Contactez-nous!

Par téléphone au 06.14.06.44.36 ou par mail en Cliquant Ici!

samedi 11 janvier 2020

Une nouvelle polémique pour Léa Salamé après l’émission du 9 janvier sur France 2 « Vous avez la parole » !


Une nouvelle polémique pour Léa Salamé après l’émission du 9 janvier sur France 2 « Vous avez la parole » !

Depuis ce jeudi 9 janvier date de diffusion de l’émission « Vous avez la parole », animée par Léa Salamé et Thomas Sotto sur France 2, consacrée à la réforme des retraites, les réseaux sociaux se sont enflammés s’agissant de l’invité antigrève Didier Désert.  

Le blog CGC Média vous propose de découvrir sur « Le Média pour Tous » l’article mis en ligne sur cette nouvelle polémique :

« Un invité d’abord présenté comme un restaurateur ruiné par les grèves a suscité la polémique, son identité ayant été révélée sur les réseaux sociaux durant l’émission : il s’agissait en réalité de l’époux de la maire pro-LREM du 5ème arrondissement de Paris.

Une nouvelle polémique pour Léa Salamé ? Après l’interrogatoire brutal de Philippe Martinez et l’interview jugée complaisante envers Carlos Ghosn, la journaliste Léa Salamé s’est une nouvelle fois attirée les foudres des réseaux sociaux jeudi dernier.

Lors de son émission « Vous avez la parole », un restaurateur qui se disait fortement affecté par le mouvement de grève a été rapidement démasqué par les internautes.

L’invité, Didier Désert, déclarait qu’il « ne faisait pas grève », et que son « fonds de commerce a cette année perdu 10%, donc [sa] retraite a baissé de 10% ».

Il ajouta aussi que « les régimes spéciaux concernent 1% des Français », que « la vraie justice sociale serait que tous les Français soient traités à la même enseigne » et que l’on peut « questionner la capacité de quelques-uns à bloquer tout le monde, et ça ce n’est pas normal ».

Il faudra attendre plus de 2 heures après le début de l’émission pour que l’animatrice Léa Salamé interrompe le commerçant et apporte une précision sur son identité.

Juste après que l’invité ait déclaré que « la double peine serait d’avoir subi ces grèves et que la réforme n’aille pas jusqu’à son but », la journaliste ajoute : « une petite précision, vous êtes le mari de Florence Berthout, la maire du 5ème arrondissement de Paris, ex-LR qui a rallié Benjamin Griveaux », « ça agite beaucoup les réseaux sociaux ».
Didier Désert se justifie alors : « J’espère que les réseaux sociaux pourront admette, qu’à notre époque, un mari et une femme puissent ne pas forcément partager les mêmes convictions ». Et pourtant, il se trouve que Didier Désert a remplacé en 2017 sa femme en tant que délégué de droit au conseil municipal pour les élections sénatoriales. Des divergences de convictions très relatives, donc !
 Cette affaire n’est pas sans rappeler l’interview remarquée d’Olivier Beurton, qui déclarait au micro de France Info être favorable à un régime de retraite « pour tout le monde » et souhaitait « arrêter ces régimes spéciaux qui créent des inégalités très fortes ». Présenté par France inter comme « plombier chauffagiste », les internautes ont démontré que l’homme de 58 ans était en fait un chef d’entreprise, fils de chirurgien, ancien cadre supérieur, diplômé d’HEC et surtout grand militant LREM depuis 2017 ! 
Décidément, il semble difficile pour les médias de trouver des Français pro-réforme en dehors des rangs de LREM ! »

Cafouillage sans nom de Laurent Pietraszewski ministre chargé des retraites retransmis par Public Sénat.

Cafouillage sans nom de Laurent Pietraszewski ministre chargé des retraites retransmis par Public Sénat.

« Vous n’avez répondu à aucune des questions que j’ai posées », s’exclame Laurence Rossignol après les non-réponses de Laurent Pietraszewski aux quatre questions pourtant simples, claires et précises qu’elle avait posées.

L’ancienne ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes en séance du Sénat qui avait formulé quatre questions précises portant principalement sur les conséquences sur les femmes, en a été pour ses frais.

La sénatrice socialiste Laurence Rossignol voulait notamment savoir si dans la réforme les veuves allaient bénéficier des pensions de réversion à 64 ans, et non plus 55.

Deuxième question : « Trouvez-vous juste d’exclure les ex-conjoints divorcés du bénéfice de la pension de réversion ? » 

Troisièmement, lance-telle au ministre « Vous mettez en avant votre volonté de relever à 1000 € le minimum de pension. Si j'ai bien compris, c'est à condition d’une carrière complète. Pour ma part, je n'ai toujours pas compris ce qu'est une carrière complète dans un système à points ! Est-ce que vous pouvez nous le dire précisément et rapidement »

Avant de finir sur le sort des fonctionnaires vraisemblablement pénalisés par le système de calcul sur l’ensemble de la carrière au lieu des 6 derniers mois,  62% des agents publics étant des femmes.

Sur les pensions de réversion, le secrétaire d’État dit encore attendre un rapport de l’Igas, commandé par Jean-Paul Delevoye. « Ça fait partie des éléments qui doivent être regardés encore », a-t-il bredouille visiblement gêné. 

Sur le cas sur le cas des fonctionnaires ou des ex-conjoints divorcés, il a quasiment botté en touche…la question n’est pas loin d’être éludée. 

Sur les soi-disant avancées dont bénéficierait les femmes avec ce nouveau système, il est totalement ombé à côté :« Il y a des gagnants et des perdants vraisemblablement. Il ne peut pas y avoir des perdant dans le cas que vous citez », a-t-il indiqué.

« Je pense que vs n’avez pas bien compris ma question, je n’ai pas parlé des perdants », a répliqué Laurence Rossignol probablement très interdite devant tant de vacuité ! « J’ai parlé des perdantes, cette grande cause du quinquennat qui est en train de s’effondrer dans votre réforme des retraites. »...

et de conclure « Vous n’avez répondu à aucune des questions que j’ai posées ».








Quatre procédures disciplinaires en cours à TV5 Monde après la révélation de Médiapart sur la "souffrance au travail" qui y règne.

Quatre procédures disciplinaires en cours à TV5 Monde après la révélation de Médiapart sur la "souffrance au travail" qui y règne.

« Des situations de "harcèlement moral", des agissements sexistes et un "mal-être généralisé" ont été recensés dans deux enquêtes internes présentées en juillet et décembre 2019, l'une émanant de représentants de la rédaction et l'autre mandatée par la direction de la chaîne » écrit le site belge 7sur 7 qui fait référence à l'artilce de Médiapart sur la "souffrance au travail" qui règne au sein de la chaîne.

«Un cocktail de terreur et de brutalité. » « Des salariés dépressifs, en pleurs, en mal-être permanent. » « Une rédaction qui a peur. » « Un management qui discrimine les femmes, les homosexuels, les représentants syndicaux. » « Un climat délétère. » « Agissements à connotation sexiste ou sexuelle. » « Harcèlement moral. » « Dérapages comportementaux. »... peut-on y découvrir avec en prime à la fin de l'article, l'analyse d'un des représentants du personnel qui laisse entendre que "TV5 va mourir comme France Ô". 

Sur les quatre procédures confirmées vendredi à l'AFP par la direction de la chaîne publique, après la parution d'une enquête de Médiapart, deux procédures pouvant aller jusqu'au licenciement ont été engagées contre un directeur adjoint de l'information et le directeur de la rédaction. Deux autres procédures concernent des journalistes.

« La rédaction de TV5 Monde avait déjà adopté en avril 2019 une motion de défiance à l'encontre de sa direction pour protester contre un projet éditorial jugé "indigent" et "une gouvernance brutale" » ajoute le site d’information qui indique également  « Depuis, l'ensemble de l'ancienne direction de l'information de TV5 Monde est partie ou en arrêt maladie. Et une nouvelle directrice de l'information a été nommée: Françoise Joly, ex-présentatrice du magazine "Envoyé Spécial" sur France 2. »

Yves Bigot le pédégé de la chaîne francophone internationale, fondée en 1984 et financée par la France, la Suisse, le Canada, le Québec et la Fédération Wallonie-Bruxelles dont le budget s'élevait à 112 millions d'euros en 2018 (filiales inclues) deux tiers étant issus de la redevance française, s’il n’a pas souhaité faire de commentaire sur "cette situation qui doit appartenir au passé" selon lui, a tout de même tenu à préciser "Nous reconstruisons avec Françoise Joly après une période très compliquée" (*)

(*) La direction avait espéré se faire discrète sur la suppression des trois journaux de la nuit ainsi que trois émissions avec à la clef huit suppressions de postes à la rédaction, via des départs volontaires, comme le blog CGC l’avait écrit le 2 décembre dernier dans son article « Un plan qui ne dit pas son nom à TV5 »

vendredi 10 janvier 2020

Nathalie Darrigrand débarquée: première à payer dans le dossier de l’épouse de Candilis faisant sa pub à l’antenne.

Nathalie Darrigrand débarquée: première à payer dans le dossier de l’épouse de Candilis faisant sa pub à l’antenne.



Selon nos informations, Nathalie Darrigrand directrice des Programmes de France Télévisions depuis 2019 serait débarquée.

Elle serait donc la première à sauter dans l’affaire dont est officiellement saisi le CSA concernant (depuis les révélations du Canard enchaîné) (*) "la publicité clandestine faite à l’antenne par Babsie Steger madame Candilis, renvoyant les téléspectateur vers son site commercial où elle commercialise son huile magique " (¤)

(¤) Le tandem Candilis/Ernotte doit surement penser que le fusible sera suffisant ! 
De nouvelles révélations à venir devraient prouver le contraire...









(* saisine du CSA)



















Au diable les ultramarins: l'ex-Orange responsable de la suppression de leur chaîne sur la TNT n'a que faire de leurs états d'âme !


Au diable les ultramarins: l'ex-Orange responsable de la suppression de leur chaîne sur la TNT n'a que faire de leurs états d'âme !

Le constat est glaçant...après des vœux d'un cynisme sans nom invitant les personnels de France Ô  a se préparer à n'avoir bientôt plus rien (*) « Il reste effectivement peu de temps avant de tirer le rideau », Ernotte qui ne cesse de dire qu'elle n'est pour rien - ceux qui ont décidé sont Alexis Kohler et Édouard Philippe - se fait à nouveau rattraper par Le Canard enchaîné de ce mercredi qui ironise sur son attitude très classe concernant une fois encore, le fait que les salariés (comme leurs représentants) ont appris la date de la fermeture de leur chaîne par la Presse!




La grande classe qui vaut donc pour les collaborateurs de France 4 logés à la même enseigne et sortis de la même façon.


(*)




C'est dans un tel contexte que le SNPCA-CGC avait diffusé un tract dénonçant les pratiques bien en vogue à France Télés, à savoir on utilise les personnels jusqu'à la corde, on en profite bien puis on les jette comme de vulgaires kleenex.

Le blog CGC Média vous propose de découvrir (ci-après) le communiqué du SNPCA-CGC:



« On s’est pris deux gamelles, on a signé notr’arrêt d’mort…Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do » fredonne le tandem Veil/Ernotte.

« On s’est pris deux gamelles, on a signé notr’arrêt d’mort…Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do »  fredonne le tandem Veil/Ernotte.


Pas une pour relever l’autre…c’est en tout cas ce qui se dit quasiment partout s'agissant de la bourre que se tirent les jumelles les plus décriées du PAF.

Jacques Demy avec ses Demoiselles de Rochefort et l’un des plus célèbres duos de la chanson dû à Catherine Deneuve, Françoise Dorléac, n’aurait pu rêver mieux si on lui avait demandé de réaliser une mauvaise série B.


L’une s’est pris une taule en direct, ce 8 janvier à à Radio France, lorsque  le chœur de Radio France a entonné  « Le chœur des Esclaves » de l'opéra de Verdi « Nabucco » empêchant ainsi Sibyle Veil de prononcer de pseudo vœux dont personne ne voulait et la forçant même à quitter les lieux ;
L’autre, Ernotte dont l’annonce d’une illusoire prolongation jusqu’à fin 2022 a fait un flop total - hors la loi pour l’heure mais que la rue de Valois et Matignon soutiendraient à en croire sa piètre garde rapprochée – n’intéressant évidemment personne, surtout pas les quelques dizaines seulement de salariés venus pour siroter un verre de punch et grignoter quelques légumes crus.

C’est à qui des deux rivalisera de zèle dans leurs propositions, histoire de plaire au Premier ministre avec bien entendu 2022 en ligne de mire.  

Les jumelles du PAF qui ne se survivront ni l’une, ni l’autre quel que soit le scénario, ont en commun cynisme, morgue et brutalité avec lesquels elles traitent le personnel – comme à France Télécom voilà dix ans – avec en prime vu le contexte l’idée d’un « Centre d’écoute psychologique ».
Elles n’ont à la bouche qu’une fallacieuse antienne « le financement du développement du numérique » avec quoi elles tentent de justifier leur ridicules surenchères et leur vain positionnement pour le piètre big bang riestero-philippien qui n'est en réalité qu'un pétard mouillé.