-à-dire en stage, en pige ou en CDD, sont venus
nous voir pour se plaindre et signaler certains comportements. Il s'agissait
de phrases à connotation sexuelle très explicite, des invitations très poussées
de rejoindre des journalistes beaucoup plus âgés après le boulot, des
réflexions dégradantes.
Cela avait été vérifié et parfois dit devant une petite assemblée.
J'avais demandé un rendez-vous à ma direction et celle des ressources humaines. Le dossier avait été pris très au sérieux. Je ne sais pas trop ce que cela a donné. C'est notre regret. On espère que cette enquête permettra de faire remonter tous les témoignages"
Certaines journalistes, en poste ou parties de l'entreprise auraient déjà discrètement fais savoir quels étaient prêtes à témoigner. »
Cela avait été vérifié et parfois dit devant une petite assemblée.
J'avais demandé un rendez-vous à ma direction et celle des ressources humaines. Le dossier avait été pris très au sérieux. Je ne sais pas trop ce que cela a donné. C'est notre regret. On espère que cette enquête permettra de faire remonter tous les témoignages"
Certaines journalistes, en poste ou parties de l'entreprise auraient déjà discrètement fais savoir quels étaient prêtes à témoigner. »
La chasseuse d’hommes
blancs de plus de 50 ans dont le départ est
imminent fera peut-être le ménage avant de partir sauf si sa démission
intervient avant…mais cela n’enlèvera en rien la responsabilité qui est à
chaque fois la sienne mais qu’elle n’assume jamais.
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