Le minable coup monté au CDE de France Télés est du même tonneau que celui tendu aux 3 journalistes sportifs licenciés en 2020…Montrer sa suprématie sur la gent masculine et l’homme blanc de plus de 50 ans.
En 2020, après avoir déclaré
5 ans plus tôt « le trop plein d’hommes blancs de + de 50 ans » au
micro de celui à qui elle allait donné son nom au siège de France Télés, Ernotte
redisait à ROM and co lors de la
mascarade qui a conduit à son reparachutage, combien elle allait « sévir
contre toute forme de discrimination et/ou de harcèlement » à France Télés.
Dès lors, il fallait trouver
de toute urgence des boucs émissaires
Trois devenait alors le nombre
premier voire la plus petite quantité disponible pour raconter une histoire. C’est
le moment que choisissait une ancienne présentatrice au service des Sports pour
raconter une histoire notamment dans les colonnes de L’Équipe où l“entre-soi
masculin” et l’“humour graveleux permanent” auraient été érigés supposément
en système.
Elle allait trouver avec l’ex-Orange
une caisse de résonnance idéale.
« Je prends le parti de croire les femmes. Je ne crois pas que ce soit si partagé que cela dans la société… J’ai conscience aussi que certains hommes ne réalisent pas l’impact qu’ils peuvent avoir sur les femmes de leur entourage, mais ce n’est pas acceptable pour autant. » avait d’ailleurs déclaré la misandre exfiltrée des télécoms en 2015.
C’est avec de tels propos qui
sont tout sauf le reflet d’une société a fortiori publique mais aussi et
surtout l’obligation constitutionnelle de ne pas discriminer un sexe par rapport
à l’autre, qu’elle allait virer manu
militari les trois professionnels qui n’ont pas eu voie eu chapitre et encore
moins accès à leur soi-disant dossier disciplinaire qui s’est dégonflé comme
une baudruche et s’est révélé vide
Aujourd’hui
l’un des trois que la Justice a reconnu victime d’un licenciement sans cause
réelle et sérieuse puis copieusement indemnisé à hauteur du préjudice subi.
Una autre
a également gagné dans le cadre d’une procédure similaire, lui aussi largement
indemnisé mais a fait appel de cette décision qu’il a assorti d’une procédure
au Pénal contre France Télés donc Ernotte ès qualité.
Le troisième
fort de la jurisprudence issue des procédures de ses collègues, a fait appel et
attend à présent l’audience
Ernotte qui a été condamné
pour refus de transmettre les soi-disant témoignages et qui a préféré faire payer
les contribuables, pensant probablement ne pas avoir à la faire – hallucinant !
– risque ainsi une condamnation au Pénal
avec inscription au casier judiciaire.
Celle qui se croit intouchable, au-dessus de tout et clame du haut de ses 59 ans devant 200 des top managers de FranceTélévisions comme à l’ensemble des médias "Je suis là FOR EVER", a n'en a donc pas fini avec la Justice.
Le palmipède révélait d'ailleurs en novembre 2021 l'affaire "France Télés vient de se désister discrètement du procès prévu le 9 décembre contre Jean-François Laville, ex-patron des sports viré à la va vite en 2020 après les accusations anonymes de harcèlement. En avril, les Prud’hommes avait condamné France Télés à communiquer la totalité de ces témoignages, ce cas d’abord refusé le groupe public, avant de n’en donner que la moitié (55 sur 107) dont seulement 4 concernaient Laville.
Pour ne pas avoir livré le reste France Télés, avait fait appel du jugement… mais vient donc d’abandonner. Le groupe n’a pas communiqué pour autant les 52 témoignages manquants.
Il préfère s’exposer au paiement de pénalité de retard qui pourrait atteindre 18.000€…"
Ses déclarations hautaines, méprisantes et de facto aujourd’hui mensongères, à l’encontre des ceux dont elle, à l’évidence, flingué la réputation comme la carrière « La décision n’a pas été facile à prendre parce que je vois bien qu’il y a de l’incompréhension. Si certains avaient reconnu leur erreur, on aurait pu trouver un terrain d’entente. Ce ne sont jamais de belles histoires, c’est triste. » n'y changeront rien !
Il en va de même
avec ce coup monté au CDE qu’une cheffe de service et dont elle a dû gober les
salades lui a servies celle qui vient d’essuyer
une motion de de défiance, histoire de trouver un exemple pour dissuader tout
un chacun d’oser parler.
La CNIL déjà saisie sur ce consternant abus de pourvoir et les juridictions compétentes qui le seront dans la foulée, montreront très vite à quel point la terreur qui règne à France Télévisions depuis une décennie, a assez duré.
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