Le 17 mars 2016 suite à l'article du Canard enchaîné "A France Télévisions, les droits de la femme nourrissent son homme" (ci-après) le blog CGC Média publiait non seulement le droit de réponse que Maxime Ruszniewski le cofondateur de la Fondation des femmes avec Anne-Cécile Mailfert adressait à Renaud Revel pour une article qui avait suivi mais également une enquête étayée sur les imbrications du dossier qui sur le point de faire l'objet du dépôt d'une plainte au Pénal dite en citation directe.
Renaud Revel qui commençait ainsi ""Dans un courrier qui m’est adressé,
le même Maxime Ruszniewski tient à indiquer : "La production des clips évoqués – pour lesquels ma
Société va toucher très exactement 5.500 euros après tournage – n’a strictement
rien à voir avec la Fondation des femmes....(voir la suite en cliquant ici) concluait de la sorte "Il
faudrait que France Télévisions et Maxime Ruszniewski accordent leurs violons".
Décidément, Maxime Ruszniewski le cofondateur, il faut le redire, de la Fondation des femmes avec Anne-Cécile Mailfert (qu'Ernotte qualifie de "bénévole" et dont soi-disant "elle n'avait pas connaissance avant mars 2016") écrit beaucoup mais surtout - et c’est là le plus cocasse - se prend visiblement beaucoup les pieds dans le tapis.
Dans une récente enquête "Pouvoir et médias: je te tiens tu me tiens." menée par André Bercoff après le parachutage de l'ex Orange à FTV en avril 2015 et qui fait, en quelques ligne, référence à l'affaire précitée, Maxime Ruszniewski a envoyé une nouvelle missive explicative.
Il n'a probablement pas été déçu de la manœuvre en lisant la réponse en 3 points qu'il vient de recevoir comme un boomerang.
Le blog CGC Média qui dans son article du 9 mai "Les trous de mémoire de l'ex Orange devraient bientôt s'arranger" donnait tout un tas d'éléments complémentaires dans ce dossier, vous propose de prendre connaissance in extenso de la lettre et de la réponse du tac au tac:
La lettre de Maxime Ruszniewski:
Décidément, Maxime Ruszniewski le cofondateur, il faut le redire, de la Fondation des femmes avec Anne-Cécile Mailfert (qu'Ernotte qualifie de "bénévole" et dont soi-disant "elle n'avait pas connaissance avant mars 2016") écrit beaucoup mais surtout - et c’est là le plus cocasse - se prend visiblement beaucoup les pieds dans le tapis.
Dans une récente enquête "Pouvoir et médias: je te tiens tu me tiens." menée par André Bercoff après le parachutage de l'ex Orange à FTV en avril 2015 et qui fait, en quelques ligne, référence à l'affaire précitée, Maxime Ruszniewski a envoyé une nouvelle missive explicative.
Il n'a probablement pas été déçu de la manœuvre en lisant la réponse en 3 points qu'il vient de recevoir comme un boomerang.
Le blog CGC Média qui dans son article du 9 mai "Les trous de mémoire de l'ex Orange devraient bientôt s'arranger" donnait tout un tas d'éléments complémentaires dans ce dossier, vous propose de prendre connaissance in extenso de la lettre et de la réponse du tac au tac:
La lettre de Maxime Ruszniewski:
Le producteur a réagi à notre enquête intitulée "Pouvoir et médias: je te tiens tu me tiens."
- Je n'ai pas suscité la création de la Fondation Égalité-Mixité qui existe toujours et à laquelle la Fondation des femmes n'a pas succédé (les deux structures n'ont aucun lien).
- Les clips contre le sexisme cités ont été commandés bien avant le lancement de la Fondation et n'ont strictement aucun rapport avec elle.
- Je n'ai pas reçu à titre personnel 50.000 € : la somme versée par le groupe [France Télé, ndlr] suit une commande de leur part correspondant au coût total de production de 3 clips.
La mise au point côté Bercoff:
1) C'est Nadjat Vallaud-Belkacem et son ministère qui ont soutenu la création de la Fondation Égalité- Mixité et sa campagne de communication virale le 2 juillet 2014. Or, Maxime Ruszniewski était conseiller partenariats du cabinet de Nadjat Vallaud-Belkacem d'avril à août 2014.
Quant aux liens entre les deux structures, elles sont toutes deux hébergées chez la FACE (Fondation Agir Contre l'Exclusion) et ont choisi le même mode d'action par le biais de campagnes de communication virales.
Enfin, Maxime Ruszniewski était annoncé comme le cofondateur de l'agence qui a réalisé le clip de la Fondation Égalité-Mixité, tout comme il est le fondateur de la société Pardi qui a réalisé les trois nouveaux clips de la nouvelle fondation.
2) La fondation été créé en septembre 2015. Difficile de croire que les clips ont été commandés avant cette date...
3) C'est en effet la société Pardi qui a été réglée, mais celle-ci étant une Sasu, c'est-à-dire une société par actions simplifiées… unipersonnelle, il en est à la fois le président et le seul et unique actionnaire."
- Je n'ai pas suscité la création de la Fondation Égalité-Mixité qui existe toujours et à laquelle la Fondation des femmes n'a pas succédé (les deux structures n'ont aucun lien).
- Les clips contre le sexisme cités ont été commandés bien avant le lancement de la Fondation et n'ont strictement aucun rapport avec elle.
- Je n'ai pas reçu à titre personnel 50.000 € : la somme versée par le groupe [France Télé, ndlr] suit une commande de leur part correspondant au coût total de production de 3 clips.
La mise au point côté Bercoff:
1) C'est Nadjat Vallaud-Belkacem et son ministère qui ont soutenu la création de la Fondation Égalité- Mixité et sa campagne de communication virale le 2 juillet 2014. Or, Maxime Ruszniewski était conseiller partenariats du cabinet de Nadjat Vallaud-Belkacem d'avril à août 2014.
Quant aux liens entre les deux structures, elles sont toutes deux hébergées chez la FACE (Fondation Agir Contre l'Exclusion) et ont choisi le même mode d'action par le biais de campagnes de communication virales.
Enfin, Maxime Ruszniewski était annoncé comme le cofondateur de l'agence qui a réalisé le clip de la Fondation Égalité-Mixité, tout comme il est le fondateur de la société Pardi qui a réalisé les trois nouveaux clips de la nouvelle fondation.
2) La fondation été créé en septembre 2015. Difficile de croire que les clips ont été commandés avant cette date...
3) C'est en effet la société Pardi qui a été réglée, mais celle-ci étant une Sasu, c'est-à-dire une société par actions simplifiées… unipersonnelle, il en est à la fois le président et le seul et unique actionnaire."
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