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lundi 1 juin 2020

Présidence de France Télés: un Tron peut en cacher un autre !

Présidence de France Télés: un Tron peut en cacher un autre !

Il reste 40 jours avant la clôture de dépôts des candidatures à la présidence de France Télés (10/07).

Quelques noms ont déjà circulé concernant ceux qui briguent le poste à commencer par celui Christopher Baldelli (né le 10/02/65) l’ex-dégé de France Télés sous Tessier que le blog CGC Média était le premier à révéler, le 9 février dernier dans son article, « Baldelli débarqué de RTL l’an passé adoubé par le Chef de l’Etat pour la présidence de France Télévisions ?! »  

« Ce serait fait » écrivions-nous alors « à en croire certains sachants », celles et ceux de son entourage qui chantaient que « Nicolas Sarkozy aurait dealé son arrivée à France Télés avec Emmanuel Macron, tout serait fait » !   Nous ajoutions « Tout de même, cela fait beaucoup de conditionnels…et de présupposés qui laissent tout de même perplexe plus d’un connaisseur du secteur ».

Le 15 mai, le blog CGC Média reprenant l’article commis la veille par Cyril Lacarrière pour L’Opinion « Un duel Baldelli-Ernotte   pour France Télés ? », rappelait que « Le ticket avec Thierry Thuillier nommé par feu Rémy Pflimlin à la direction de l'antenne et des programmes fin 2013…» ayant été balayé par le patron de l’Info sur TF1, Baldelli « démentait être candidat ». 

De gauche à droite: Frédéric Lefebre, MarcTessier, Franck Soloveicik, Christopher Baldelli, Jean-François Boyer, François Tron, Eric Ghébali et Danilela Lumbroso.

Challenges indiquait d’ailleurs « Christopher Baldelli François a(urait) décidé de renoncer à se présenter suite à la révélation de la candidature de Pierre-Etienne Pommier, conseiller du groupe LREM à l’Assemblée nationale : un camouflet politique. L’ancien directeur de cabinet adjoint de Sarkozy, quand celui-ci était ministre du Budget, entretient toujours des liens étroits avec les réseaux politiques. La condition de sa candidature était claire : il doit avoir une assurance sérieuse, si ce n’est de l’Élysée, du moins de ses pairs pour se présenter. Il ne l’a pas eu. Il se retire… » 

L’Opinion y mettait cependant un bémol, citant un proche de l’intéressé ne crayant pas à une telle décision : « C’est aussi ce que je ferais à sa place, ironise une personne qui connaît bien Baldelli. Dans la période actuelle, autant se montrer discret et bétonner son dossier. »

Le 14 janvier, le blog CGC Média avait donné un autre nom sur son site : Bruno Patino.

Le site Atlantico précisait d’ailleurs il y a peu dans son papier « Patino prêt à sortir du bois pour candidater à la présidence de France Télévisions ! » que l’ex-lieutenant numérique, lui-aussi de Rémy Pflimlin « faisait aussi figure de candidat potentiel…son passage chez Arte n’ayant [pourtant] pas laissé que des bons souvenirs aux équipes de la chaîne franco-allemande ».

Celui qui prédit régulièrement la mort de la télévision - chacun peut constater avec cette crise du Coranovirus, combien ces pronostics sont aujourd’hui hors sol -  serait toujours bien, selon nos informations, tapi dans l’ombre même si certains le voit plus briguer discrètement la présidence de la chaine franco-allemande !  

Le titre de Presse ajoutait « Pour le moment, un seul candidat a publiquement déposé sa candidature. Il s’agit de Serge Cimino, représentant du Syndicat des Journalistes. Serge Cimino est un habitué de cette échéance…Côté femmes, en coulisses, se dessine le nom d’Isabelle Giordano, notamment Présidente du comité stratégique du Pass Culture depuis juillet 2019 et qui bénéficie d’une belle carrière de journaliste derrière elle. Rien d’officiel pour le moment donc mais un outsider potentiel pour cette élection. »

D’autres noms émergent depuis, celui d’Emmanuel Hoog (58 ans dans quelques semaines) ex-patron de l’AFP déjà candidat à la présidence de France Télés en 2015 que le CSA version Schrameck n’avait même pas retenu dans la short-list procédure qui a fait toujours l’objet d’une instruction judiciaire après le dépôt d’une plainte toujours en cours. (*)

Un tout nouveau nom fait aujourd’hui surface: celui du directeur général de la SACEM depuis juin 2012.

Un Tron pouvant en cacher un autre…

Après François Tron (67 ans) qui avait rejoint la présidence de Gouyou-Beauchamps comme conseiller pour les coproductions de cinéma et les acquisitions jusqu’en 2000, avant de devenir directeur délégué à la stratégie des programmes puis directeur des programmes de France 2 de 2001 à 2004 et qui s’active pour la nomination de son pote Baldelli qui pourrait par exemple le nommer numéro 2, Jean-Noël Tronc (né lui, en 67, le jour de Noël) patron  de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique, ferait partie des postulants.  

(*)


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