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dimanche 30 mars 2025

Le minable coup monté au CDE de France Télés est du même tonneau que celui tendu aux 3 journalistes sportifs licenciés en 2020…Montrer sa suprématie sur la gent masculine et l’homme blanc de plus de 50 ans.

Le minable coup monté au CDE de France Télés est du même tonneau que celui tendu aux 3 journalistes sportifs licenciés en 2020…Montrer sa suprématie sur la gent masculine et l’homme blanc de plus de 50 ans.

En 2020, après avoir déclaré 5 ans plus tôt « le trop plein d’hommes blancs de + de 50 ans » au micro de celui à qui elle allait donné son nom au siège de France Télés, Ernotte  redisait à ROM and co lors de la mascarade qui a conduit à son reparachutage, combien elle allait « sévir contre toute forme de discrimination et/ou de harcèlement » à France Télés.

Dès lors, il fallait trouver de toute urgence des boucs émissaires

Trois devenait alors le nombre premier voire la plus petite quantité disponible pour raconter une histoire. C’est le moment que choisissait une ancienne présentatrice au service des Sports pour raconter une histoire notamment dans les colonnes de L’Équipel“entre-soi masculin” et l’“humour  graveleux permanent” auraient été érigés supposément en système.

Elle allait trouver avec l’ex-Orange une caisse de résonnance idéale.

« Je prends le parti de croire les femmes. Je ne crois  pas que ce soit si partagé que cela dans la société… J’ai conscience aussi que certains hommes ne  réalisent pas l’impact qu’ils peuvent avoir sur les  femmes de leur entourage, mais ce n’est pas  acceptable pour autant. » avait d’ailleurs déclaré la misandre exfiltrée des télécoms en 2015.

C’est avec de tels propos qui sont tout sauf le reflet d’une société a fortiori publique mais aussi et surtout l’obligation constitutionnelle de ne pas discriminer un sexe par rapport à l’autre, qu’elle allait  virer manu militari les trois professionnels qui n’ont pas eu voie eu chapitre et encore moins accès à leur soi-disant dossier disciplinaire qui s’est dégonflé comme une baudruche et s’est révélé vide

Aujourd’hui l’un des trois que la Justice a reconnu victime d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse puis copieusement indemnisé à hauteur du préjudice subi.

Una autre a également gagné dans le cadre d’une procédure similaire, lui aussi largement indemnisé mais a fait appel de cette décision qu’il a assorti d’une procédure au Pénal contre France Télés donc Ernotte ès qualité.

Le troisième fort de la jurisprudence issue des procédures de ses collègues, a fait appel et attend à présent l’audience


Ernotte qui a été condamné pour refus de transmettre les soi-disant témoignages et qui a préféré faire payer les contribuables, pensant probablement ne pas avoir à la faire – hallucinant ! – risque ainsi  une condamnation au Pénal avec inscription au casier judiciaire.

Celle qui se croit intouchable, au-dessus de tout et clame du haut de ses 59 ans  devant 200 des top managers de FranceTélévisions comme à l’ensemble des médias "Je suis là FOR EVER", a n'en a donc pas fini avec la Justice.

Le palmipède révélait d'ailleurs en novembre 2021 l'affaire "France Télés vient de se désister discrètement du procès prévu le 9 décembre contre Jean-François Laville, ex-patron des sports viré à la va vite en 2020 après les accusations anonymes de harcèlement. En avril, les Prud’hommes avait condamné France Télés à communiquer la totalité de ces témoignages, ce cas d’abord refusé le groupe public, avant de n’en donner que la moitié (55 sur 107) dont seulement 4 concernaient Laville.

Pour ne pas avoir livré le reste France Télés, avait fait appel du jugement… mais vient donc d’abandonner. Le groupe n’a pas communiqué pour autant les 52 témoignages manquants.

Il préfère s’exposer au paiement de pénalité de retard qui pourrait atteindre 18.000€…"


Ses déclarations hautaines, méprisantes et de facto aujourd’hui mensongères, à l’encontre des ceux dont elle, à l’évidence, flingué la réputation comme la carrière « La décision n’a pas été facile à prendre parce que je vois bien qu’il y a de  l’incompréhension. Si certains avaient reconnu leur  erreur, on aurait pu trouver un terrain d’entente. Ce ne sont jamais de belles histoires, c’est triste. » n'y changeront rien !

Il en va de même avec ce coup monté au CDE qu’une cheffe de service et dont elle a dû gober les salades lui a servies  celle qui vient d’essuyer une motion de de défiance, histoire de trouver un exemple pour dissuader tout un chacun d’oser parler.

La CNIL déjà saisie sur ce consternant abus de pourvoir et les juridictions compétentes qui le seront dans la foulée, montreront très vite à quel point la terreur qui règne à France Télévisions depuis une décennie, a assez duré. 

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