L’épuisante langue de bois d’Aurore Bergé qui, chez Apolline de Malherbe, n’avait rien à dire !

L’épuisante langue de bois d’Aurore Bergé qui, chez Apolline de Malherbe, n’avait rien à dire !

Le 5 octobre dernier, le blog CGC Média qui dénonçait « La nomination au Conseil d’Administration de France Télés de la pote d’Ernotte, Aurore Bergé chantre de l'ultracrépidarianisme et probablement à ce titre, présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale » vient de lire avec le plus grand intérêt, l’article de Catherine Boullay pour L’Opinion (¤) qui va totalement dans ce sens.

(¤) 

Celle qui se voyait surement ministre (de la Culture au premier chef) à chaque remaniement, écumant les plateaux télés et donnant interview sur interview pour qu'Ernotte soit reconduite (*), était ce matin (14/10/22) l’invitée d’Apolline de Malherbe sur BFM TV / RMC qui l’a une nouvelle fois placé devant ses innombrables contradictions.

Elle n’avait rien à dire comme de coutume mais il fallait qu’elle explique qu’elle avait la situation bien en main, à savoir le cas échéant l’amendement Modem voté hier avant le très probable passage du projet de loi de finances 2023 par le 49-3.

Véritable et nouveau camouflet pour le gouvernement avec l'adoption d'un amendement déposé par le MoDem contre l'avis du gouvernement visant à dissuader les grandes entreprises de distribuer des résultats exceptionnels sous forme de "super-dividendes", adopté par 227 voix POUR dont une vingtaine de députés Renaissance parmi lesquels le suppléant de la Première ministre Élisabeth Borne, Freddy Sertin et 88 CONTRE, elle trouvait le moyen d’expliquer  que c’était le signe d’une démocratie forte…SANS RIRE ?!

Chacun peut imaginer les circonvolutions de l’ex-REM lorsqu’il s’agira de l’Audiovisuel public…Pauvre France !

(*)