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samedi 12 octobre 2019

Malgré la non-conformité de la commission de Sécurité, les travaux engagés à France Télés continuent !

Vendredi dernier (4/10) le blog CGC Média dans son article intitulé « La commission de Sécurité constate la non-conformité de travaux engagés à France Télés » indiquait que cette dernière avait suspendu leur poursuite. 

Le 4 juillet dernier, la direction de France Télés qui avait a annoncé la fin de France 3 Paris Ile-de-France – pas sa suppression de l’antenne évidemment allant à l’encontre des obligations légales et des exigences politiques – se traduisant par la fermeture de l’établissement France 3 Paris IDF de Vanves et par voie de conséquences le début des travaux au sein du Siège de FTV afin d’y accueillir une large partie de la Rédaction nationaleAujourd’hui, sur les 168 salariés qui fabriquent en totale autonomie des centaines d’heures d’information et de programmes, avec l’intégration au Siège de France 3 Paris IDF, 1 salarié sur 2 environ va disparaitre !

Quant aux moyens dont disposait jusqu’à-là France 3 Paris IDF France 3 Paris IDF (grande régie, 2 studios, 1 DSNG, régie Fly, 14 salles de montage) permettant  de fabriquer elle-même ses programmes, ils devraient pâtir également fortement des choix de l’ex -Orange comme d’une poignée de ses lieutenants ! Le risque est grand d’aller voir à l’extérieur lorsque l’antenne qui n’aura plus ni régie, ni studio, ne pourra plus être assurée en cas de saturation des moyens de fabrication du Siège !

Tout se faisant dans la précipitation comme d’habitude, la commission de sécurité qui s’est pointée dernièrement soulevant de très nombreuses questions sur ces travaux notamment sur ceux qui touchent à la structure, a décidé de les suspendre, le temps d’avoir en main tous les éléments restés sans réponse.
Pas du goût de France Télés tout ça qui n’a visiblement pas l’intention de se soumettre se réfugiant derrière le fait qu’il n’y aurait pas eu d’arrêté de péril. 

Les travaux ont donc continué comme si de rien n’était…certains selon l’entreprise dont la responsabilité pénale comme civile de celles et ceux qui ont fait ce choix, sont de ce fait pleinement engagées.   
A France Télévisions, avant, pendant et après la décision de la commission que les travaux continuent.

vendredi 11 octobre 2019

COMMUNIQUÉ DE PRESSE LA CFE-CGC CANAL+ après l’arrivée confirmée d’Éric Zemmour à l’antenne de Cnews.


COMMUNIQUÉ DE PRESSE LA CFE-CGC CANAL+ après l’arrivée confirmée d’Éric Zemmour à l’antenne de Cnews.

Pas rancunière la chaîne Cnews qui sur décision de la Cour d'appel de Versailles en 2014 avait dû verser 58.000€ de dommages à Éric Zemmour pour avoir mis fin avant terme à son émission "Ca se dispute" ! Elle vient de donc de confirmer l’arrivée du polémiste sur une de ses émissions quotidiennes.

La Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah) vient pourtant de s’opposer à l’arrivée de ce dernier sur CNews. « La Lettre de l’Audiovisuel » qui a interrogé Frédéric Potier qui dirige ce service dépendant de Matignon, cite les termes du courrier que ce dernier a adressé au CSA: “Le discours de haine identitaire [d’Eric Zemmour] s’apprête à s’installer quotidiennement à une heure de grande écoute et à devenir, de fait, la ligne éditoriale d’une chaîne grand public qui lui offrira une caisse de résonance inespérée”.

La Dilcrah n’est pas la seule à s’inquiéter des possibles répercussions. Dans son communiqué la CGC de Canal + fait part également des risques que fait courir une telle arrivée tant sur les personnels que sur l’image de la chaîne (* ci-dessous)

(*)
COMMUNIQUÉ DE PRESSE LA CFE-CGC CANAL+


Nous avons été informés par voie de presse de l’arrivée d’Éric Zemmour sur l’antenne de CNews dès lundi prochain 14 octobre, pour une émission quotidienne dont il serait l’un des chroniqueurs.  


Compte tenu du risque d’impact de cette arrivée sur l’image de la chaine CNews et plus largement sur le Groupe CANAL+, la sécurité du personnel qui pourrait pâtir d’une telle décision, ainsi que sur les conséquences financières d’un boycott probable de nombreux annonceurs, les élus CFE-CGC s’associent à la demande de réunion exceptionnelle du CSE consacrée à cette arrivée. 


De plus, la CFE-CGC Canal+ tient à préciser qu’elle ne cautionne pas ce choix de la Direction du Groupe CANAL+. Après sa condamnation, mi-septembre, par la cour de cassation pour provocation à la haine religieuse et son violent discours anti-immigration prononcé lors de la « Convention de la droite » et pour lequel le parquet de Paris a ouvert une enquête, nous ne pouvons que nous opposer à un tel choix qui ouvre quotidiennement à Eric Zemmour un espace d’expression et de propagation d’idées contraires à nos convictions et à l’idée que nous nous faisons de la ligne éditoriale de CNews. 


Nous regrettons aussi le manque de cohérence de cette arrivée avec le chantier que la Direction de CANAL+ a mis en place pour lutter contre les discriminations et nous mettons cette dernière en garde contre les risques encourus, sur le terrain et dans les locaux d’Arcs de Seine, par nos collègues journalistes de CNews. 


La CFE-CGC restera vigilante et engagée pour les salariés face aux désordres occasionnés par ce choix de la Direction : parce que notre priorité, c’est vous.

jeudi 10 octobre 2019

François Hommeril réélu président de la CFE-CGC: une formidable nouvelle.


François Hommeril réélu président de la CFE-CGC: une formidable nouvelle. 
La CGC Média qui soutient François Hommeril depuis sa première candidature à la présidence de la CFE-CGC, se réjouit évidemment de la réélection d’un président dont le franc parler, la visions et la pugnacité sont de formidables atouts pour toute l’organisation syndicale.
Il a été réélu à l’issue du congrès de Deauville (ces 9 et 10 octobre), à la tête de la CFE-CGC pour un nouveau mandat de trois ans avec le score de 91,79% sur 475 voix exprimées. Il améliore ainsi les 90,83% recueillis voilà 3 ans.

François Hommeril ingénieur chimiste, ex de Péchiney, géologue de formation, repart pour trois ans à la tête de la CFE-CGC aux côtés de Gérard Mardiné et Jean-Philippe Tanghe respectivement élus au poste de Secrétaire général et Trésorier.
«En plus de deux décennies, la gestion par les coûts a masqué le déficit de vision stratégique des directions jusqu’à, par endroit, la remplacer complètement», a-t-il lancé juste avant son élection et d’ajouter «Pareillement, les décideurs politiques dans le secteur public, aveuglés par leur volonté de singer le pire du privé, en ont fait la seule vigie des politiques publiques dont on mesure aujourd’hui les conséquences catastrophiques».
La Presse comme les militants retiendront son appel à « être présent et forts» afin d’« amplifier l’effort commun visant à développer la CFE-CGC, seul moyen de faire avancer sa vision exigeante de l’avenir»
François Hommeril va donc faire entendre plus que jamais sa voix -celle de la CFE-CGC  - et faire passer haut et fort le message à chaque fois que cela sera nécessaire, notamment sur la réforme de l’assurance chômage puis ensuite celle des retraites qu’il juge en l’état «inutile» et «dangereuse».

mercredi 9 octobre 2019

Ca commence à se savoir....le néo-Soir 3 "version franceinfo:" est une catastrophe !

Ça commence à se savoir....le néo-Soir 3 "version franceinfo:" est une catastrophe !

Le point est à l'ordre du jour du CSE Siège de France Télévisons  ce mercredi 9 octobre, sur le mode habituel intox and co. 

L'ex Orange qui prétend que l'audience serait  passée de 0,2% à 0,5% - de la pipe comme dirait Emmanuel Macron  - raconte comme dab que tout va bien. Ce n'est pas ce que constatent lés équipes en place, Patricia Loison en tête dont il se dit qu'elle est déjà poussée vers la sortie par ceux qui lui ont fait gober qu'elle serait le reine de la tranche alors qu'elle serait en réalité la reine des pommes !

Les responsables  du canal 27 de France Télés "franceinfo;"  (Stéphane Dubun, Jean Chrétien, François Brabant et Alexandre Kara le patron)  que quasiment personne ne regarde, indiquent haut et fort à qui veut l'entendre "nous n'avons pas les moyens"!

Dire que l'ex-Orange qui fanfaronne partout qu'elle est soi-disant première devant BFM alotrs que les audiences sont effectivement proches de zéro....loin des audiences des JT de France Télés à commencer par le Soir 3 lorsque l'audience était nationalement au top.






mardi 8 octobre 2019

"Ce qui se passe à Télématin est une honte"

Bruno Roger-Petit tweette "Ce qui se passe à Télématin dont j'ai présenté les journaux, est une honte pour France 2...Une honte".





Il a évidemment raison...les pratiques qui consistent à virer par wagons les collaborateurs historiques de l'émission matinale de France 2 (une majorité de femmes) est effectivement une honte.



Il avait bien raison le Chef de l’État, c'est bien la honte de la République la façon dont à France Télévisions on méprise les personnels comme les téléspectateurs d'ailleurs.

lundi 7 octobre 2019

La mission officieuse de l’ex-Orange à Altédia : 3000 salariés devront avoir quitté France Télévisions dans les trois, quatre ans.


La mission officieuse de l’ex-Orange à Altédia : 3000 salariés devront avoir quitté France Télévisions dans les trois, quatre ans. 

Chut, il ne faut surtout pas que cela se sache ! Dans un document interne à France Télés que le blog CGC Média a pu consulter, la société Altédia retenue par l’ex-Orange pour accompagner les salariés licenciés vers la sortie, le fut dans des conditions que l’ex-URSS nous envierait aujourd’hui !

Le 30 septembre dernier, le blog CGC Média publiait un article intitulé  « Revoilà Altedia qui pour France Télés vous accompagne vers la sortie et vous dit comment prendre la porte ! »  faisant suite à la nouvelle et énième propagande de France Télévisions qui invitait les salariés à se renseigner auprès du prestataire extérieur LHH-Altedia sur le dispositif collectif de licenciements de masse obtenus grâce à la signature du trio de syndicats CGT-FO-CFDT dans le cadre du processus bidon de RCC.

« Notre mission est d’accompagner les entreprises, de toute taille, dans la préparation et la conduite de leurs projets de plans de sauvegarde de l’emploi (PSE), accords de GPEC avec mobilité et ruptures conventionnelles collectives (RCC) » écrit dans sa présentation de promo sur le Net, la société LHH-Altedia dont Ernotte vante les mérites.

Faut-il rappeler que ce n’est pas la première fois qu’intervient Altédia pour France Télévisions,  l’ex-boite fondée et dirigée par Raymond Soubie (*) ex-conseiller social de Nicolas Sarkozy (650 collaborateurs aujourd’hui) puis dirigée de 2010 à fin 2016 par Pierre Berretti (le mari de Murielle Charles ex-DRH évincée de France Télés) avant d’être confié depuis à François Moreau son actuel président, Altédia qui pourrait ne pas y rester très longtemps puisque admis « Par arrêté du Premier ministre en date du 10 juillet 2018, à suivre la 71e session nationale de l’IHDF « politique de défense » de l'Institut des hautes études de défense nationale (cycle 2018-2019) » !

(*)
Pas retenu

L’enthousiasme d’Ernotte pour LHH Altedia et son président François Moreau n’a probablement eu d’égal que celui que ce dernier porte par tweet interposé, à la ministre du travail « Je suis impressionné par la volonté et l'enthousiasme de Muriel Pénicaud pour faire bouger les choses » (ci-après)

Retenu

Revenons au processus qui a permis qu’Altédia se retrouve de nouveau à accompagner (le mot n’a rien à voir avec la brutalité des faits) les salariés vers la sortie1000 soi-disant au départ (avec des tranches d’environ 250)  – 900 communiquait la direction de France Télés – mais  en réalité 2000 officiellement qui monteraient à plus de 3.000 officieusement sur les 3,4,5 ans à venir ! 

- Début 2019, alors qu’Ernotte claironne partout qu’elle parviendra à signer un accord majoritaire (c’est obligatoire) avec certains syndicats-maison (pour ne pas dire amis), France Télés lance un nouvel appel d’offres (là aussi c’est obligatoire) pour dénicher le cabinet qui aura en charge les départs !

- Peut-être un peu prématuré car ni FO, ni la CGT, ni la CFDT n’avaient encore signé avec Ernotte le plan. « Ne vous inquiétez pas » rassurait-elle, ils vont signer et d’ajouter de toute façon si l’accord n’est pas majoritaire nous ferons avec un accord minoritaire ou sinon de l’unilatéral… Ben voyons ! Totalement impossible et illégal en la matière mais passons !

- Premier round : la CGT indique qu’elle ne signera pas en l’état le texte…il y faut des trucs en plus.

- Deuxième round : quelques jours plus tard la CGT indique qu’elle obtenu les trucs dont elle parlait - une communication des étapes du processus (rien, quoi !)  - et va signer ave FO et la CFDT le texte d’Ernotte.
Chouette, au 8ème étage sur les quais de Seine, on fête ça ! 

- Les cabinets qui avaient dans un premier temps candidaté avant la suspension de l’appel d’offres faute de signature à l’époque, allaient donc pouvoir se battre à nouveau pour le marché.

Piétinant le calendrier qui leur était pourtant fixé (délai dépassé de 5 ou 6 jours), France Télés selon nos informations va établir une première shortliste de 3 cabinets ainsi classés selon les critères en vigueur normalement (le prix, la qualité des intervenants, la méthodologie) :

1er) HRCP (HR Consultancy Partners)
2ème) Altédia (LHH-Altedia)
3ème) Alixio (La Société de Raymond Soubie ex-conseiller social de Nicolas Sarkozy)

Au final - le classement ne semblait pas vraiment convenir – le dossier passé par le 8ème étage et un délibéré collégial (c’est la formule !!)  revenait avec une inversion du second et du premier et une note pour Altédia de 92,88/100 sur les 3 critères (¤) digne des scores dans les ex-Républiques soviétiques.

(¤) Sur un total de 100

1- Sur le 1er critère : Le Prix.
- Altédia n’obtenait que 22,88 sur 30 lorsque HRCP - mieux disant donc - était moins cher avec 30/30.

2- Sur le 2ème critère : La composition de l’équipe d’intervenants, autrement la qualité des consultants extérieurs.
- Altédia obtenait 50 sur 50 – du jamais vu ! - lorsque HRCP n’obtenait plus que 40/50.

3- Sur le 3ème critère : La méthodologie.
- Altédia obtenait encore un sans-faute avec 20 sur 20 – rebelote ! – lorsque HRCP n’obtenait plus que 16/20.

Au total, Altédia passait devant avec 92,88/100 contre HRCP derrière avec 86/100 seulement !

De mémoire de consultant, on n’a rarement vu ça pour ne pas dire jamais ! A France Télés certains pensent même que c’est un peu beaucoup ! 

Огромной comme on disait derrière le rideau de fer !

dimanche 6 octobre 2019

L’ex-Orange soutient Bignolas face à l’équipe qui «vit l’enfer» et la demi-douzaine de chroniqueurs déjà virés.


L’ex-Orange soutient Bignolas face à l’équipe qui «vit l’enfer» et la demi-douzaine de chroniqueurs déjà virés. 




« La direction tente d’éteindre l’incendie et soutient Bignolas » indique le titre de presse comme la CGT qu’il représente au Conseil d’Administration la soutient !

« Dans ce dossier classé ultrasensible, le présentateur est au centre de toutes discussions. "Il n'a rien fait pour nous défendre alors qu'il est représentant CGT du personnel. Cherchez l'erreur !" tacle une ancienne collègue, qui a saisi les prud'hommes, comme plusieurs collaborateurs ou ex-collaborateurs réguliers de cette quotidienne. » ajoutent les deux journalistes.

Extrait :

« Chemise noire, veste en cuir noire, bustier noir, robe noire. Fin septembre, la majorité des chroniqueurs de la matinale de France 2 n'ont porté que des tenues noires à l'antenne. Et ce n'est pas un hasard. « C'était un acte symbolique pour marquer la fin d'une époque », déplore une journaliste, très affectée. « Nous avons voulu témoigner notre soutien et notre tristesse envers ceux qui ont été contraints de quitter l'émission », ajoute une autre.

Une manifestation de « deuil » inédite qui a échappé au présentateur Laurent Bignolas, en poste depuis deux saisons. « Il n'a pas compris pourquoi on s'habillait de la sorte et nous a dit que ça ne ferait pas une ligne dans le Canard enchaîné », rapporte un membre de l'équipe.

En tout, onze chroniqueurs historiques, dont Brigitte-Fanny Cohen, Anissa Arfaoui, Sarah Doraghi ou encore Marie Mamgioglou et Jean-Philippe Viaud, ont disparu de l'antenne depuis le 30 septembre, date de la fin de leur collaboration avec le service public. [sans compter tous les autres derrière...ceux qui préparaient l'émission qui subissent le même sort , ndlr] Le résultat de longs mois d'incertitude pour la quarantaine de visages de « Télématin », dont la production a été confiée cette saison à France Télévisions Studios, une filiale du groupe, afin d'en réduire les coûts. Libre à eux d'accepter un CDI, après des années de CDD cumulés, mais avec 20 à 40 % de réduction de salaire, une affectation aléatoire dans l'entreprise et zéro négociation possible. Ou option 2 : prendre la porte.

« En signant ce contrat, on pouvait très bien se retrouver sur la chaîne info ou juste sur le site web, alors qu'on a travaillé pendant plus de vingt ans pour Télématin », précise une des personnes concernées, qui ne sait toujours pas où elle va être affectée. « On a vécu l'enfer, rapporte un autre chroniqueur. Dans ce dossier, il y a vraiment eu de la maltraitance de la part de la direction. On nous a reçus cinq minutes en ne sachant même pas ce qu'on faisait à Télématin. C'est du mépris total. Certains sont sous antidépresseurs. »

France Télévisions soutient Laurent Bignolas

Contacté, Laurent Bignolas n'a pas souhaité nous répondre. « Il faut rappeler qu'il a été très mal reçu à son arrivée par une partie de la rédaction », nuance un de ses proches. « Laurent est en place depuis deux saisons et nous donne entière satisfaction, ajoute Patrick Charles. Le groupe France Télévisions le soutient à plein. » Ce qui n'est pas le cas de toute son équipe.

« On sourit à l'antenne parce qu'on est pro et qu'on aime cette émission, mais le climat est très pesant », confie une chroniqueuse rescapée. « On l'a tous entendu dire que tel ou tel sujet était ringard alors qu'on venait le défendre en plateau ou que c'était une émission pour Ehpad (NDLR : maison de retraite médicalisée) », rapporte une autre.

Pour jouer l'apaisement, la direction s'est également déplacée sur le tournage en fin de semaine. Laurent Bignolas, lui-même, a multiplié les allers-retours entre le plateau et la loge des chroniqueurs, jeudi dernier. « Ce qu'il n'a jamais fait en deux ans, glisse une ancienne chroniqueuse. On a pu critiquer William Leymergie, mais à côté de Laurent Bignolas, c'est un enfant de chœur. »

Voir l'intégralité de l'article du Parisien (ici)



Accessoire télé pour faire Jeun's
(Couleurs dépareillées)