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samedi 6 août 2022

Henri Legoy est parti rejoindre Gainsbourg.

Henri Legoy est parti rejoindre Gainsbourg.

Fan du grand Serge - il avait réalisé dans les années 80 "Branché musique", une émission consacrée à  Serge Gainsbourg avec entre autres Françoise Hardy et Jacques Dutronc - Henri Legoy dont chacun dans l’audiovisuel a croisé la route, s’en est allé rejoindre quelques potes pour faire un bœuf avec eux.

Tout comme l’image, il aimait aussi la musique…Il fallait suivre, toujours au premiers rangs des concerts où il allait avec bonheur et gourmandise.
 
Des émissions sur les jeux vidéo animées par Patrice Drevet au magazine spécialisé « Joystick Hebdo » dont il avait assuré la rédaction en chef, c’était un vrai touche à tout. Il était même depuis quelques années, élu conseiller municipal (du sérieux! ) de son village en Haute Corse où il repose à présent.

De la SFP où il était assistant, a TV5, Antenne 2 devenu France 2 puis France Télévisions,  Riton pour quelques-uns avait écumé presque tous les plateaux télés.

Du «  Grand échiquier » à « Dimanche Martin” et la “Chance aux chansons” mais aussi des émissions comme “C’est au programme”, “Télématin” sans oublier les “JT de 20H”, le mari de Madeleine et père de Mathieu va dorénavant préparer ses conducteurs et peaufiner ses plans caméras depuis Là-Haut où il veille à présent sur nous.




Elle démissionne de la télévision publique à la suite d'accusations liées à l'attribution controversée de contrats de conseil et l'utilisation de fonds publics.

Elle démissionne de la télévision publique à la suite d'accusations liées à l'attribution controversée de contrats de conseil et l'utilisation de fonds publics.

Il y a bien évidemment des règles strictes en matière d’utilisation de fonds publics, particulièrement dans tout ce qui est appels d’offres, mise en concurrence et publicité, commandes et bon de commandes et finalisation soit par la livraison dernier étape de la chaîne ou mise en œuvre…Qu’il s’agisse de l’Union européenne comme de la France au premier chef.

« La présidente d’une chaîne de chaîne radiotélévision publique une des plus grandes au monde, a annoncé jeudi soir sa démission, à la suite d'accusations liées à l'attribution controversée de contrats de conseil et l'utilisation de fonds publics » indique l’AFP. 

C’est en Allemagne et c’est la patronne de l’ARD dont il est question… « Pourquoi, ça ne se passe pas comme ça en France? » s’interroge ce fin connaisseur de la vie mediatico-politique de notre Pays! 

Des faits d’une évidente gravité dans l’Audiovisuel publique français qui pourraient bien conduire la Justice à instruire avant de la fin de l’année où en tout début d’année prochaine pourraient bien apporter une réponse à cette question.

Certes l’ex-pédégé de France Télévisions Patrick de Carolis a certes été condamné définitivement pour  délit de favoritisme dans l’affaire dites « Carolis/Bygmalion/FTV » mais pas encore une femme!

Le blog CGC Media vous propose de découvrir ci-après de quoi il s’agit ici: 

« La présidente de la chaîne de radio et télévision publique allemande ARD, une des plus grandes au monde, a annoncé jeudi soir sa démission, à la suite d'accusations liées à l'attribution controversée de contrats de conseil et l'utilisation de fonds publics. 

Les discussions publiques au sujet de décisions et de procédures dans mon domaine de responsabilité s'étendent désormais à ARD" dans son ensemble, a déclaré Patricia Schlesinger dans un communiqué.

"C'est la raison pour laquelle je renonce à la présidence d'ARD" afin de contribuer à "faire la lumière sur les accusations", a-t-elle ajouté.

Dans l'immédiat, elle reste à la tête d'une des chaînes régionales du réseau ARD, en l'occurrence RBB, la chaîne couvrant la capitale Berlin et la région qui l'entoure.Dans l'immédiat, elle reste à la tête d'une des chaînes régionales du réseau ARD, en l'occurrence RBB, la chaîne couvrant la capitale Berlin et la région qui l'entoure. 

A ce titre, elle avait été nommée en début d'année pour présider l'ensemble du réseau ARD, dans le cadre d'un système de rotation propre à la chaîne publique. 

Mme Schlesinger fait, selon ARD, l'objet de reproches au sujet notamment de contrats de conseil attribués au sein de RBB, chaîne régionale qu'elle dirige depuis 2016. 

Selon les médias allemands, il est aussi question de repas à son domicile payés sur le budget de la redevance et d'utilisation privée d'un véhicule de fonction avec chauffeur, d'un rabais important obtenu auprès du constructeur pour cette limousine, ou encore d'une hausse controversée de son salaire de 16%, pour un montant annuel de plus de 300.000 euros. 

Avec un budget annuel de près de 7 milliards d'euros, financé pour l'essentiel par une redevance, le réseau ARD compte parmi les plus importantes chaînes publiques au monde.Il emploie 23.000 personnes environ dans neuf chaînes régionales, qui produisent aussi les programmes nationaux, et une chaîne destinée à un public international. »

vendredi 5 août 2022

Les salades confites de l’ex-Orange ne passent plus ni en Outre-mer, ni en métropole !

Les salades confites de l’ex-Orange ne passent plus ni en Outre-mer, ni en métropole !

À France Télévisions, ils sont quelques-uns à se demander comment Roch-Olivier Maistre fan inconditionnel d’Ernotte a pu lui faire ça!

« La ligne rouge entre la Tour Mirabeau et le Secrétariat général de l’Élysée a  probablement eu quelques ratés » raille ce directeur de FTV qui comme une immense majorité, ne supporte plus de subir impuissant l’accélération depuis l’été 2015 de la casse programmée de son entreprise. 

Celui qu’Emmanuel Macron nommait en janvier 2019 au CSA inutilement transformé en Arcom, vient en effet  comme l’indiquait le blog CGC Media dans son article « L’Arcom renvoie Ernotte dans ses cordes » de publier un cinglant rapport sur « La représentation de la société française à la télévision » (19/7), qui constate que les citoyens ultramarins ont quasiment disparut du petit écran. »

C’est en tout cas ça que décrit Le Canard enchaîné de ce mercredi (ci-après)


« L'OUTRE-MER est une richesse, et on a bien l'intention de la mettre en avant ! »

Deux ans après la fermeture de France Ô, ce cri du cœur de Delphine Ernotte fait encore ricaner, aux Antilles et ailleurs. Dans son rapport annuel sur « La représentation de la société française à la télévision » (19/7), l'Arcom (ex-CSA) constate que les citoyens ultramarins ont quasiment disparut r du petit écran.

Bilan du visionnage de plus de 2 900 programmes sur 19 chaînes de la TNT en 2021 : « Les personnes résidant dans les territoires d'outre-mer représentent seulement 3 % du total des personnes indexées, soit un taux de présence qui chute de plus de 7 points (10 % en 2019 et 2020). » Quant aux chaînes de France Télés, elles font un peu mieux, avec un taux de...6,5 % des personnes indexées.

L'outre-mer, cette « richesse » qui crève l'écran »

jeudi 4 août 2022

Changements de gouvernance à FMM et Radio France au moments des discussions sur le devenir de l’Audiovisuel public.

Changements de gouvernance à FMM et Radio France au moments des discussions sur le devenir de l’Audiovisuel public.

Lors des discussions au Parlement, Rima Abdul Malak a répété qu’« il fallait mettre tous les sujets sur la table sans aucun tabou. » et son cabinet de préciser « Nous devons tout d’abord évoquer les défis auxquels font face les sociétés de l’audiovisuel public: crise de confiance dans l’information, nécessité de renforcer l’offre de proximité, s’adresser à la jeunesse et soutenir la création et la culture». 

Le gouvernement qui a proposé que les contrats d’objectifs et de moyens (COM) de toutes les entités de l’audiovisuel public soient prolongés d’un an, jusqu’à fin 2023, n’a qu’une idée en tête faire rimer suppression avec fusion.

C’est la raison pour laquelle la réthorique habituelle de ces dernières revient à la charge notamment s’agissant des COM signes depuis des décennies et transgressés dès le lendemain…ils doivent pour la rue de Valois « servir de vecteur pour inciter fermement les entreprises publiques à mettre en œuvre des coopérations plus étroites et mutualiser les investissements dans les domaines de l’information et du numérique »…Cette bonne blague!!

Pour tous ces sachants, la méthodologie consiste donc à partir de la base plutôt que du sommet. waouhhh, ça déménage !

«Il ne sert à rien de discuter d’une fusion ou du rapprochement entre France Télévisions, Radio France, France Médias Monde, l’INA ou une nouvelle gouvernance avant d’avoir répondu aux questions de fond», enchérit le cabinet de la ministre.

Le gouvernement, le Parlement et les acteurs de l’audiovisuel en cours pendant la procédure de candidature à la présidence de Radio France et France Médias Monde alors que jusqu’ici, les calendriers des nominations et des COM etaient dissociés», conclut le cabinet de la ministre.

Il se pourrait bien que le judiciaire soit également au rendez-vous dès l’automne pour deux des 4 entités de l’audiovisuel public!



mercredi 3 août 2022

Pour Le Figaro, « La suppression de la CAP n'est pas une si grosse affaire »

Pour Le Figaro, « La suppression de la CAP n'est pas une si grosse affaire »…Ah bon?!

Après le vote par le Sénat de la suppression de la CAP(ex-redevance), Le Figaro dans une analyse signée du  chroniqueur et consultant Michaël SadouN pose la question «Et si la suppression de la redevance TV encourageait l'audiovisuel public à davantage de pluralisme?»

Le blog CGC Media qui pense qu’il ne s’agit plus d’un problème de compétence donc de gouvernance comme Emmanuel Macron l’avait dit en 2017 en la qualifiant de « Honte de la République », vous propose de découvrir ci-après la tribune  en question qui nous laisse plutôt dubitatifs.

Le blog CGC Média ne voit, en effet, pas le rapport qu’il y aurait entre la suppression d’une taxe parafiscale et plus de pluralisme Au sein de l’audiovisuel public qui rappelons-le, fait pourtant partie des obligations du cahier des missions et des charges et de COM ?!

Puis en s’interrogeant ainsi, cela laisse entendre que pendant des dizaines d’années l’audiovisuel public n’aurait servi que des intérêts partisans et rien d’autre!



« FIGAROVOX/TRIBUNE - Le samedi 23 juillet, les députés ont validé la suppression de la redevance qui finance l'audiovisuel public. Pour Michaël Sadoun, cette mesure invite le service public, bénéficiant par ailleurs de nombreuses garanties, à plus de neutralité. 

Le 23 juillet, l'Assemblée nationale a voté par 170 voix contre 57 la suppression de la CAP (contribution à l'audiovisuel public), parmi une série de mesures destinées à protéger le pouvoir d'achat des Français. En d'autres termes, dès l'automne, près de 27 millions de foyers ne paieront plus les 138 euros qui permettent de financer l'audiovisuel de service public, télé (France télévisions, Arte, l'INA, TV5 Monde) comme radio. 

En plus de peser sur les ménages, la CAP souffrait de plusieurs obsolescences, dont la première était son conditionnement par la possession d'un téléviseur chez soi. À l'heure où un nombre croissant de ménages ne sont plus équipés, notamment chez les jeunes, cette redevance semblait injuste.

Côté médias, cette suppression implique que les sommes allouées à l'audiovisuel public passeront désormais par le budget de l'État, ce qui suscite l'inquiétude des concernés. La redevance, née en 1974, a en effet accompagné un mouvement de dissolution de l'ORTF par Giscard d'Estaing, associant dans l'imaginaire collectif la liberté journalistique à l'idée d'une taxe dédiée non dépendante de la volonté politique.

Néanmoins, le politique peut déjà disposer du service public à sa guise, en fixant le montant de la redevance chaque année et en compensant les pertes de la redevance dues notamment à la baisse du nombre de foyers équipés en téléviseurs – si bien que déjà 15% des finances de l'audiovisuel public viennent du budget de l'État. Enfin, on peut relativiser l'indépendance du service public par le poids que l'exécutif peut prendre sur la nomination des présidences de médias publics par l'Arcom.

Le gouvernement n'a enfin cessé d'exprimer son attachement à l'audiovisuel public, Rima Abdul Malak garantissant une compensation «à l'euro près» de l'ancienne redevance. L'affectation d'une partie de la TVA, idée émanant d'un rapport de l'Inspection Générale des finances et reprise par un amendement voté par LR et LREM, pourrait notamment maintenir le mécanisme actuel de garantie de ressources.

La suppression de la CAP n'est donc pas une si grosse affaire pour le financement du service public, qui en l'état, bénéficie de fortes garanties politiques. Elle a pourtant suscité une vive réaction de la Société des journalistes de France 2, qui a publié dès le 21 juillet une vidéo où les animateurs vedettes du groupe contestent la mesure au nom de «l'indépendance du service public».

Mais qu'en est-il vraiment de cette indépendance ? La France peut bien sûr se féliciter d'avoir aménagé des cases où l'information et la culture ne sont a priori pas soumis au pouvoir de l'argent et aux pressions politiques. Cependant, il rode toujours une méfiance populaire, qui s'exprime par exemple dans la proposition du RN de privatiser l'audiovisuel de service public. D'où vient que, selon Harris Interactive, 34% seulement des Français considèrent les chaînes de télévision publiques comme indépendantes ? 

Cette indépendance ne fait pas l'unanimité car l'audiovisuel public est perçu comme une émanation de la «gauche élitaire» – il est d'ailleurs paradoxalement bien plus populaire chez les CSP+ que dans les classes populaires, qui lui préfèrent par exemple TF1. 

Cette orientation naturelle se ressent dans les programmations: en 2021, les matinales infos ont été particulièrement inégalitaires en matière de temps de parole, iniquité prolongée pendant les élections présidentielles et surtout législatives. Selon l'Arcom, qui comptabilise le temps de parole des différents partis, la Nupes a par exemple bénéficié de 73% du temps de parole sur France 5 en mai 2022, au cœur de la campagne législative.

Il est ainsi curieux de voir tant de journalistes s'inquiéter de leur indépendance quand celle-ci n'est remise en cause que par leur engagement politique. Peut-on reprocher aux Français de se méfier d'un groupe télévisuel dont la présidente Delphine Ernotte déclarait qu'il y avait «trop d'hommes blancs» à la télévision ? Derrière l'absence de protestation populaire suite à la suppression de la CAP, on devine une désaffection progressive des Français pour les médias traditionnels en général, et en particulier pour un service public qui manque souvent à son devoir, exigeant mais nécessaire, de neutralité.

La liberté d'expression a plus à craindre du corporatisme journalistique et du politiquement correct que de l'emprise de l'exécutif ou de la main de quelques milliardaires.

Pour que l'information reste diverse et libre de toute exigence de rentabilité, souhaitons que l'audiovisuel de service public reste fort. La suppression de la redevance n'y changera rien, et lui donnera même sûrement une raison de plus de tendre vers la neutralité et l'objectivité.

mardi 2 août 2022

Expression directe des formations politiques…les règles évoluent.

Expression directe des formations politiques…les règles évoluent.

Les modalités de programmation du temps d’émission attribué aux formations politiques représentées par un groupe dans l’une ou l’autre des assemblées du Parlement pour l’année 2022 a été publiée au Journal officiel du 31 juillet. 

France Télévisions, pour ce qui concerne France 2, France 3 et France 5, et Radio France, pour ce qui concerne France Inter et France Bleu, assurent, à compter du 13 octobre, la programmation et la diffusion des émissions consacrées à l’expression directe des formations politiques représentées par un groupe dans l’une ou l’autre des assemblées du Parlement, dans les conditions fixées par la décision de l’Arcom. 

Pour la télévision, un temps d'émission global de 3 heures, réparti entre France 2, France 3 et France 5, est attribué aux formations politiques représentées par un groupe dans l’une ou l’autre des assemblées du Parlement. Les émissions durent 2 ou 4 minutes et sont diffusées au cours de la même semaine. Côté radio, un temps d'émission global de 1 heure 40 minutes, réparti entre France Inter et France Bleu, est attribué aux formations politiques représentées par un groupe dans l’une ou l’autre des assemblées du Parlement.

Les émissions de radio sont d’une durée de 5 minutes. Elles sont programmées le vendredi vers 20h54 sur France Inter et le dimanche vers 20h55 sur France Bleu. Elles sont diffusées au cours de la même semaine. Chaque attributaire d’un temps d'émission est responsable de la conception et de la réalisation de son émission.



lundi 1 août 2022

La chasse aux seniors se poursuit sur France Télés !

La chasse aux seniors se poursuit sur France Télévisions !

Dans son récent article signé Benjamin Meffre « Il était une fois Des chiffres et des lettres» Le Parisien souligne qu’« Alors qu’elle s’apprête à ne plus être diffusée que le week-end sur France 3 la saison prochaine…. La saison prochaine dira sans doute si son compte est bon ».  

L’ex-Orange et son ex-dircab n’ont visiblement rien compris à ce que doit être la télé publique…preuve en est: le récent arrêt de « Plus Belle la Vie » que l’infirmière TV déclare vieillissant alors que l’auditoire du feuilleton post JT de 20h sur France 2 « Un si grand soleil » dans lequel elle apparaît dépasse les 67 ans.

Le blog CGC Média vous propose de découvrir l’article en question ci-dessous.




dimanche 31 juillet 2022

L’infirmière TV n’apparaissait pas dans PBLV qu’elle supprime!

L’infirmière TV n’apparaissait pas dans PBLV qu’elle supprime!

Ce n’est pas le feuilleton télé « Un si grand soleil » aux audiences bien décevantes (âge moyen 67 ans) où Ernotte jouait les infirmières qu’elle arrête, non. 

C’est celui que feu Rémy Pflimlin avait lancé voilà 18 ans où elle n’apparaissait pas! C’est un terrible et énième aveu d’échec d’avoir annoncé le rajeunissement de l’auditoire avec ce feuilleton fort cher que France 2 diffuse après le JT de 20h qu’il était supposé entraîner.

« Plus belle la vie » permettait en tout cas des ventes puissantes  à l’international et surtout en Europe. Si l’infirmière TV et son ex-dircab, comprenaient  que France Télés n’est pas un cabinet ministériel aux services d’ambitions politiques ou proches et encore moins un tremplin - tout ça sur le dos des contribuables évidemment - la télé publique dont le politique se soucie comme de sa première chemise, aurait eu une chance de s’en sortir !

L’arrêt de PBLV est une preuve supplémentaire qu’ils ne sont pas aux services des citoyens.