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samedi 21 janvier 2023

Comment ces "oligarques" du PAF saignent le contribuable français depuis des années dans l'indifférence générale mais bien coupable.

Comment ces "oligarques" du PAF saignent le contribuable français depuis des années dans l'indifférence générale mais bien coupable.

Le blog de CGC média depuis des années, a dénoncé à de nombreuses reprises le système de copinage qui règne à France Télévisions où dans ce royaume des prébendes et de l’entre soi, les oléoducs d'argent public sont directement branchés dans les caisses de certains.

L’excellente enquête que vient publier OFF INVESTIGATION sous la plume de Gauthier Mesnier, en est la flagrante démonstration. (rendez-vous sur la toile pour la suite) 

Le site explique comment l'ex-Orange engraisse ceux qu'il appelle les  "oligarques" des media avec notre argent....et de livrer au lecteur, après l'invraisemblable sortie médiatique de Cyril Hanouna une photo de la dramatique situation dans laquelle se trouve aujourd'hui France Télés:  Grâce à leurs puissantes sociétés de production audiovisuelle, Vincent Bolloré, Martin Bouygues ou Xavier Niel bénéficient chaque année de dizaines de millions d’euros de commandes de France Télévisions. Sans que Delphine Ernotte, ne s’en émeuve sérieusement. 

Hanouna peut bien faire le malin en réclamant la suppression de l’audiovisuel public : voici comment les programmes de France Télévisions enrichissent sa propre société de production et celles des oligarques des médias...." 

Comment l’État-actionnaire, depuis la retentissante affaire des animateurs-producteurs et l’arrêt des contrats pluriannuels qui avaient conduit au départ de Jean-Pierre Elkabbach, a-t-il pu laissé s’installer  - dérives après dérives - un système où une poignée « d’oligarques » des media, pompe toujours plus les centaines de millions des deniers publics dans les poches des contribuables Français? 








vendredi 20 janvier 2023

Quand l’ex-Orange rattrapée par ses salades aux salariés tape sur la presse !

Quand l’ex-Orange rattrapée par ses salades aux salariés tape sur la presse !

Ce mercredi alors qu’elle s’adressait au personnel après l’avoir fait l’avant-veille devant le panel de 150 cadres convoqués à ces séances d’autosatisfaction que sont ces webinaires imposés mensuellement, l’ex-Orange assurait encore que concernant Salto « aucune décision n’était prise, qu’il ne fallait pas croire ce qu’écrivait la presse et qu’aucune annonce ne serait faite vendredi ».

Seulement voilà, la presse qu’il ne faut pas croire selon Ernotte – autrement dit lorsqu’elle s’y exprime, il ne faut donc surtout pas penser que cela soit vrai ! – a déjà largement écrit sur la dissolution de Salto et le CSE de ce 20 janvier au siège de France Télés où le point doit être traité...Encore hier Pure médias qui écrit "En préparation à cette fin, les trois actionnaires organisent des réunions pour informer leurs salariés d'une hypothétique dissolution du service. TF1 a réuni ses équipes mercredi, France Télévisions les rencontrera demain, comme l'a révélé puremedias.com lundi." 

Une chose parait acquise en tout cas...Appeler son dernier raout "Télévisionnaire" après une telle déconfiture, en ayant été incapable de voir plus loin que le bout de son nez, il faut quand même oser !

A France Télés, dans les étages supérieurs, certains pour tenter de se défausser accusent à présent  l’État actionnaire et le gouvernement de « lâchage » : « Ce qui devait concurrencer ce "diable Netflix" selon Ernotte est à l’agonie et  personne au sein du ministère de la Culture ou de Bercy ne lève le petit doigt. Ils n'en ont rien à foutre…».

Etrange vison quand même de venir expliquer que l’État n’a rien fait après les dizaines de millions des contribuables jetés au feu par France Télévisions dans cette lubie ernottienne qui est au final une catastrophe économique sans nom qui affiche un déficit pas très loin des 200 millions d’euros en tenant compte des personnels «détachés» par les 3 sociétés parties-prenantes dont il faudra tenir compte !  

NON Salto n’est pas à vendre - combien de fois faudra-t-il le répéter ?  - contrairement à ce que prétendent l’ex-Orange et son ex-dircab qui chantent toujours « être à la recherche d’un actionnaire qui croit dans le projet industriel de Saltoomettant le plus fallacieusement qui soit de dire que ce dernier ne pourra de toute façon, pas se substituer à FTV à cause du pacte d'actionnaires qui lie au minimum pour 5 ans TF1, M6 et France Télés dans Salto (*) 

(*) 

Cette incroyable plantage industriel dont Ernotte est à l'origine et dans lequel elle a entraîné les contribuables français bien malgré eux, les trayant comme de simples vaches à lait, le blog CGC Média l'avait prévu il y a belle lurette...encore le 8 novembre 2021 avec un titre et dessin qui ne souffraient guère d'interrogations: Sale temps pour Salto !"

Dans la plus petite entreprise du CAC 40 ou dans n'importe quel groupe privé, ces millions partis en fumée et cramés pour quelques égos surdimensionnés, serait sanctionné sans délai par le licenciement pour faute lourde sans indemnité évidement du ou des responsables !

Il y a quelques heures donc, le site du titre de presse précité, en remettait une couche dans son article signé Tom Kerkour « "On attend de savoir à quelle sauce on va être mangés", la longue incertitude qui plane au-dessus de Salto » qui se conclut ainsi « Au milieu de tout le bruit qui entoure Salto, c'est bien le silence qui interroge le plus. Où est passé le gouvernement ? La plateforme pensée comme un champion français du divertissement coule, et personne au sein du ministère de la Culture ou de Bercy n'a tendu la main à l'entreprise pourtant à l'agonie. "Ils n'en ont rien à foutre. Quand Netflix arrive en France, l'Élysée tweet 'tudum'. Pour Salto, l'alliance de trois français, ils ne font rien. C'est une vision très bizarre de l'exception française", peste un connaisseur. ».

Extrait :

Alors que le projet de vente de la plateforme est sur le point de tomber à l'eau, les salariés comme les trois actionnaires s'agaçent d'un moment de flottement qui dure depuis trop longtemps.

Les jours de Salto sont comptés. Alors qu'hier encore "Satellifax" évoquait l'idée d'un "repreneur de dernière minute" pour le service de streaming tricolore, à l'intérieur, plus personne n'y croit. (*) Officiellement, l'entreprise détenue à parts égales par France Télévisions, TF1 et M6 n'a pas encore terminé sa recherche d'un potentiel acheteur.

Mais pléthore d'acteurs ont déjà étudié un rachat (Canal+, Amazon, Agile) sans que les tractations n'aboutissent. Selon nos informations, la vente en bloc n'est plus à l'ordre du jour. "Il n'y a pas de date de fin officielle pour présenter une offre, ça continue jusqu'à ce que Salto, et surtout ses actionnaires en aient marre", résume un bon connaisseur du dossier. Et maintenant ? "Ils en ont marre". Que ce soit d'ici la fin de la semaine ou la fin du mois, tous les acteurs veulent aller vite. "La situation actuelle n'est agréable pour personne", explique-t-on dans l'une des chaînes.

En préparation à cette fin, les trois actionnaires organisent des réunions pour informer leurs salariés d'une hypothétique dissolution du service. TF1 a réuni ses équipes mercredi, France Télévisions les rencontrera demain, comme l'a révélé puremedias.com lundi.

L'avenir du contenu, un autre casse-tête

L'hypothèse d'une revente entière écartée, reste la liquidation suivie d'une vente des actifs de la société : sa base d'abonnés, son catalogue ou simplement la marque "Salto". Les acteurs qui ont manifesté leur intérêt lors du premier tour pourraient bien revenir dans les négociations. De telles ventes permettraient à Salto d'éponger ses dettes, et donc, aux actionnaires de minimiser leurs pertes.

Pourtant, même la vente de ces actifs pourrait bien devenir un casse-tête. "Salto est une marque qui a de la valeur, mais aujourd'hui, elle est associée à un échec", estime un expert du monde audiovisuel. La vente du catalogue risque aussi d'être compliquée, TF1 n'ayant que très peu envie de voir ses productions filer chez la concurrence. Depuis le départ, les différents acteurs refusent que leur savoir faire puisse enrichir un concurrent actuel ou potentiel, soit autant raisons qui ont fait capoter la vente. L'entreprise pourrait donc tout simplement mettre la clé sous la porte, et les actionnaires hériter de ses pertes.

Après le Salto, l'atterrissage

Victime de ces remous, les salariés de Salto se disent globalement inquiets - ou résignés. "On attend de savoir à quelle sauce on va être mangés", ironise un cadre. 

Le média "Satellifax" a avancé que les actionnaires se seraient engagés à transmettre des offres d'emplois à tous les salariés. Une décision plutôt logique, les rangs de l'entreprise étaient surtout peuplés de personnes issues des trois groupes. Pourtant, selon nos informations, tous n'ont pas véritablement vocation à être repris, mais le but est de limiter la "casse sociale".

Ainsi, une partie des 42 employés pourrait, si elle le souhaite, repartir chez son précédent employeur. Un total déjà bien réduit, plusieurs dizaines de départs ayant eu lieu au cours des derniers mois. Tous ne pourront cependant pas être accueillis. Les groupes n'ont pas la capacité de récupérer des profils déjà très similaires aux leurs, ou trop axés sur le digital.

Parmi ces repêchages, la question de l'atterrissage du directeur de Salto se pose. En effet, Thomas Follin a passé une bonne partie de sa carrière au sein du groupe M6 avant d'être placé à la tête du navire tricolore. Vraisemblablement, le groupe de Nicolas de Tavernost va tenter de récupérer son talent. "La question ne s'est pas encore posée, si l'aventure se termine, il faut encore tout boucler proprement. Même s'il y a des chances que M6 veuille le récupérer, il est libre d'aller tâter le terrain ailleurs", précise une source bien informée. "Depuis son départ de M6, les choses ont bien changé, je ne pense pas qu'il souhaite y retourner. Il a du réseau et est très intelligent, il trouvera sans problème", commente un proche.

Au milieu de tout le bruit qui entoure Salto, c'est bien un silence qui interroge le plus. Où est passé le gouvernement ? La plateforme pensée comme un champion français du divertissement coule, et personne au sein du ministère de la Culture ou de Bercy n'a tendu la main à l'entreprise pourtant à l'agonie. "Ils n'en ont rien à foutre. Quand Netflix arrive en France, l'Élysée tweet 'tudum'. Pour Salto, l'alliance de trois français, ils ne font rien. C'est une vision très bizarre de l'exception française", peste un connaisseur."

jeudi 19 janvier 2023

Le trio Abdul-Malak/Maistre/Ernotte bien parti pour flinguer la télé publique ?

Le trio Abdul-Malak/Maistre/Ernotte bien parti pour flinguer la télé publique ?

La question se pose de façon très prégnante depuis les propos en 2017 d’Emmanuel Macron qualifiant la gouvernance de France Télévisions de « Honte de la République ».

Certes, il n’y avait à ce moment là que Roch-Olivier Maistre pour twitter plus vite que son ombre à la propagande permanente de l’ex-Orange mais il a depuis été rattrapé par l’actuelle ministre qui, elle aussi, twittait la semaine dernière sans attendre, sur les soi-disant « records historiques d’audience qui feraient de France Télés  le premier média des Français en radio comme en télévision » sans même vérifier les bobards du groupe public qui bidouillait les chiffres de Médiamétrie avec ses propres fiches (preuves à l’appui) et criait « Bravo  aux 5 ans de transformations de l’audiovisuel public…. » sans que quiconque sache de quelles transformations il était question !

A l’époque, certes Rima Abdul-Malak la ministre de la Culture n’était pas encore mais l’éphémère Françoise Nyssen avait déjà commencé à mettre les mains dans le cambouis, bras armé – elle aussi – d’un Édouard Philippe qui proposait à l’époque, en phase avec le Secrétaire général de l’Élysée et l’aval de celle qu’il soutenait alors bec et ongles l’ex-Orange de se débarrasser de France Ô et France 4. Chacun connait la suite, France Ô disparaitra et France 4 ne devra son salut qu’au Covid !

Voilà pour le contexte qui nous amène à la sortie tonitruante de Cyril Hanouna du début de semaine, lançant "Privatisez-moi ça !" dans "Touche pas à mon poste !" sur C8 et l’aimable formule de l’infirmière TV à son adresse "Je connais bien Cyril, c’est un animateur professionnel (...) Je ne surréagis pas parce que ça ne sert à rien. Juste, un petit clin d’œil parce qu’on se connaît bien avec Cyril : il a quand même passé dix ans sur le service public !" qui suscite aujourd’hui moultes réactions, chacun peut le comprendre.

Il y a d’abord celle de Daniel Schneidermann dans sa chronique pour Arrêt sur images qui titre « Hanouna : ce qu’Ernotte aurait pu [dû, ndlr] répondre » (*)

"Dès le lendemain de cette harangue, Delphine Ernotte Cunci a réagi avec… mesure. "Je connais bien Cyril, c’est un animateur professionnel. Là, je trouve qu’il a été trop loin. Je ne comprends pas bien d’où ça sort." Elle aurait pu réagir autrement. Elle aurait pu dire, par exemple : "Cher Monsieur Hanouna, je note que vous estimez l'argent du service public mal employé. Puisque vous abordez le sujet, nous allons en effet reconsidérer nos contrats avec les producteurs privés de télévision, notamment avec la maison Banijay, dont vous êtes actionnaire, et membre du conseil d'administration, au titre de représentant de Vivendi (Bolloré), lui-même actionnaire à 32,9 % de Banijay."

"Nous allons reconsidérer notre contrat avec Monsieur Nagui, pour son émission N'oubliez pas les paroles, diffusée chaque soir sur France 2, et produite par la société Banijay. Il est vrai que sur ce créneau de 19 h Monsieur Nagui réussit bien, avec une bonne émission, mais nous trouverons sans difficulté un remplaçant qui ne remplisse pas les caisses de votre société Banijay, et celles de votre patron Vincent Bolloré. Dans le même esprit, nous allons reconsidérer notre contrat pour les autres émissions de Monsieur Nagui, Trouvez l’intrus, The Artist et Tararata, pour l'émission Les enfants de la télé de Monsieur Laurent Ruquier, ainsi que pour les émissions Prodiges, Drag race, MasterChef et Chacun son tour. (J'emprunte toute cette liste à mon excellent confrère du Parisien, Benoît Daragon.)"...

Il y a bien entendu aussi celles des réseaux sociaux comme ces deux-là parmi tant d’autres (¤)

(¤)

Mais il y a depuis hier la dépêche AFP (fin de post) qui va dans le même sens et explique que « Nombre d'observateurs ont vu dans cette attaque une réponse à la ministre. Dans Le Monde, elle avait laissé entendre que les dérapages de Hanouna pourraient conduire l'Arcom à ne pas renouveler en 2025 l'autorisation d'émettre de C8 » mais ajoute « Parmi les sociétés de production qui vendent des programmes à France Télévisions, on compte d'ailleurs Banijay, dont Cyril Hanouna est actionnaire. [dont Candilis l’ex-Numérobis d’Ernotte qui signait les contrats avec la boite, était issu, ndlr] - Engagements - De fait, le financement des entreprises de l'audiovisuel public est conditionné à des engagements fixés par les Contrats d'objectifs et de moyens (COM) qu'elles passent avec l'Etat. »

Ce qui nous renvoie bien au trio du titre et à cette interrogation, si tout cela n’avait qu’un objectif ? Continuer de flinguer la télé publique dont il semble bien que "tout le monde se foute" et pour laquelle l’implosion comme celle de Salto (la désastreuse tocade ernottienne qui aura coûté des dizaines de millions d'euros au contribuable) est dans les tuyaux depuis belle lurette comme n'a cessé de l'écrire maintes et maintes fois le blog CGC Média !!




La Justice a condamné l'ex-Orange ès qualité mais cette dernière s'en moque !

La Justice a condamné l'ex-Orange ès qualité mais cette dernière s'en moque !

En préambule, le blog CGC Média reprendra las récents propos de Patrick Sébastien tenus dans la presse:  "Ces gens-là, qu’est-ce que tu veux qu’on fasse, on peut rien faire contre eux, ils sont au-dessus des lois. Ils sont au-dessus de tout et au-dessus des gens, mais on ne changera pas ce système-là..."

Alors que Ouest France (*) revient sur l'interview totalement égocentrée que l'ex-Orange a consenti à donner à L'Équipe, le mépris qu'elle affiche à une décision de Justice fait jaser sur les réseaux sociaux.

"Delphine Ernotte devrait préparer ses interventions et les soumettre à des gens plus éclairés ou même au service juridique avant de les verser ainsi à la presse. Il y a de sa part un manque total d’éthique et un mépris absolu de la décision de Justice rendue, bref, une arrogance aveugle et inexcusable à ce niveau de responsabilité"  réagit cet internaute après l'interview de L'Équipe et l'article de la PQR qui s'en est suivi.

Extrait :

"En mars 2022, près de deux ans après son renvoi de France 2, l’ancien reporter au service des sports Pierre-Etienne Léonard remportait une bataille juridique. 

Le conseil des Prud’hommes de Paris condamnait France Télévisions à lui verser 45.000 euros d’indemnités et 100.000 euros de dommages et intérêts pour licenciement "abusif" et "sans cause réelle ou sérieuse". 

« L’argent ne m’apporte aucune satisfaction. J’avais un métier où j’étais épanoui. Puis, j’ai tout perdu de manière injuste », réagissait dans les colonnes du Point l’ancien reporter de Stade 2 qui a toujours assuré ne pas comprendre les « propos sexistes » et les « comportements inappropriés » ayant conduit à son licenciement.

Aucun regret pour Delphine Ernotte

Malgré cette décision de justice rendue, et alors que les Prud’hommes doivent encore se prononcer sur les cas d’Alain Vernon et Jean-François Laville, Delphine Ernotte a assuré dans un entretien à L’Équipe (¤) ne pas regretter ces trois licenciements. « Je prends le parti de croire les femmes. Je ne crois pas que ce soit si partagé que cela dans la société… J’ai conscience aussi que certains hommes ne réalisent pas l’impact qu’ils peuvent avoir sur les femmes de leur entourage mais ce n’est pas acceptable pour autant. La décision n’est pas facile à prendre parce que je vois bien qu’il y a de l’incompréhension. Si certains avaient reconnu leur erreur, on aurait pu trouver un terrain d’entente. Ce ne sont jamais de belles histoires, c’est triste », a-t-elle déclaré dans les colonnes du quotidien sportif..."

(*) https://programmetv.ouest-france.fr/chaines/france-televisions/delphine-ernotte-revient-sur-l-affaire-de-sexisme-au-service-des-sports-de-france-televisions-e4569b5c-966a-11ed-a0e2-3c14145668d8


"Alors que France Télévisions diffuse une série documentaire sur l'affaire d'Outreau, les propos prononcés par la présidence du service public à propos de l'affaire du service des sports de FTV dans L'EQUIPE et repris textuellement  dans ce papier de Ouest France en lien ci-joint sont graves et le refus de prendre en compte une décision de justice l'est tout autant." dénonce cet autre qui ajoute "Quand les dossiers sont vides, les accusations fausses, et que la justice conclue à un licenciement abusif, le minimum est de faire silence, voire si on a un peu de courage, de reconnaître son erreur, celle d'avoir brisé la vie d'un être humain, et sans doute 3 en tout, hommes ou femmes, gratuitement, pour de la com interne et externe."

(¤) 

Puis de faire un parallèle - adéquat ou pas avec Outreau - en reprenant les propos, d'Ernotte dans un tel contexte:  " si les accusés d'Outreau avaient reconnu leurs erreurs dès le départ,  on aurait pu trouver un terrain d'entente ..."

Pourquoi diantre, ces 3 journalistes devraient ils reconnaitre de soi-disant erreurs que la Justice ne reconnait pas, condamnant au passage lourdement l'entreprise pour l'avoir raconté ?   


mercredi 18 janvier 2023

Presque 70.000 SMIC nets cramés avec le SALTO de l'ex-Orange mais aussi l'escapade pour Mélenchon en Guyane, l'ardoise gigantesque laissée aux contribuables français !

Presque 70.000 SMIC nets cramés avec le SALTO de l'ex-Orange mais aussi  l'escapade pour Mélenchon en Guyane, l'ardoise gigantesque laissée aux contribuables français ! 

Alors que l'infirmière TV qui pourrait bien jouer prochainement dans un épisode de La Famille Adams disait, ce matin en marge du colloque "Télévisionnaire" [il faut oser l'intitulé au regard du nombre d'échecs cumulés depuis 2015, ndlr], toute son admiration pour le présentateur de "Touche pas à mon poste" sur C8 : "Je connais bien Cyril, c’est un animateur professionnel (...) Je ne surréagis pas parce que ça ne sert à rien. Juste, un petit clin d’œil parce qu’on se connaît bien avec Cyril : il a quand même passé dix ans sur le service public !"...

...voici que sort ce mercredi Le Canard enchaîné qui s'insurge comme l'a fait le blog CGC Média la semaine dernière dans son article "L'événement" guyanais de Jean-Luc Jean-Luc Mélenchon sur France 2 indigne les personnels comme les téléspectateurs".



Samedi dernier le blog CGC Média écrivait "Après avoir révélé dans son articlé "L’arnaque aux chiffres fantaisistes avec les slides de France Télés !" que l'ex-Orange avait  mélangé à des données de Médiamétrie des documents qu'elle avait commandés en interne ''Chiffres non officiels, calculés par déduction à partir des scores du groupe"c'est à présent, le coût exorbitant du programme qui fait bondir. 

La Spéciale Jean-Luc Mélenchon en Guyane où une dizaine de salariés du siège de France Télévisions est venu grossir la trentaine de collaborateurs sur placetous payés environ 34% de plus que ceux de la Métropole du fait de l'indexation qui a cours, n'a réuni que 5,3 % du public, plaçant même France 2  derrière W9.

Alors que Jean-Luc Jean-Luc Mélenchon le patron que de LFI qui n'est ni député, ni sénateur,   France Télévisions a décidé de délocaliser à plus de 7000 kms  l’émission, sachant par avance que la facture serait très lourde...pour cause, l'ex-Orange qui affirme que son projet Tempo devant voir le jour cette année est supposé permettre aussi des économies alors que l'entreprise que France Télés SA est dans le rouge depuis belle lurette malgré les récurrentes chansons ernottiennes va  compenser l'intégralité des prestations et payer ayer un coût  énorme pour cette incroyable escapade ultramarine qui explose tous le budgets liés à ce type de programmes !

Pourquoi au bout du compte de telles dépenses pharaoniques à la charge des Français, pour à peine plus de 5% d'audience et selon le slogan ernottien : 3 FAKE contre 2 VRAI que le blog CGC Média a rassemblés pour ses fidèles lecteurs...Cyril si tu nous r'garde !!





mardi 17 janvier 2023

Les millions d’argent public qu’Ernotte a jetés à la poubelle avec la dissolution annoncée de Salto sa catastrophique tocade industrielle !

Les millions d’argent public qu’Ernotte a jetés à la poubelle avec la dissolution annoncée de Salto sa catastrophique tocade industrielle !

Il ne fallait surtout pas raconter au 6 membres du CSA en juillet 2020 - ROM avait pris soin d’écarter Hervé Godechot le 7ème des membres de l'instance de régulation à qui il avait interdit de participer au vote pour la présidence de France Télévisions sous prétexte que celui-ci n’en aurait pas eu LÉGALEMENT le droit pour d’imaginaires raisons de conflits d'intérêtsqui a conduit le SNPCA-CGC à saisir la Justice - que Salto la lubie ernottienne ne marchait pas et perdait des millions !

Le 5 décembre dernier dans son article « Qui a intérêt à faire circuler des rumeurs sur l’éventuel rachat du fiasco Salto ? », le blog CGC Média dénonçait les mensonges accumulés par France Télés pour tenter de faire croire à un rachat de Salto sur fond de déclarations insincères de l’entreprise essayant de masquer les dizaines de millions de pertes donc d’argent public que le contribuable français a dû payer pour du vent, multipliant généreusement au passage les dizaines de milliers d’abonnées pour en faire d’illusoires centaines ! 

Extrait :

Dans un de ses nombreux articles, notamment « La dernière incartade ernottienne qui pourrait bien finir devant la Justice en scandale d’État ! », le blog CGC Média soulignait les risques encourus par l’ex-Orange qui à France Télévisions chante le soi-disant équilibre des comptes "hors éléments non récurrents" » c’est-à-dire un résultat d'exploitation du groupe sans les énormes pertes de Salto !

L’invention ernotienne qui publiera ses comptes EN 2020 pour la dernière fois avec un chiffre d’affaires de 250.000 € face à cet incroyable déficit cumulé que chiffre Les Échos dans son article « La plateforme de streaming Salto est à vendre » à « 180 millions de pertes brutes pour ses actionnaires (avant les recettes pour la distribution et les programmes versées par Salto). » 

L’ex-Orange et son ex-dircab chantaient d’ailleurs être à la recherche d’un actionnaire qui croit dans le projet industriel de Saltoomettant le plus fallacieusement qui soit de dire que ce dernier ne pourra de toute façon, pas se substituer à FTV à cause du pacte d'actionnaires qui lie au minimum pour 5 ans TF1, M6 et France Télés dans Salto (*) 

Autrement dit, Agile petit acteur des média espagnols qui aurait soi-disant déposé une offre de reprise globale du service de vidéo-à-la-demande ernottien Salto, n’avait légalement aucune chance de racheter quoi que ce soit à cause dudit pacte d’actionnaires. (*) 

Dans toute grande société privée, un tel empilement de manquements aurait déjà conduit les quelques responsables de cette catastrophique mascarade et pharaonique déroute vers la SORTIE… « mais nous sommes en France » explose ce politique qui ajoute « voilà où nous ont conduit ces gens » revenant sur la sortie hier de Cyril Hanouna dans TPMP.


Aujourd’hui, tout ce qu’a écrit le blog CGC Média à travers ses nombreux articles, se révèle donc totalement exact mais pire montre également comment la supposée instance de régulation post Schrameck, les ministres de la Culture jusqu’à Rima Abdul Malak, certains membres du gouvernement particulièrement celui d’Édouard Philippe, l’État actionnaire, les Tutelles et quelques député(e)s ou sénateur(trice)s ont fermé les yeux et laissé dilapider ainsi les deniers publics.

(*)

Le blog CGC Média vous propos de découvrir des extraits signés Jammal Henni pour L’Informé publiés sur leur site, révélant que c’est le 20 janvier que l’Infirmière TV devrait envoyer définitivement à la poubelle les dizaines et dizaines de millions du contribuable vache à lait !

« Selon nos informations, France Télévisions s'apprête à acter en interne la dissolution de la plateforme créée en 2020 par les groupes TF1, France Télévisions et M6.

Delphine Ernotte, actera, ce vendredi 20 janvier selon l'ordre du jour d'un Comité social économique (CSE) central extraordinaire, la "cessation des activités" et la "dissolution de la société Salto".

Prise de parole d'autant plus intéressante que France Télévisions était jusqu'ici le seul acteur à ne pas s'être prononcé sur le futur de la plateforme...

Selon nos informations, un "acteur étranger" était candidat à la reprise de Salto. "L'informé" révèle, ce lundi soir, qu'il s'agirait de la société espagnole "Agile". Mais le trio d'actionnaires de Salto et le candidat à la reprise ne seraient pas tombés d'accord. Une "dissolution", soit la fin de la plateforme telle que les 800.000 abonnés la connaissent aujourd'hui [un chiffre largement gonflé, maintient le blog CGC Média, ndlr], sera officialisée en fin de semaine…

Ce qui pourrait signifier « Une fin pure et dure pour Salto où qu'aucun autre acteur n’hériterait des contenus et/ou des abonnés du service SVOD. Contactés par puremedias.com, TF1, France Télévisions, M6 et Salto n'ont pas souhaité réagir.

Une mort à petit feu

Lancé en octobre 2020, le service de vidéo à la demande par abonnement, tel qu'on le connaît, était sur la sellette depuis plusieurs mois. Le long feuilleton autour de la fusion de TF1 et M6 a contribué à accélérer les choses. Il y a moins d'un an, en mars 2022, France Télévisions avait, en effet, annoncé qu'elle céderait, pour 45 millions d'euros, sa participation dans Salto en cas de réalisation du projet de rapprochement des groupes TF1 et M6.   [En violant au passage le pacte d’actionnaires qui l’interdit sur 5 ans..combien de fois faudra-t-il le répéter, ndlr]

Six mois plus tard, une fois la fusion des deux groupes privés enterrée, la première œuvre commune des groupes TF1, France Télévisions et M6 n'était pas pour autant sauvée. Le 17 novembre 2022, TF1 et M6 ont officialisé lors d'un conseil de surveillance, selon "La Lettre A", leur retrait du "Netflix à la française", qu'elles ont elles-mêmes concurrencé l'an passé avec l'émergence de leurs offres payantes respectives, MyTF1 Max et 6play Max.

Seul France Télévisions restait encore à bord. "Salto a un avenir, mais pas avec l'actionnariat tel qu'il est aujourd'hui", confirmait Delphine Ernotte dans une interview au "Figaro", parue cinq jours plus tard, le 22 novembre 2022. Avant d'ajouter : "Si demain il trouve un acquéreur, je n'aurai aucun problème à y laisser nos contenus".

"L'avenir de Salto devrait se préciser rapidement, sans doute en début d'année prochaine", assurait, de son côté, Nicolas de Tavernost, président du directoire du groupe M6, au "Figaro" le 14 décembre.

On y est. 

Les effectifs de Salto, eux, ont bien compris que le vent tournait et que l'ambiance au sein de la société ne respirait pas la sérénité. Selon les éléments que puremedias.com a pu recueillir, plusieurs dizaines de départs ont été recensés ces six derniers mois. Les effectifs restants auraient quitté leurs locaux de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), comme l'avance, ce lundi soir, "L'informé".

France 2 reconduit "Le Big Show" de Jarry en 2023… Vrai ou Fake pour reprendre la terminologie ernottienne ?

France 2 reconduit "Le Big Show" de Jarry en 2023… Vrai ou Fake pour reprendre la terminologie ernottienne ?

Incroyable mais Vrai…les audiences sont en baisse mais Alexandra Redde-Amiel, la responsable jeux et divertissements de France Télés qui l’avait annoncé sur "Sud Radio" le 23 décembre dernier, affirme qu’« Après les bons résultats d’audience obtenus par le "Big Show" lors de sa dernière diffusion, "France 2" a décidé de reconduire, en 2023, l’émission présentée par Jarry ».

« Ces statistiques prometteuses pour la deuxième chaîne ont amené la direction à signer pour de nouveaux numéros. "Jarry, aujourd’hui, c’est un visage auquel on croit, qu’il faut continuer à installer, qui fait du bien aux gens. Le point commun de la ligne éditoriale de toutes nos émissions, c’est de mettre du bonheur dans la vie des gens. Et c’est vraiment important pour nous" » a raconté l’intéressée.

Fake ce coup-ci…voilà, le 11 septembre 2022 ce qu’écrivait « Pure médias » qui titrait « Jarry en forte baisse » : « France 2 est loin derrière avec "Le Big Show" , l'émission sans limite de Jarry avec 1,44 million de fans de happening s’étant intéressés aux surprises concoctées par les équipes de l'humoriste, qui était accompagné de Chantal Ladesou et de Pascal Obispo pour la soirée. La part d'audience est seulement de 8,1% sur l'ensemble du public et la part de marché atteint 6,2% sur la cible commerciale féminine.

En juin dernier, le premier numéro avait déçu en attirant seulement 1,84 millions de curieux, soit 11,3% des téléspectateurs (9,9% FRDA-50) ».

Le site Médias d’ajouter quelques semaines plus tard « Le Big Show de Noël sous les 10% sur France 2. En cette période de fêtes, France 2 misait sur une nouvelle édition du Big Show spécial Noël pourtant n’a rassemblé que soit 9,9% du public présent pour 1,96 million de curieux.  La chaîne se retrouve quatrième des audiences. »

C’est donc une VRAI-FAUSSE réécriture de la réalité à laquelle se livre France Télés et ses porte-voix et qui devrait plaire à nouveau, à Régis RAVAT président de l'A.FR.AV (Association FRancophonie AVenir) mais aussi à Guillaume Blanchot le chef du vaisseau Arcom enterprise sous ROM 1er qui avec son courrier officiel à l’ex-Orange (*) demandait le respect de l’article 39 de son Cahier des charges qui dispose « « France Télévisions contribue à la promotion et à l’illustration de la langue française. Elle veille à l’usage et au respect de la langue française par le personnel intervenant sur ses services et notamment proscrit les termes étrangers lorsqu’ils possèdent un équivalent en français », faisait un énorme bide ! 

Un vrai " Bide Show" sur fond de « Fake » communication, histoire de montrer à quel point l’ex-Orange et ses thuriféraires se placent au-dessus des textes, de la vérité et de la langue…Rima Abdul Malek tweetera surement encore pour s’en féliciter !?  


(*)