Luchon 2017 pas pour l'ex Orange...Tahiti c'est plus "hype" mais beaucoup plus cher.

Il faut faire des économies claironne partout celle que "Schrameck and co" parachutait à France Télé à l'été 2015 sans connaissance du secteur.

Charité bien ordonnée commençant par soi-même, l'ex Orange est donc partie début février avec son dircab Stéphane Sitbon-Gomez, sa dircom Nilou Soyeux la nouvelle amie d'Emmanuel Macron (* voir en bas de post) et tout son petit monde,  loin des frimas hivernaux passer quelques jours à Tahiti faire un petit tour au Festival du film océanien le FIFO.

Le compte Facebook "Calédonie 1ère" relate d’ailleurs l'évènement en quelques mots "Delphine Ernotte en visite officielle [sans rire....un peu comme un ministre ou un chef d’État, ndlr] avant son passage au FIFO en Polynésie".

Ce sur quoi un premier commentaire ironisait "Et donc?"
 

Le site média ADAP qui avait écrit un log article, s’étranglant sur cette transhumance hivernale "Tout ce monde en frais de mission pour les uns, en frais de représentation pour les autres, dans les hôtels huppés de Tahiti et le billet d’avion en cette saison et en Business (bien sûr) [aller-retour pour une personne sur Air France au mois de février : 8000 euros] multiplié par le nombre de moutons et on râle...C’est vrai quoi !! Pourquoi faire des économies comme les gueux de France Télévisions ? ", n'a pas encore chiffré la petite gaudriole sauf en ce qui concerne le prix des billets d'avion mais il ne fait aucun doute que la note va être salée. 

En même temps se déroulait en métropole au froid, le 19e Festival de la création télévisuelle où se pressait tout ce que cette dernière compte de représentants et de défenseurs.

Seulement là, c'était au cœur des Pyrénées  à Luchon...Beaucoup plus frisquet mais probablement nettement moins "hype"!  

Personne n'aura de mal à comprendre qu'une immense majorité de salariés de France Télé en ait plus que marre d'entendre sur tous les toits que le groupe est au plus mal  contrairement à l'incessante et insupportable propagande de l'ex Orange - "impasse financière" disait la Cour de comptes - et de constater qu'alors même que certains, en interne, ont discrètement commencé à lister les centaines de postes à supprimer pour faire des économies, cette dernière dépense sans compter les deniers publics.
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