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lundi 8 juin 2015

Olivier 23ème du nom compte huit personnes à son service.

Le weekend était au beau fixe pour tout le monde sauf peut-être pour Olivier « numéro 23 » dans la dynastie des consorts…il n’a semble-t-il pas passé une bonne fin de semaine.
Après avoir pourtant répondu à la question d’un député, Rudy Salles, lors de sa récente audition devant la commission des affaires culturelles «On a pu lire dans différents journaux, ne vous en offusquez pas, que la présidence du CSA disposait d’un cabinet d’environ huit personnes, comparable à celui d’un cabinet ministériel. Pouvez-vous nous donner les fonctions de chacun de ses membres ? Il me paraît normal de vous poser la question afin qu’elle soit évacuée. », l’intéressé n’aurait pas vraiment apprécié qu’un titre de presse spécialisé révélât les noms et qualité des membres officiant sous son ministère.
Il avait certes répondu à la question à l’Assemblée Nationale  « Monsieur le député, je bénéficie de l’appui précieux d’un directeur de cabinet (1), d’une directrice-adjointe de cabinet (2) et d’une responsable de la communication (3), qui m’accompagnent aujourd’hui. Sont également affectés au cabinet, un chef de cabinet (4), qui était déjà en poste auprès de mon prédécesseur et qui a en particulier pour fonction l’organisation des manifestations, colloques et réunions diverses comme celle que l’ERGA (¤) tiendra le mois prochain, et un chargé de mission qui aide aux recherches, à la documentation, et à la préparation des interventions. La responsable de la communication (5), Mme Frédérique Bayre, est aidée par deux attachés de communication (6 et 7), Voilà précisément la composition de l’équipe qui m’entoure. Pour avoir écrit deux ouvrages sur le sujet, je pense pouvoir vous dire que l’organisation que je viens de décrire n’a pas grand-chose à voir avec celle des cabinets ministériels. » mais là, la presse se fait plus précise que lui. D’ailleurs en recomptant ça fait 7 et non pas  8….bizarre !  
En plus de son salaire annuel que le journaliste indépendant Guillaume Evin, auteur du "Livre noir du CSA" (Editions du Moment), détaillait pour le « Huffington Post » de la manière suivante:
Traitement de fonctionnaire hors échelle: 82.986 euros brut annuels
Indemnité de fonction forfaitaire: 58.658 euros brut annuels
Primes et avantages en nature: 43.000 euros.

Soit un total d'environ 184.000 euros brut annuels...
Il faut les rémunérer ces huit personnes à son service…tout ça sans compter les cabinets extérieurs qu’il utilise et les frais de représentation liés à sa charge.
(¤) Au fait, l'initiative prise par le président du CSA de réunir pour une soirée à Paris, plusieurs présidents et d'autorités de régulation (accompagnés de leur conjoint) des 28 pays de l'UE membres de l’ERGA ["European Regulators Group for Audiovisual Media Services" (en anglais)], combien ça a couté ?
Le montant total ? ...Plus ou moins que la note globale des taxis  d’Agnès Saal à l’INA ?

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