Elle ne s’en
est pas vantée la misandre Ernotte lors de "la journée de la Femme" en partenariat avec la nouvelle "assoc" « Fondation
des femmes » et ses 3 clips, du dérapage de fin février!
Le 29
février dernier, la Presse s’était fait le relai de l’indignation générale qui s’était répandue comme
une trainé de poudre après un dérapage de «Plus Belle la Vie» qui après une scène de viol dans la série diffusée sur France 3, avait tweeté un sondage condamnable et unanimement condamné du reste...encore il y a peu par l'ex Orange à la COM de l'ex Orange à FTV.
Rappel :
Voilà
par exemple ce qu’écrivait Virginie Balet dans « Libération » : "Au lendemain de la diffusion
d'une scène de viol conjugal, le compte Twitter officiel de la série a mis en
ligne vendredi un sondage dans lequel la question était posée de savoir si la
victime l'avait «bien cherché».
«Vous faites injure à toutes les
femmes violées», «c’est dégueulasse», «c’est un scandale»….c’est un véritable torrent de
condamnations qui s’est déversé sur Twitter tout au long du week-end à
l’encontre des responsables du compte officiel de la série Plus Belle la Vie.
L’indignation a même atteint les couloirs de l’Assemblée nationale :
ce lundi, la présidente de la délégation aux droits des femmes, Catherine
Coutelle, a mis les points sur les i sur le réseau social,
tweetant : «Un viol est un
viol. La lutte contre les violences est une priorité.» En cause ?
Un sondage diffusé sur Twitter vendredi par le compte officiel du feuilleton
français.
Dans l’épisode de jeudi soir, le
personnage de Coralie est victime d’un viol commis par son nouveau compagnon.
Dans la foulée, le compte
@PBLVofficiel publie la question suivante : «Qu’avez-vous pensé de la scène de viol conjugal diffusée hier
soir ?» Les réponses proposées sont ainsi énoncées : «J’ai été horrifié(e)/Coralie l’a cherché/Ce
n’est pas un viol.» Avec, pour couronner le tout, le hashtag de fort
mauvais goût #ViolCoralie.
Face à la multitude de réactions négatives suscitées par cette initiative, le sondage [de chiottes est-il besoin de le préciser, ndlr] a rapidement été supprimé, et la série a présenté ses excuses aux téléspectateurs et à la chaîne pour avoir «heurté la sensibilité des followers avec un sondage à la formulation inappropriée».
On serait tenté d’ajouter que ce
n’est pas tant la formulation que le sous-entendu derrière les réponses
proposées qui pose problème. Les responsables du feuilleton, diffusé depuis
bientôt douze ans, ont ajouté que la suite de l’intrigue, élaborée avec des
associations spécialisées dans l’accompagnement des victimes, continuerait
d’aborder le viol conjugal."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire