Sept plaintes au Pénal déposées
par la CGC de l’Audiovisuel contre Ernotte
ès qualité dont deux d’entre elles vont très vite faire parler...
Il n’est absolument pas question, disons-le tout net, que les Français paient les procédure judicaires qui devraient se succéder concernant Ernotte et certains de ses acolytes après qu'ils seront partis.
Entre autres, celle qui faisait s'interrroger l'ADAP, la semaine dernière :
Il y a quelques jours, l’ADAP posait une question visiblement en rapport avec une des 7 procédures en question (ce qu’un témoignage extérieur était venu confirmer) et qui ne manquera pas de faire tomber chacun de sa chaise, le jour du procès ! Par exemple, ceelle dposée pour "détournements de fonds publics s'appuyant sur sur une facture détaillant 112 123 € de frais d'hôtellerie adressée à France télévisions pour le séjour de 4 de ses dirigeants à Cannes du 16 au 27 mai 2023, parmi lesquels la présidente du groupe : Delphine Ernotte Cunci, Stéphane Sitbon-Gomez, son directeur des antennes et programmes, Manuel Alduy, son directeur du cinéma et des fictions, et Christophe Tardieu, son secrétaire général…mais également les deux fondateurs de Brut, Guillaume Lacroix et Renaud Le Van Kim.
Comme l’a fait récemment La Lettre qui rappelait les procédures, notamment des plaintes toujours pendantes déposées par la CGC concernant France Télés et sa représentante légale (jusqu’en août prochain) - La plus ancienne puisqu’elle date le 17 février 2020 et ce sans que la CGC qui est partie civile, n'ait jamais vu le moindre juge.
Ce sera
chose faite à la mi-mai puisque le syndicat plaignant est convoqué par le Juge
d’Instruction.
C'est la plus ancienne, elle date du 7 février 2020
1) Objet : Plainte avec constitution de partie civile
Madame, Monsieur, le Doyen des Juges d’Instruction. Suite à la décision de classement sans suite prononcée par le Parquet National Financier le 11 décembre 2019, nous avons l’honneur par la présente de déposer une plainte avec constitution de partie civile à la demande de notre mandant, le Syndicat National des Personnels de la Communication et de l’Audiovisuel (ci-après « SNPCA »), à l’encontre de :
- Madame Delphine ERNOTTE-CUNCI, Présidente de la société publique France TELEVISIONS
- Madame Anne-Cécile MAILFERT, Présidente de L’ASSOCIATION DE PRÉFIGURATION DE LA FONDATION DES FEMMES (ci-après « APFF »).
- Monsieur Stéphane SITBON-GOMEZ, compagnon de Madame Anne-Cécile MAILFERT et Directeur de Cabinet de Madame Delphine ERNOTTE-CUNCI.
- Monsieur Maxime RUSZNIEWSKI, Président de la SASU PARDI et l’un des administrateurs de l’APFF.
Il devrait y en avoir une nouvelle, toujours au Pénal avec inscription au casier judiciaire dans le cadre de cette utilisation systémique de CCDU illégaux jetés comme des kleenex tous les ans, une fois qu'ils ont bien servi...Comme celui de cette jeune femme qui en totalise 73 sur 5 ans, sans la moindre carence à qui France Télé a montré le chemin de la porte sans la moindre gêne.
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