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mercredi 15 avril 2020

Le(a) prochain(e) président(e) de France Télés devra revenir sur la folie de l’open-space imposé partout par Ernotte.

Le(a) prochain(e) président(e) de France Télés devra revenir sur la folie de l’open-space imposé partout par Ernotte. 

L’inquiétude des salariés de France Télés va grandissante. Les conditions dans lesquels la plupart vont devoir reprendre leur activité, est plus que problématique et ce alors même que  « La commission de Sécurité avait en fin d’année constaté la non-conformité de travaux engagés à France Télés » et refusé l’habilitation comme l’avait écrit à plusieurs reprises le blog CGC Média.

Alors que les chiffres s’agissant d’une immunité collective qui permettrait un déconfinement en douceur sont loin d’être rassurants - "Il faudrait en effet au moins 60, 65% de la population contaminée pour estimer le pourcentage de la population française immunisée, alors que certains chercheurs avancent le chiffre de 3 à 5% quand d’autres plus optimistes tablent sur un pourcentage entre 10 à 15%" – la folie de l’open-space qu’a imposé Ernotte à France Télés fait de plus en plus peur.

Dernier secteur concerné, celui de la com’ précipité par Virginie Sainte-Rose l’ex dircab de Schrameck chargée de la com’ d’Ernotte dans ces délires de « lieux partagés » à tout-va !

Combien de collaborateurs dans ces espaces dit ouvert mais de promiscuité évidente seront touchés dans de telles conditions où l’écrit la RTFBF dans une très récente étude concernant justement ces open-spaces « le risque d'infection est multiplié par deux ».

Le blog CGC Média vous propose d’en prendre connaissance.

Extraits :

« Le Coronavirus est-il soluble dans l'Open space ? »

"Travailleurs, travailleuses, le Coronavirus est-il (viralement) compatible avec l'Open-space ? La star incontestée des bureaux nouvelle génération, cet ami qui vous veut du bien, symbole du néo management transparent et décomplexé, fournit-il un terrain propice à la propagation du COVID-19 ? Certains le pensent, ou plutôt le craignent. Raison pour laquelle télétravail et confinement (relatif) sont depuis quelques jours vivement conseillés par beaucoup d'employeurs de notre pays alors que l'épidémie venue de Chine frappe à notre porte après s'être invitée en Italie, en France, aux Pays-Bas et en Allemagne

Ces dernières années, de nombreuses études ont démontré que l'open-space, avec ou sans "desk sharing" (partage de bureau) et autre "flex office" (bureau flexible) a radicalement changé la manière de travailler des personnes. Si les avantages sont nombreux, les inconvénients également.


En effet, dans un open-space, le cerveau serait en effet interrompu au mieux toutes les 10 minutes et nécessiterait environ 23 secondes pour se reconcentrer. Ethan Bernstein, professeur à la prestigieuse Harvard Business School, a d'ailleurs analysé en profondeur le fonctionnement réel de l' Open-space, ainsi que ses conséquences.

Et le Coronavirus dans tout ça? Justement, en période hivernale, période propice aux rhumes, bronchites, pharyngites, angines et autres infections respiratoires, l'absence de cloisons n'est pas de nature à ralentir la contagion des bactéries et virus.

Entre toux retentissantes, éternuements sonores et mouchoirs en papier nonchalamment abandonnés par votre prédécesseur au desk, l'open-space perd un peu de son charme en temps de grippe saisonnière. Que celui qui ne s'est jamais senti dépourvu quand la bise (du collègue souffrant) fut venue, lève la main. C'est d'ailleurs en période hivernale que les stratégies machiavéliques d'évitement battent leur plein. 

L'open-space truffé de microbes et de personnes malades qui tombent comme des mouches n'a jamais été considéré comme fondamentalement rédhibitoire, et ce malgré une étude danoise de 2011 ayant prouvé que travailler dans un espace ouvert double les risques d'infections et d'absence pour maladie. 

Climatisation, partage de matériel (du clavier d'ordinateur au combiné de téléphone en passant par le bic mâchouillé, si, si), poignées de porte, etc. sont propices à la survie et à la propagation des micro-organismes. Des études en milieu hospitalier ont d'ailleurs prouvé que les virus de la grippe peuvent demeurer actifs de trois heures à deux jours sur ces surfaces dures et non poreuses.

Pourtant même si certains collègues commencent à débarquer avec leur masque N95, FFP2 ou FFP3, pas de quoi paniquer, l'openspacer régulier serait mieux immunisé que le commun des mortels. Si cela est vrai pour la grippe saisonnière, cela l'est sans doute également pour le COVID-19. Pourquoi certains employeurs préconisent-ils de ne pas aller travailler alors? Simplement car le COVID-19 est plus contagieux qu'une grippe normale et qu'aucun vaccin n'existe pour le moment, ce qui le rend potentiellement plus impactant en terme de force de travail… »

Celui ou celle qui prendra la présidence en août 2020 au départ programmé d’Ernotte dont la constante aura été de casser l’entreprise et décrédibiliser la télé publique, devra bien avoir cet écueil en tête et revenir sur cette folie de l’open space qui pourrait avoir des conséquences dramatiques..."

Le blog CGC média vous épargne, ici, la fin qui parle de cercueil et de clous !

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