Ernotte l’ex Orange se prend trois
nouvelles claques, coup sur coup…et c’est loin d’être fini.
1°) Lundi dernier alors qu’elle avait limogé Vincent Meslet depuis 20 jours (le 5 octobre), l’ex
Orange apprenait la nouvelle : les députés venaient de retoquer le
gouvernement. La redevance
que voulait augmenter ce dernier de deux euros, n’augmentera donc que d’un euro seulement.
Le viré Vincent Meslet (*) voyait donc depuis l’étranger,
les châteaux en Espagne qu’avait échafaudés
Ernotte s’écrouler les uns après les autres, justement depuis la péninsule ibérique où il postait sur son Facebook
en début d’après-midi les photos de son escapade en binôme.
2°) Ils avaient surement dû autant s’amuser le mercredi
précédent Vincent et les autres lorsque les sénateurs avaient déjà retoqué le COM qu’Ernotte avait annoncé avoir signé et dont elle
claironnait la rapide mise en œuvre.
C’est NON, lui avait signifié la
commission des affaires culturelles du Sénat qui rendait un avis défavorable à l'adoption du Contrat d'Objectifs et de Moyens de
France Télévisions. Cette « feuille
de route », qui fixe les missions et le budget de l'entreprise
audiovisuelle publique avec l'État actionnaire jusqu'en 2020, étaient jugée
irréaliste par les sénateurs.
3°) Ce mercredi 26 octobre, c’était le rapport de la Cour des comptes qui sur la période 2009-2015 décrit une situation d’« impasse financière »(faillite serait le mot juste comme
l’écrit depuis 5 ans le blog CGC Média) dans laquelle se retrouve France Télé majoritairement
sous Pflimlin certes mais aussi sous celle que la « Scharmeck and co Factory »
y parachutait sans connaissance du
secteur.
Au 8ème étage les noms d’oiseau avaient fusé…certains en prenaient
pour leur grade !
«Un groupe
financé à 85% par de l'argent public ne peut pas être en déficit» répétait
en boucle celle qui le martelait « media et orbi » depuis mai 2016.
Ils vont voir TOUS autant qu’ils
sont de quel bois
elle se chauffe…c’est elle qui décide, elle ne se laissera pas dicter sa
conduite ! C’est le CSA qui l’a « légitimée »
et seul l’instance peut quelque chose contre elle.
On croirait
du Tessier ou encore du Carolis…pas du Pflimlin qui, lui, avait été nommé
directement par Sarkozy alors qu’il laissait Presstalis en situation de quasi faillite.
Tremblez François,
Olivier, Gérard, Claude, Alain, Nicolas et les autres…vous n’avez encore rien vu.