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vendredi 13 octobre 2023

L’invraisemblable acharnement du Canard enchaîné à vouloir virer l’intègre et courageux Christophe Nobili…

L’invraisemblable acharnement du Canard enchaîné à vouloir virer l’intègre et courageux Christophe Nobili…

« Pour la troisième fois en moins de six mois, la direction du « journal satirique » s’acharne à tenter de virer le journaliste Christophe Nobili, délégué syndical, secrétaire du CSE et lanceur d’alerte… en quémandant désormais la permission de le mettre à la porte auprès du ministère du Travail et du Plein Emploi - et donc en dernier ressort auprès du ministre lui-même Olivier Dussopt» précise le communiqué publié le 9 octobre dernier (*) qui poursuit « Faire ainsi appel à un ministre pour trancher un conflit interne au journal peut surprendre venant d’un journal précisément satirique, dont la vocation, depuis un siècle, est de se gausser des travers et faux pas des gouvernants. En temps normal, ce genre d’exercice acrobatique, à rebours des valeurs et de l’indépendance proclamées, vaudrait un entrefilet saignant dans les colonnes du Canard… Apparemment, le ridicule ne tue pas. »

« Dans un "message aux salariés" envoyé par mail ce 7 octobre, le comité d’administration de six membres explique n’avoir eu d’autre choix que de voter "à l’unanimité" ce "recours hiérarchique" formé auprès du ministre » ajoute le texte qui ironise à juste titre «  Il reproche longuement [le recours] à l’inspection du Travail qui a refusé le licenciement par deux fois, de « n’avoir jamais tenté – contrairement à la direction du Canard – d’avoir une appréciation objective de la situation ».

Ben voyons !

Aller expliquer au ministre que se services n’auraient « jamais tenté d’avoir une appréciation objective de la situation, contrairement à la direction du Canard » et lui demander de les désavouer car lui l’aurait cette appréciation qui semble-t-il, selon le palmipède, tant  manqué aux collaborateurs du ministre et de son ministère, est totalement surréaliste et pourrait presque être considéré comme particulièrement dénigrant voire diffamatoire.

« Tu parles d’objectivité ! » écrit encore le texte qui développe «  Visiblement, la direction - dont les "attestations partiales" sont mises en cause dans le dossier - n’a pas digéré la cinglante décision de l’inspectrice du travail du 2 août, qui sur quelque dix pages d’un raisonnement juridique serré lui donne tort sur tous les points : prescription des faits, caractère non-exécutoire mais aussi liberticide de la "charte de déontologie" du Canard, contresens sur l’article cité de la Convention collective des journalistes, traitements discriminants infligés en interne au journaliste en lien avec ses mandats syndicaux… »

(*)


Seulement cette fois-ci dans ce dossier, les commanditaires (quel autre vocables utiliser ?) pensant y arriver enfin ont exhibé le plus illégalement qui soit lors d’un nouvel entretien préalable pour une imaginaire faute grave qui justifierait la mise à pied dont Ronan Ponnet fait déjà l’objet, en exhibant les quelques lignes d’une correspondance privée issue de son Gmail perso qui va faire l’objet de la plainte  qui va, selon nos informations, être déposée par monsieur Ponnet via son avocate et la CGC son syndicat pour le délit  car c’est un délit de « violation commise par un particulier du secret des correspondances, protégé par l’article 226-15 du Code pénal et par l’article 432-9 pour celle commise par un fonctionnaire ».


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